Avantages D Un Monopole Public

Avant qu'apparaisse la notion d'Etat, de pouvoir public ou de puissance commune, les Hommes vivaient dans un état de nature. Il étaient tous égaux. Cet état leur offrait toutes libertés. Aussi, les Hommes étaient propriétaires de leur propre vie, c'est-à-dire que personne n'avait de droit sur la vie de chacun. Cependant, cet état de nature provoquait des guerres, ce qui ne facilitait pas la vie des Hommes ni leur sécurité. Puis, quand ces derniers ont commencé à renoncer à leur pouvoir naturel, l'idée

nécessaires à l'obtention du bien. Soit Production = fonction(Capital, Travail) Les différentes situations de marché Offreurs -> Demandeurs | 1 | N | Illimité | 1 | Monopole bilatéral | Monopsone contrarié | Monopsone | N | Monopole Contrarié | Oligopole bilatéral | Oligopsone | Illimité | Monopole | Oligopole | Concurrence | Marché concurrentiel Pour qu'un marché soit concurrentiel, il doit vérifier les 5 hypothèses suivantes : atomicité du marché : grand nombre d'offreurs

institutionnel pour faire respecter la concurrence ? 2.1 Le paradoxe de la concurrence La concurrence conduit à la disparition des entreprises les moins rentables jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’une (ou quelques-unes) et que le marché devienne un monopole (ou un oligopole). Le problème est que souvent, dans ces cas, les consommateurs sont lésés : le prix pratiqué est plus élevé qu’en présence de concurrents et le choix est restreint. 2.2 Un cadre législatif pour faire respecter la concurrence :

enthousiastes, le monopole de l'information par les médias traditionnels. Ces derniers étant accusés de se réserver le pouvoir de filtrer et de sélectionner le contenu à publier, selon les intérêts matériels, politiques ou idéologiques de leurs propriétaires. Mais cet accueil bienveillant est loin d'être partagé par tout le monde. D'autres se montrent plus critiques à l'égard des risques possibles de cette nouvelle tendance. Il est donc important de se questionner sur les avantages du « journalisme

biens/services de la firme installée. - La fonction de coûts est dite sous-addictive, c’est-à-dire, qu’il est plus coûteux pour deux ou plusieurs firmes de produire une quantité d’un bien quelconque que pour une seule firme (on retombe ici sur la notion de monopole naturel évoquée précédemment). Panzar (1989) note toutefois que la sous-addictivité est un concept local dans la mesure où elle se réfère à un point particulier de la fonction de coût. Pour savoir si les coûts sont ou non sous-additifs en tout point

production marginal est nul! Il n'y a dont aucune raison, à priori, de faire payer un consommateur supplémentaire, car cela reviendrait à rationner inutilement la consommation. L'information apparaît donc comme un bien public pur. Or, le niveau de production d'un bien public pur est toujours inférieur au niveau optimal. Comment résoudre ces problèmes? Par l'instauration d'un droit exclusif sur une période limitée (brevet, droit d'auteur). Dans un premier temps il rend directement le bien

consommateurs locaux, elles augmentent leurs productions et réalisent des économies d’échelles. La limite de cette théorie réside dans la durée de la protection, les entreprises protégées peuvent exercer un lobbying (faire pression) sur les pouvoirs publics pour prolonger la protection alors que la taille critique est atteinte. Exercice 4 p77 : Les politiques commerciales stratégiques. Voir tableau. Elles perdent chacune 5 millions d’euros, donc aucune des deux entreprises ne décidera de produire

Les entreprises vont chercher les moyens et méthodes afin d’éviter les écarts entre la réalité et la situation de marché pure et parfaite. Le cours consiste à aborder des marchés imparfaits mais aussi des stratégies des firmes. Sur un marché de monopole, il n’y a pas de stratégies possibles. Lorsqu’on est en situation pure et parfaite où il y a une multitude de vendeurs et d’acheteurs, il n’y a pas de stratégies pour un individu car on est incapable d’imposer une stratégie sur l’ensemble des acteurs

produits échangés sont semblables, le marché est fortement concurrentiel (on parle alors de concurrence parfaite). On distingue par ailleurs traditionnellement trois structures de marché imparfaitement concurrentiel: le monopole, l’oligopole et la concurrence monopolistique Monopole : le marché ferroviaire français (avec la SNCF). Oligopole : le marché de la téléphonie mobile (Orange, SFR, et Bouygues Telecom se partagent l’essentiel du marché). Concurrence parfaite : les boulangeries dans une grande

Chapitre II : Situations monopolistiques et allocation des ressources Section 1 : barrières à l’entrée et monopole Section 2 : le monopole naturel On parle de défaillances du marché chaque fois qu’au moins une des conditions du théorème de la main invisible n’est pas remplie. L'équilibre de marché ne correspond alors plus à l'optimum parétien réalisable par un planificateur centralisé omniscient et bienveillant. Certains biens et services ne sont donc plus produits de façon optimale par le marché