Avare Costume

Une scène noire, des costumes d’époque suspendus au plafond par des chaînes, le spectateur est plongé dans l’incertitude et dans l’attente. D’un coup, une lumière rouge accompagnant une voix off, grave! Apparait alors l’ombre d’un comédien cigarette à la main qui prend possession de la scène. Le suspense est à son comble ! Lumière totale est faite, on retrouve alors cette mise en scène minimaliste permettant au comédien de redonner vie aux silhouettes du passé à l’aide de costumes réalistes pour incarner

elle est portée par la cour, mais aussi par la bourgeoisie et partout en Europe. Marie-Antoinette grandira en portant cette toilette. Mais la coupe de la robe à la Française se banalise et fini même par influencer les costumes populaires. La seule différence entre les costumes de la cour et ceux du peuple: la qualité des étoffes utilisées. Les plus modestes taillent leurs robes dans de la toile de coton ou dans du drap de laine, alors que les plus riches font faire leurs robes dans de la soierie

d’expression artistique destinée à s’exprimer en publique, sur scène, par des acteurs donnant l’illusion de la réalité. Pour accroître cette illusion, le décor est complété par les costumes revêtus par les comédiens, ce qui amène à s’interroger sur les différentes fonctions du costume d’après ces trois textes. Les costumes éclairent le sens de la pièce. En effet, ils remplissent plusieurs fonctions. Ils ont tout d’abord une fonction informative ; ils déterminent le cadre spatio-temporel, essentiellement

Médecin Malgré Lui» ou encore «Dom Juan». Il incarne une fois un serviteur, l'autre fois un bucheron ivrogne. Marivaux aimait notamment le thème du déguisement et souvent ses personnages n'apparaissaient devant les yeux des spectateurs dans leurs costumes, leurs voies ni mêmes leur comportements habituels. Tout cela est possible car le personnage de théâtre n'a pas véritablement de code préçis de comportement, on peut trouver toute sorte de rôle à jouer, à l'inverse du personnage de roman.

Cher journal, Ce fameux soir c’était Halloween, Halloween, j’ai toujours aimée cette fête, les fêtes où l'on se déguise. On revêt des costumes qui ne nous ressemblent pas, ou qui nous ressemblent trop bien. Halloween, les bals masqués, et autres carnavals… Cette année j’avais acceptée d’y allez avec plusieurs amis, non pas que d’habitudes je passe mon Halloween seul ou en famille, je le passais toujours avec mes amis, mais cette année on allait le célébrer chez Carrie ; une ancienne élève qui avait

Aujourd’hui, il est mis en scène par Emmanuel Dekoninck, qui ayant déjà joué dans cette pièce en tant qu’acteur sans arborer les méthodes du metteur en scène de l’époque, a décidé de l’adapter à sa façon. Ronald Beurms s’occupe de la scénographie et des costumes, Bérengère Bodin de la chorégraphie et Thomas Vanneste de la lumière. Les acteurs sont : AntojO (le médecin, le chuiche, le sous-directeur…), Marie du Bled (Chloé), Fanny Dumont (la souris), Michelangelo Marchese (Nicolas, le prêtre…), Gilles Masson

attend un prétendant, Dorante, bien qu'elle ne soit pas disposée à se marier, surtout à un jeune homme qu'elle ne connaît pas. Elle change de costume et de rôle avec Lisette, sa femme de chambre, afin de pouvoir étudier plus à son aise le caractère de ce prétendant sans se compromettre. Or il se trouve que le fiancé, a eu la même idée de changer de costume et de rôle avec son domestique, Arlequin. Le jeu de l'amour et du hasard est écrit par Marivaux en 1730. Marivaux né le 1687 et mort en 1763

est toujours située au fond du magasin pour obliger le consommateur à traverser toute la boutique. Les vendeurs sont normalement 2 ou 3 et un d’eux reste toujours à la caisse. La marque propose des retouches sur toutes leurs pièces ; longueur de costume, manches, les épaules etc. Le consommateur a un mois à sa disposition pour changer son produit s‘il n’est pas satisfait. Cependant The Kooples ne fait pas de remboursements. Normes : Les produits The Kooples ont tous un gencod sur l’étiquette

et la vanité de cette épuisante festivité. Deux bals donc, deux enjeux, deux issues opposées, mais un point commun : le paradoxe. En effet, c’est chez Mme de Beauséant, au sein d’une aristocratie impitoyable, qu’Eugène et Clara quitteront leur costume de bienséance pour parler d’ami à ami ; a contrario, c’est chez les bourgeois, où l’ambiance se veut « à la bonne franquette », que les rapports humains sont les plus vains et stériles. Se confirme donc ici la ligne de conduite de chacun des deux

cocasses, les quiproquos, les chutes, les costumes, les décors... tout ce qui va permettre aux spectateurs de se distraire, de rire. Nous pouvons retrouver tous ces aspects d'une comédie dans le Jeu de l'amour et du hasard de Marivaux où Silvia, une jeune femme, qui redoute le mariage. À la veille de rencontrer son fiancé, obtient auprès de son père la possibilité de tenter une expérience : changer d'identité avec sa servante Lisette, à qui elle emprunte son costume pour observer librement son prétendant