Bactériophage

nombre plus restreint (1 à 4) que les pilis communs sont codés par des plasmides (facteur F). Ils jouent un rôle essentiel dans l'attachement des bactéries entre elles au cours de la conjugaison. Ces pilis sexuels servent également de récepteurs de bactériophages spécifiques. Chez certaines bactéries à Gram positif, des protéines de surface dépassent largement de la paroi et jouent un rôle dans l'adhérence bactérienne, comme les fimbriae, auxquels on pourrait les assimiler. Il s'agit de la protéine A de

constituants des flagelles de la synthèse d’ anticorps spécifiques et union de ces Ac avec les flagelles La spécificité antigénique repose sur le nombre et la séquence des acides aminés de la flagelline Fixation des bactériophages Les flagelles sont le lieu de fixation de certains bactériophages. Le chimiotactisme Certaines substances attirent les bactéries mobiles, d’autres les repoussent. Mise en évidence Les flagelles ou cils sont invisible au microscope optique sur des cellules vivantes

| |3. | Exercice 13 : Étude des bactériophages Observations et résultats 13.1 Observer et compter les plages de lyse sur les géloses. Choisir la gélose statistiquement valable et compter le nombre d’UFP par ml de suspension virale. |Dilution utilisée |Nombre

l Chapitre 3 : Production d’une protéine recombinante dans une cellule d’insecte Cellules d’insectes : Poussent à température ambiante, on a un système d’expression viral qui existe déjà, et qui est facile à utiliser à détourner pour la production d’une protéine. Toujours le même schéma d’étapes. Basé sur les cellules d’insectes et virus d’insectes. C’est hétérologue à ce qui e passe chez l’homme : donc c’est sécurisé et facile d’utilisation. Hétérologue car on peut recevoir des virus

3.2. La transduction : 3.2.1. Définition : C’est le transfert de gènes bactériens par l’intermédiaire de virus. 3.2.2. Cycle lytique et cycle lysogène des bactériophages : Les bactériophages sont les virus des bactéries, composés d’une capsule protéique renfermant une molécule d’ADN double brin. Après infection, les bactériophages peuvent adopter deux types de comportements : • le cycle lytique : Dégradation de l’ADN de l’hôte. Réplication de l’ADN phagique en de nombreuses copies. Encapsidation

AS MERAD (09/10) 5. TRANSDUCTION et BACTERIOPHAGE - INTRODUCTION Avant de parler de transduction proprement dite, nous devons faire un petit rappel sur l’agent vecteur de cette transduction. [pic] Les bactériophages ou phages sont des virus spécialisés pouvant infecter des bactéries. Comme tous

des polysaccharides de la capsule. Les descendantes des cellules R transformées en S sont de type S donc l'ADN contrôle la multiplication à l'identique. III. TRAVAUX DE HERSHEY ET CHASE En 1952, Hershey et Chase étudient la reproduction du bactériophage T2 dans la bactérie Escherichia coli (qui deviendra le monstre sacré de la génétique moderne) et emploient une technique qui va se développer rapidement : l'utilisation d'isotopes radioactifs comme traceurs, comme marqueurs permettant de suivre

: George Beadle et Edward Tatum montrent l’existence d’une relation précise entre les gènes et les protéines 1944 : Oswald Avery, Colin McLeod et Maclyn McCarty démontrent que les gènes  sont constitués d’ADN (Pneumococcus) 1952 : William Hershey et Martha Chase confirment ce résultat (bactériophage)  1953 : Jim Watson et Francis Crick Structure en double hélice de la molécule d’ADN 1960‐1965 : François Jacob, Jacques Monod, André Lwoff  (Prix Nobel de Physiologie ou Médecine en 1965) Existence d’un intermédiaire entre l’ADN et les protéines : l’ARN messager

puisqu’on gardait l’élément pathogène en solution.  1899 : Martinus BEIJERINCK → notion de virus.  1898-1911 : découverte des virus de la fièvre aphteuse, de la fièvre jaune, de l’encéphalite rabique et du poliovirus.  1915 : découverte des bactériophages.  1926 : première culture virale in vitro.       1937 : premier vaccin vivant (fièvre jaune). 1939 : première observation d’un virus au MET (virus de la mosaïque du tabac). 1957 : découverte des interférons. 1962 : André

mécanisme de défense contre les infections par les bactériophages, des virus spécifiques des bactéries. Lorsque le virus injecte son ADN dans le micro-organisme, celui-ci est coupé par l'enzyme de restriction au niveau de ses sites spécifiques. La destruction du génome du virus bloque ainsi l'infection. Le nom d'enzyme de restriction provient de ce mécanisme, en effet la présence de ces enzymes dans les bactéries restreint l'infectiosité des bactériophages. Pour éviter que l'enzyme de restriction ne coupe