Bacchanales

Ce sénatus-consulte permet de nous interroger sur la nature du scandale des bacchanales : scandale religieux et un scandale de mœurs ou bien une menace contre l’organisation sociale traditionnelle et contre la domination de Rome en Italie ? L’aristocratie a-t-elle vu un scandale religieux ou une menace contre sa propre domination sociale ou de Rome sur l’Italie ? I/ Le degrés de gravité que l’aristocratie romaine confère à cette affaire * Nature des autorités qui interviennent. C’est une

trompé, ce qui accentue le ridicule de la situation. Juvénal décrit aussi des scènes de mystères nocturnes qui correspond à la venue de religions orientales à Rome, en particulier sous l’empire. Cette évocation rappelle le célèbre scandale des Bacchanales en 186 avant Jésus-Christ. En effet, il dénomme ces réunions nocturnes secretae deae (v. 314). La scène est rendue ridicule par de nombreuses images: la vie décente et noble du mari est confrontée à la vie dépravée de sa femme aux vers 312- 313

Bacchanale de Salvador Dali Présentation de l’œuvre : Bacchanale est une peinture surréaliste de 1939, la dimension est de 1.75 m sur 1.21 m Cette œuvre représente un ballet. Présentation de l’artiste : Salvador Domingo Felipe Jacinto Dalí i Domènech connu sous le nom de Salvador Dali est un peintre, sculpteur et scénariste surréaliste espagnol, né le 11 mai 1904 et mort le 23 janvier 1989. Il est né et mort à Figueres, en Catalogne, où il a créé son propre musée en 1974, le Théatre-Museu

Sénatus consulte sur les Bacchanales Nous sommes ici face à un document officiel, plus précisément un texte de loi, rédigé lors d'une délibération du Sénat romain plus haute institution de la République romaine dans laquelle siégeaient des hommes, les sénateurs, reconnus pour leurs vertus et leurs grandeurs d’esprit. Il est fait référence à plusieurs personnes : Le premier groupe est constitué de consuls. Ce terme signifiant "ceux qui vont ensembles", désigne deux magistrats principaux élus

au document connu sous le titre de Sénatus-consulte des Bacchanales. Le document en question a été gravé sur une tablette de bronze qui fût retrouvée en 1640 de notre ère, à Tirioli, à environ 600 km au sud de Rome, et qui réside désormais au Kunsthistorisches Museum à Vienne en Autriche. (Analyse externe) Ce document relate les édits du sénat du 7 octobre 186 avant notre ère, concernant la pratique du culte des Bacchanales, le culte de Dionysos-Bacchus, dieu de la démesure orgiastique[1]

voyage et où une chèvre sourit, le temps du récit est un temps mythique, un âge d’or, un temps de bonheur idyllique qui entraîne toute la création à l’unisson dans le plaisir de vivre, la musique, la danse, la sensualité. Tout à la fois pastorale et bacchanale, la scène réunit devant l’infini du monde, la paix et l’atteinte du bonheur moral et physique dans l’énergie. Les figures évoquent l’Antiquité par le thème, par la nymphe, les figures hybrides et les instruments. La figure centrale est bien entendu

retour à Athènes, Thésée oublie de changer les voiles noires de son bateau, et son père Egée se jette dans la mer pensant que son fils est mort en affrontant le minotaure. Entre 1933 et 1936, Picasso associe le minotaure à des orgies et des bacchanales* dans nombre de ses œuvres. Vers 1933 Picasso se sépare d’Olga il rencontre ensuite Marie Thérèse Walter, a ce moment il représente le minotaure qui s‘accouple avec une femme qui porte les traits de Marie Thérèse. Certaines de

avec des hommes et des femmes nus dans la nature, qui font un rond comme dans le tableau de  Matisse.   Ainsi encore dans la peinture « Bacchanale » de Nicolas Poussin, qui date d’environ 1630. Nicolas Poussin,  Bacchanale devant une Statue de Pan  National Gallery, London  vers 1631‐33  Huile sur toile  100 x 142,5 cm  Nicolas Poussin,  Bacchanale à la joueuse de guitare, dit aussi La  Grande Bacchanale  vers 1627‐1628, Huile sur toile, 121 x 175 cm,  Musée du Louvre, Paris                 Matisse 

royalement splendide renvoie à une forme de luxe en lien avec l’actualité (la monarchie restaurée de Louis XVIII puis de Charles X), tandis que la bacchanale fait penser à l’empire romain (sur le déclin) et à ses orgies. En effet, les bacchanales étaient des fêtes complètement débridées en l’honneur du dieu Bacchus (équivalent romain du Dionysos grec), dieu du vin, de l’ivresse et de la fête. , quelque bacchanale13

plus tard en chevreau) pour échapper à la haine tenace d'Héra. Sur son passage il transmet aux hommes sa découverte - l'usage de la vigne - et établit un culte nouveau, fait de transes et de délires orgiaques (Ovide, Les Métamorphoses), les Bacchanales, où tout le peuple, mais surtout les femmes, était saisi d'un délire mystique. Ses ennemis sont victimes d'une folie meurtrière (Homère, Iliade, Euripide, Les Bacchantes) ou métamorphosés en animaux (Ovide, Métamorphoses). Il épouse Ariane abandonnée