Bachelard

des mots, des concepts, des idées générales.

Pas de jugement sans mot.

Pas de raisonnement sans concept.

Conséquences pour le sujet. Mais on peut se demander avec Bachelard si le chercheur ne s'appuie pas sur des images comme sur un tremplin nécessaire. ( Lire les dernières pages de: Le nouvel esprit scientifique3 de G. Bachelard). CONCLU En ce sens, nous pouvons dire que tout est, en droit, exprimable potentiellement. Les hommes ont la possibilité et la capacité de tout exprimer de ce qu'ils

fait en tant que tel, est toujours quelque chose de construit. En effet, comme l'a bien montré Bachelard, au début de La formation de l'esprit scientifique, ce qui fait qu'un fait scientifique est objectif, et non, par exemple, le fruit de nos préjugés, c'est qu'il est soumis à la mesure. Le fait scientifique n'a rien à voir avec une observation immédiate, avec un pur constat. Ce que veut dire Bachelard c'est que ce qui fait l'objectivité du fait scientifique c'est qu'il est théorisé. Il y a toujours

(l'adjectif signifiant non construites par l'enseignement) qui peuvent faire obstacle à l'apprentissage. Le cas de la physique est particulièrement exemplaire puisque nombre de conceptions scientifiques se sont construites contre l'évidence (G. Bachelard) ; ainsi les lois "élémentaires" de Galilée et Newton restent difficiles à comprendre parce qu'elles s'opposent au "bon sens" commun. De nombreuses recherches en didactique ont visé l'identification des représentations-types - ou conceptions -

pas ou que nous négligions ce que nous voyons car nous n’avons pas posé la bonne question ou que nous n’avons pas su relier le fait aperçu à d’autres connaissances qui auraient permis de mettre en lumière l’importance de la donnée. Comme le dit Bachelard dans son œuvre Le nouvel Esprit scientifique , « l’observation scientifique est toujours une observation polémique ; elle confirme ou infirme une thèse antérieure, un schéma préalable, un plan d’observation ». Cette anticipation

dissertation : - l’engagement - la cohérence (des idées) - la pertinence (de nos idées) - la lisibilité (expression écrite, orthographe, syntaxe…) I. qu’est-ce que la dissertation ? « Toute connaissance est une réponse à une question » G. BACHELARD «  Mais l’accumulation de connaissance n’est pas la connaissance » MANGUEL « Trop de connaissance ne facilite pas les plus simple décision » F. HERBERT Connaissance (transformation) savoir : - Savoir - Savoir faire - Savoir

comme dans son principe s’oppose absolument à l’opinion. S’il lui arrive sur un point particulier de légitimer l’opinion, c’est toujours pour d’autres raisons que celles qui fondent l’opinion, de sorte que l’opinion a, en droit, toujours tort « . Bachelard. Formation de l’esprit scientifique. [7]1938. Opinion (nom commun) Croyance ou jugement qui n'est pas certain. Parce qu'adopté(e) sans examen critique. Par absence de possibilité de se prononcer. Exemple(s) (1, a) Oui, je n'y connais

Qu'est-ce que le miroir ? Avant d'être une image de poète, le miroir est lui-même un producteur d'images. Source de réflexion, surface rigide sans laquelle les choses seraient absorbées dans l'oubli, il nous invite à réfléchir. Comme l'écrit Gaston Bachelard, « les mi roirs sont des objets trop civilisés, trop maniables, trop géométriques, ils sont avec trop d'évidence des outils de rêve pour s'adapter d'eux-mêmes à la vie oni rique » (1). Nous ne nous étonnerons donc pas de cons tater que, généralement

expérimentale pour déterminer leur objet d'étude, c'est pour cela que nous disons qu'avec le physicien que l'expérimentation réalise volontairement des conditions données et provoque des phénomènes dans des conditions parfaitement définies. C'est ainsi que Bachelard dit qu'il est de l'essence du vrai d'être obtenu et non donnée et reçue, par exemple telle l'expérience galiléenne en physique, on peut vérifier si l'accélérateur de la vitesse est la même pour tous les corps qui tombent. Sur ce point, Galilée

raisonnement vrai implique une certaine logique, et la logique équivaut à la cohérence dans le cadre des relations d’idées. La cohérence constitue donc une condition de nécessité à la vérité d’un raisonnement, et donc du bon usage de la raison. Bachelard le souligne d’ailleurs en insistant sur l’importance de la progression et de l’ordre de la pensée. Il dit ainsi : « Rien ne va de soi, tout est donné, tout est construit ». La cohérence est de plus un critère suffisant pour établir l’exactitude

que M. Collot, sont ports sur lexamen gographique des uvres. La caractristique principale du travail de Collot rside dans le fait quil se rclame de la thmatique et sinscrit volontiers dans la ligne des critiques de Jean-Pierre Richard et Gaston Bachelard, mais il faut plutt lenvisager dans une perspective o la gopotique simpose en affirmant de plus en plus les liens qui unissent le sujet et son paysage. Dans la vision de Collot la description du paysage donne sa place la description dune image de