Auxiliaire de vie scolaire

Debussy 33320 LE TAILLAN MEDOC Née le 18/02/1974 Mariée, deux enfants 06.76.50.59.78 ADJOINT ADMINISTRATIF PRINCIPAL 2EME CLASSE 1996 Obtention d'une Maîtrise en Psychologie 1994 à 1999 Animatrice en Centre de Loisirs Auxiliaire de vie à l’Association des Paralysées de France 1999 à 2004 Contractuelle au Centre Communale d'Action Sociale – Le Haillan - Accueil, instructions de différents dossiers (aides sociales légales et facultatives, APA, obligations alimentaires)

grandes avancées Le droit à compensation - le financement du projet de vie La scolarité - l’insertion en milieu ordinaire L’emploi - la non-discrimination au travail L’accessibilité - un environnement pour tous Les Maisons départementales des personnes handicapées Les contacts utiles 3 4 6 8 10 12 14 > « Constitue un handicap, au sens de la présente loi, toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une

avec les personnes que je connais et aime apprendre chaque jour un peu plus. A côté des cours je fais de l'équitation une heure et demie par semaine pour me permettre d''avoir du temps pour moi et me changer les idées. Les week-ends et vacances scolaires je travail dans une résidence dans laquelle j'ai effectué un stage en première et les dimanches matin je travail sur un marcher afin de pouvoir me payer le permit. II) Pourquoi un baccalauréat professionnel? J'ai choisis de faire ce bac car n'aiment

Pour un moi de scolarité 93€  PERSONNEL : effectif total :​  6       Nombre  Personnel d'encadrement :      ­ Maîtresse ­ ATSEM (Agent Spécialisé des  3 Maîtresses et 3 ATSEM  écoles Maternelle)     ​  ​ Personnel d’exécution   ­ Directrice ­ Référente de vie scolaire       Carte d’identité de l’entreprise    PFMP N°3 Du 25/11/13 Au 21/12/13    Raison sociale de l'entreprise   Maison de retraite d’ Harcourt  Siège social de l'entreprise  4 places Françoise de Brancas  Téléphone    02.32.43.87.00  Date de création  

Travaux à caractère comptable  1/ Généralité sur la comptabilité générale ………………………………..7 2/ Documents vus et utilises au cours de la période de stage …………..7 3/ Les différents journaux auxiliaires…………………………………….10 4/ La comptabilité des salaires …………………………………………....12 5/Caisse nationale de sécurité sociale. …………………………….…….14 SECTION  II: Travaux fiscaux  1/ La taxe sur la valeur ajoutée (T.V.A) ……………………….……….16

handicap dans la loi de 2005 : dans son environnement, altérations de fonctions, limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société. La DGAS Direction Générale de l’Action Sociale n’a pas d’autorité hiérarchique sur les ARS Agence Régionale de Santé (et IME) mais mission d’organisation et création de textes. Alors que les établissements scolaires sont sous l’autorité hiérarchique de la DASDEN. CNSA Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie ; établissement public, financement

ses limites dans le cadre de la fonction d’AE ; *de collecter des données qui rendent compte de situations d’accueil d’enfants (l’accueil des enfants, l’accueil des parents, les conflits entre enfants, l’organisation des activités, les actes de la vie quotidienne, les tâches éducatives en général, …..) ; *d’en faire rapport. 2) Nombres d’heures à effectuer 20 heures. Vous devez répartir les heures en fonction des heures de cours et en accord avec votre maître de stage. Le stage d’observation

Elle est préconisée pour des malades atteints de pathologies graves, aigüe ou chroniques et permet de délivrer des actes médicaux comparables à ceux pratiqués à l’hôpital. Le service est composé : · Des infirmières · Des aides-soignantes· Des auxiliaires de vies Les soins sont assurés tous les jours de l’année, de 7h à 13h et de 15h à 18h.Le SSIAD est répartis en 12 secteurs, dans chaque secteurs il y a 7 à 9 patients. Les secteurs sont répartis selon les différents endroits à Cayenne. Les aides-soignantes

tous entendu ça une fois dans notre vie n’est ce pas, «et toi tu veux faire quoi plus tard»? Quand on est enfant, cette interrogation semble tellement simple qu’on répond au tac-au-tac, souvent par « moi je serai vétérinaire ! », ou encore « moi je serai pompier ou policier ». Mais en grandissant, cette question prend un tout autre sens. On se rend compte de l’impact énorme qu’elle a. La réponse à cette simple question dictera sans doute le reste de notre vie, alors on se met à réfléchir réellement

sourds s’inscrivant, ainsi, dans le cadre de l’innovation sociale prônée par la loi n°75-535 du 30 juin 1975 relative aux institutions sociales et médico-sociales. La vocation première de ce service était de soutenir l’oralisation et l’intégration scolaire en milieu ordinaire des enfants sourds âgés de 6 à 16 ans domiciliés en région Midi-Pyrénées. Le projet « oraliste » développé, visait ainsi à favoriser l’apprentissage par les enfants de la langue française, tant orale qu’écrite, sans passer par