Ayatollah

la Palestine HAMAS : veut la disparition d’Israël DJIHAD : (Guerre Sainte) : ++ radical  guerre civile au Liban (Islam vs Catholique) c) Montée de l’islamisme - Al Quaïda1979 : révolution islamique en Iran  Chute du Shah d’Iran  Imam Ayatollah Khomeiny  Iran n’est plus allié des USA  Application de la charia Otages de Téhéran 1980-1988 : Invasion de l’Afghanistan par URSS  Les USA arment les « moudjahidin » (ex-taliban) 1986 : Irangate : guerre Iran/Irak USA fournit des armes

capitale de l’Iran. Janv 1979 = La dynastie pro occidentale (Chah d’Iran) qui régnait est renversée par des étudiants en théologie, dirigés par Ayatollah Khomeiny (représentant des chiites), un chef religieux qui met en place un régime islamiste. Il encourage 400 étudiants à prendre en otage le personnel de l’Ambassade américaine de Téhéran : 53 sont retenus pdt 444 jours  l’Iran qualifie les USA

Royaume-Uni, David Cameron 7. le 15 avril 2012 à Mme Angela Merkel, la chancelière allemande 8. le 16 mai 2012 à François Hollande le président Français 9. le 19 avril 2012 à Sa Majesté la reine Elisabeth II de la Grande-Bretagne 10. le 14 mai 2012 à Ayatollah Syed Ali Hosseini Khamenei le dirigeant suprême de la République islamique d’Iran. Le présent ouvrage est un recueil de conseils de Hazrat Mirza Masroor Ahmad, le Calife de la Communauté Islamique Ahmadiyya. Dans le sillage des évènements actuels

leurs propres maisons. En 2006, le parlement iranien a rejeté la formation de ce fonds (A. aurait ordonné au conseil administratif de l’exécuter) Droit des femmes : A. apparaissait étrangement assez ouvert au droit des femmes, mais le guide suprême, Ayatollah Ali Khamenei a mis son veto à cette décision en déclarant « l'opinion du clergé religieux doit être respectée et la décision (présidentielle) reconsidérée. » C Les Relations internationales iraniennes C L’Iran et le Golfe Persique

le 16 janviers 1979 par un mouvement mené par l'ayatollah Khomeiny. Celui-ci instaure une nouvelle Constitution basée sur le Coran. Avec le soutien de l'Iran, le camp fondamentaliste se développe, notamment en Syrie ou au Liban (Hezbollah). Un ayatollah est l'un des titres les plus élevés décerné à un membre du clergé chiite. Ce sont les chefs et les docteurs du clergé et ils sont considérés comme des experts de l'islam. 2Les guerres de l'Irak De 1980 à 1991, Saddam Hussein provoque dans la région

marchandises de l’étranger s’ils suivaient leurs consignes. Mais peut-on brocarder cette « religion de pacotille » en refusant que l’économie influence les croyances ? A Téhéran c’est une grève du Grand Bazar qui a porté au gouvernement le régime des ayatollahs, et à Moscou, l’effondrement du communisme a provoqué la venue des sectes américaines. Le pouvoir spirituel n’est pas sans lien avec le Bourse des valeurs. Dans cette mesure du divin, il n’est guère facile de discerner les enjeux et les parties :

Ecritures. Mikhaïl Gorbatchev : avec sa tache de vin sur le front, sa position d'homme de (fausse) paix au pays de Gog et Magog, ses affinités avec le mouvement Luciférien du New Age, demeure sous surveillance des veilleurs chrétiens. Kohomeini (Ayatollah) : plus faux prophète qu'antéchrist. A noter qu'Iran rime avec Tyran. Saddam Hussein : régnant à 100 km de la Babylone historique, avec un prénom et un nom totalisant 666 pour chacun d'entre eux, il rêve de devenir Nabuchodonosor II, le roi d'une

l’IASB. Si la personnalité des normalisateurs 4 Juste Valeur : le rôle des nouvelles normes comptables dans la crise financière comptables pourrait parfois laisser penser le contraire, ces normes sont moins la traduction des édits d’« ayatollahs » que le produit d’essais et d’erreurs judicieusement synthétisés. Pour autant il faut bien convenir d’une crise de l’information financière. Mais là où le bât blesse, c’est plutôt dans l’outillage disponible pour informer le marché quant aux risques

sacrifient le bien-être du fumeur au Bien qu'ils lui imposent. Bref, alors que les palliatifs traitent la cigarette comme un symptôme, la cigarette électronique[->38] fait droit à un plaisir qui, autant que le cancer, est l'autre adversaire des ayatollahs de la bonne santé. Si elle offre le rarissime cas de figure d'un artifice qui se naturalise, d'une copie qu'on préfère à l'original, ou d'un moyen qui devient une fin en soi, c'est que, non contente de reproduire la forme et les sensations d'une

Raïs au pouvoir en plaçant l’Irak sous embargo. Le dirigeant irakien alterne alors provocations et concessions jusqu’en 2003. En effet, chasser Saddam Hussein de Bagdad aurait pu engendrer un vide politique favorable à l’expansionnisme des ayatollahs[19] iraniens influents dans le sud de l’Irak. Dès le 6 août 1990, l’O.N.U. vote une résolution interdisant tout commerce avec le pays pour toute la durée de la guerre. En 1991 et 1992, ses inspecteurs dévoilent des programmes d’armements chimiques