Ayman al-Zawahiri

présumés des attentats, le groupe terroriste Al-Qaïda - « la base » - dont le leader, le Saoudien Oussama Ben Laden, se terrerait en Afghanistan. Dans les jours qui suivront, messages d'appui et dénonciations du terrorisme afflueront des quatre coins du globe. Voir : Notre guerre au terrorisme intérêts d’un pays (les entreprises importantes, le gouvernement, etc.). Myriam : Qui était derrière ces attentats ? 1jour1actu : Quelques jours après ces attaques, Al-Qaïda a revendiqué les attentats, c’est-à-dire

coalition ont souhaité une pause dans les raids pendant le ramadan. Les talibans sont déterminés à se battre durant le mois de jeûne musulman du Ramadan, a répondu un proche du chef suprême de la milice afghane, Mollah Mohammad Omar, à la télévision Al-Jazira. III-Réactions de gouvernements et de civils a-Quelques gouvernements -L’Europe Sur le vieux continent, les marques de soutien sont générales. Romano Prodi, président de la Commission européenne, a souligné que les Européens

le conflit dans la Bande de Gaza. Le responsable égyptien a indiqué que son pays était prêt à apporter son aide sur la question de la reconstruction, mais qu’il ne souhaite pas « en faire une question politique ou le prétexte d’un chantage ». Mushir Al Masri, un député du Hamas considéré comme une personnalité montante du mouvement, a expliqué que « le Hamas a proposé une trêve de 1 an qui serait évaluée au moment de son expiration. Nous parlons d’une trêve temporaire qui serait liée à la réouverture

sont nettement moins. Au contraire, dans les organisations à forte base sociale, apparaît une hiérarchisation par génération, même s’il est vrai que le « patriarche terroriste » a lui-même commencé jeune. Regardons une génération : Ben Laden et Ayman Zawahiri ont respectivement (en 2006) 49 et 55 ans, tandis que Zarkaoui, leur « lieutenant » en Irak, arrivait sur ces 40 ans. L’intensité de la lutte et les effets de la répression favorisent aussi un passage accélère des générations. Le leader du Hamas

missions. Most of them were executed in Iraq, Pakistan and Afghanistan respectively 1 See also the appendix with examples of UCAV air strikes and ‘collateral damages’ respectively casualities in Afghanistan, Iraq and Pakistan 2 See for example Cerqui et al. 2006, von Schomberg 2006 3 Khalifa 2008 3 in the Palestinian occupied territories or in Lebanon. Especially in Iraq, Pakistan and Afghanistan, the number of UCAVs air attacks is significantly rising 4 and – despite the rhetoric of ‘precision strikes’

des moyens réduits. Les cibles des terroristes ont évolué. Il y a un glissement des cibles de pouvoir vers les cibles de société. L'IRA ou l'ETA ont souvent voulu frapper ce qu'elles estimaient être des lieux de pouvoir, étatique ou idéologique. Al-Qaida, dans ses débuts, également. Mais des cibles " sociétales " sont apparues : les Twin Towers de New York bien sûr, mais aussi Madrid, Djerba, Londres,... on constate une synergie entre la capacité de tuer beaucoup et le choix de cibles où il y

l’effort de communi- cation est perdu mais il pourrait aussi entraîner une perte de crédibilité. Un des meilleurs exemples d’actes sans rapport ni avec les paroles ni avec la vérité est celui de l’ancien ministre irakien de l’information, Mohammed Saeed al-Sahaf, pen- dant l’opération Iraqi Freedom. À de nombreuses reprises, ses assertions sur la ré- sistance irakienne et l’absence de progrès des forces américaines étaient grossière- ment inexactes, allant dans un cas jusqu’à prétendre que les Irakiens

l’émergence d’un terrorisme d’inspiration islamiste radicale et d’envergure planétaire, qui s’attaque indistinctement aux pays occidentaux et aux nations arabes ou plus largement musulmanes avec des moyens de destruction jusqu’alors inédits. Incarné par Al Qaïda, ce terrorisme d’un genre nouveau s’est dès l’origine fixé un champ mondial. Depuis 1998, il a frappé dans une vingtaine de pays, au rythme moyen de trois ou quatre attentats majeurs par an 1. Il a révélé sa capacité d’action en Europe à deux

mondiale qu'ils dominent. Protectionniste pour euxmêmes, ils défendent la politique de la « porte ouverte » dans les pays où ils investissent. Le dollar est la seule monnaie convertible en or depuis 1918 et concurrence la livre sterling. Les dettes des al liés leur donnent un moyen de pression sur les Européens. Ils imposent ainsi un allègement des réparations allemandes (indemnités de guerre) avec les plan Dawes (1924) et Young (1929) du nom des deux banquiers américains qui les ont négociés. La crise

combats se poursuivent ensuite autour des derniers bastions kadhafistes. Le 20 octobre 2011, Syrte, le dernier d'entre eux, tombe aux mains des forces du Conseil national de transition et Mouammar Kadhafi est tué37. Le 19 novembre suivant, son fils, Saïf al-Islam, est arrêté au sud de la Libye par des combattants du CNT. Le 23 octobre 2011 à Benghazi, le président du CNT Moustafa Abdel Jalil proclame la « libération » de la Libye, mettant officiellement fin à la guerre civile qui durait depuis huit mois