Bactériophage

l’environnement mise en évidence avec les expériences de Griffith ( injections de 2 pneumocoques distincts S ou/et R vivants ou/et tués) - La transduction  : transfert d’ADN par l’intermédiaire d’un virus (bactériophage) emportant des fragments du génome d’une bactérie donneuse vers une bactérie receveuse - La conjugaison : transfert d’ADN entre 2 bactéries par l’intermédiaire d’un pont de conjugaison

ensuite tout le liquide présent à l’aide d’une pipette Pasteur. On laisse sécher 15 minutes à l’étuve ou près du bec de gaz, boîte légèrement ouverte. Ensuite, on dispose soit les disques d’antibiotique (antibiogramme), soit les solutions de bactériophages (lysogramme) Il existe bien sûr de très nombreux autres modes d’ensemencements de milieux gélosés ou non. Cependant, les techniques présentées ici sont très classiques et couramment utilisées en routine ; ce sont donc ces techniques

antigéniques : des particules induisent la production d’anticorps : on obtient donc une définition de sérotypie bactérienne (grâce à l’acide teïchoïque chez g+, au LPS chez les g-. - de fixation des phages (bactériophages = virus à bactéries). La recombinaison génétique à lieu grâce aux bactériophages. N’importe lequel de ces phages ne peut pas infecter n’importe quelle bactérie. Chez E. coli, le T4 se fixe sur le LPS, le  se fixe sur la protéine qui transporte le maltose. Chez bacillus suptilis,

L’enzyme catalyse aussi l’échange du phosphate 5’ terminal d’un ADN ou d’un ARN avec le phosphate γ de l’ATP, en présence d’ADP comme accepteur de phosphate. La polynucléotide kinase du commerce est extraite d’une bactérie (E. coli) infectée par le bactériophage T4. Une unité d’enzyme catalyse le transfert de 33 picomoles de phosphate par minute à 37° C. La polynucléotide kinase est utilisée au laboratoire pour incorporer du phosphate radioactif (32P) sur l’extrémité 5’ d’un acide nucléique, soit par transfert

lysogenic bacteria. Source : Journal officiel du 22 septembre 2000, révisant l’arrêté du 14 septembre 1990. 25. bactériophage, n.m. t Forme abrégée : phage, n.m. t Domaine : BIOLOGIE / Génie géné- tique-Virologie. t Définition : Virus capable d’infecter une bactérie, de s’y multiplier et généralement de la lyser. t Voir aussi : phagothé- rapie. t Équivalent étranger : bacteriophage. Source : Journal officiel du 22 septembre 2000, révisant l’arrêté du 14 septembre 1990. 26. bandage de contention

poisons), pas les virus. - Les virus sont jusqu’à trois cents fois plus petits que les bactéries 3) Des virus à géométrie variable On distingue : - Le bactériophage muni de crochets et d’une queue qui lui permet d’injecter son matériel génétique comme une seringue, ce virus n’infecte que les bactéries. D’où son nom : bactériophage. Tous les êtres vivants sont susceptibles d’être colonisés par des virus, y compris les plantes, les algues et les champignons. - Le virus nu : dépourvu d’enveloppe

their enzymatic degradation. Experientia 6, 201. http://www.nobel.se Al Hershey est, avec Delbrück et Luria, la troisième personnalité marquante du Groupe du phage. Sa première contribution importante est la mise en évidence d'une génétique des bactériophages : Il montre en effet en 1946 que peuvent apparaître des mutations chez ces organismes, caractérisés par différentes formes de plages de lyse. Ces résultats confirment donc ceux obtenus par Luria l'année précédente. Hershey parvient aussi à détecter

archaebactéries. Différentes relations entre une bactérie et son hôte (symbiose, commensalisme, pouvoir pathogène), équilibre entre pouvoir pathogène et réponse de l'hôte. oLes virus : définition, acides nucléiques et réplication virale. Les bactériophages. Le VIH, agent causal du SIDA, oLes prions : différences avec les autres agents infectieux. Les prions et les encéphalopathies spongiformes transmissibles, oReproduction végétative, asexuée et sexuée chez les champignons filamenteux, oExemples

1. La transformat°  : de l’ADN libre ds le milieu peut être incorporé au génome des bactéries 2. La transduction  : lors de l’infect° d’une bactérie par un virus bactériophage, des fragments d’ADN de la bactérie hôte peuvent être emportés par le virus et intégrés au génome de la prochaine bactérie infectée.  3. La conjugaison : les bactéries établissent des ponts ( pili)

En 1936, Wright désigne cette toxine par les noms de ses deux découvreurs. La LPV est la première leucotoxine à être purifiée et caractérisée. Elle est formée de deux composés S et F : LukS-PV et LukF-PV . Le gène codant la LPV est porté par un bactériophage qui n’est retrouvé que chez 1 à 2 % des souches cliniques de S. aureus. Le spectre d’activité lytique de cette toxine est restreint aux monocytes, aux macrophages, aux polynucléaires neutrophiles et aux métamyélocytes ; les érythrocytes ne sont