Aux Feuillantines

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D'autres thèmes peuvent être source d'inspiration : la religion, les paysages, les rêves... Le poète cherche n'importe quelles sources d'inspirations qui lui permettraient d'effectuer sa création poétique. Il Dans le poème «Aux feuillantines», Hugo révèle une des clés de l'inspiration de son œuvre : la découverte de la Bible, idéalisée par un souvenir d'enfance, pas tant comme un ouvrage religieux, mais comme un fantastique réservoir de récits merveilleux et d'images : «dès le premier

Hugo connaît une enfance difficile, sans cesse ballotté de ville en ville selon les hasards de la vie de garnison, et les vicissitudes liées à la mésentente des parents. En 1809, l'installation de la famille à Paris, dans l'ancien couvent des Feuillantines, lui assure une certaine stabilité, troublée seulement pendant un court et tumultueux voyage en Espagne (1811-1812), qui aboutit à la séparation des parents. Elevé par sa mère, en compagnie de ses deux frères Abel et Eugène, le jeune Hugo fait

III. Biographie Victor Hugo est né à Besançon en 1802, d'une mère nantaise et d'un père Lorrain. Mme Hugo vit a Paris avec ses enfants de 1804 à 1807, puis a Naples, et revient à Paris en 1809. Le temps heureux passé aux feuillantines laissera au poète de chers souvenirs: « J'eus dans ma blonde enfance, hélas! trop éphémère, Trois maîtres: un jardin, un vieux prêtre et ma mère »De 1815 à 1818 Hugo suit les cours du lycée Louis-le-Grand et compose ses premiers poèmes. Des ce moment son ambition

retrouver un petit peu cette joie de vivre. Il va du coup chercher de nouvelles raison de vivre dans la méditation. A un poème politique Écrit en 1846 >, à des impressions de promenade Pasteurs et troupeaux >et même à un souvenir d’enfance Aux Feuillantines >, se mêlent des poèmes plus généraux sur la nature et sur la condition humaine Mugitusque boum et Paroles sur la dune>. C’est un message aux gens qui se retrouvent seul, qui pensent avoir tout perdu après la perte d’un être cher. Cependant il

spectacle immense de la nature, des Océans, des rochers, du ciel et médite sur la condition humaine (Mugitusque boum, Paroles sur la dune). Il y révèle aussi des impressions de promenade (Pasteurs et troupeaux), et des souvenirs d'enfance (Aux Feuillantines) Livre VI (26 poèmes). Au bord de l'infini. C'est le livre de la méditation métaphysique; recueil peuplé de spectres, d'anges, de fantômes, et d'esprits. Le poète hésite entre l'angoisse (Horror, Pleurs dans la nuit) et l'espérance (Spes, Cadaver)

la disparue, aux enfants du poète, les deux garçons (Charles et François Victor) et les deux filles (Léopoldine et Adèle, par ex. le délicieux "Mes deux filles", I, 1,3), mais aussi à sa propre jeunesse ('A propos d'Horace", I, 1, 13 ou "Aux Feuillantines", II, 5, 10). Sa fille Adèle notait dans son Journal, à la suite d'une discussion de son père avec Auguste Vacquerie qui déconseillait l'insertion d'un poème dans le recueil : "Mon père résiste, ce poème est nécessaire à la figure qu'il veut donner

Besançon et son père est militaire, il a le grade de commandant et Victor Hugo a 2 frères En 1809 : c’est un petit garçon de 7 ans avec sa famille il quitte Besançon pour s’installer dans le 5ème arrondissement à Paris, rue de Feuillantine . Ce nom trouvera un écho dans les contemplations (p347) La vie de Victor Hugo enfant, tout comme les gens de sa génération et une vie qui se déroule sous le règne de Napoléon = important

dans la douleur. D'autres thèmes peuvent être source d'inspiration : la religion, les paysages, les rêves... Le poète cherche n'importe quelle source d'inspiration qui lui permetterait d'effectuer sa création poétique. Il Dans le poème «Aux feuillantine», Hugo révèle une des clés de l'inspiration de son œuvre : la découverte de la Bible, idéalisée par un souvenir d'enfance, pas tant comme un ouvrage religieux, mais comme un fantastique réservoir de récits merveilleux et d'images : «dès le premier

Je m’appelle Myriam Natanson, je suis née à Paris, le 21 juin 1929. Mes parents étaient Fanny Neidmann et Aron Natanson, venus de Roumanie en 1923. J’habitais au 9 de la rue des Feuillantines à Paris, tout près de la librairie que tenait mon père, au 19 de la rue Gay-Lussac. Ma mère était morte quand j’avais six ans, après une grave maladie. Mon père était seul pour élever mon frère, Jacques, et moi. Cela était difficile car il devait nous cacher des soldats allemands. Je ne pouvais pas sortir beaucoup