Baie Burrard

l’environnement. Sociaux : Toutes entreprises, qu’elle sritoires traditionnels dee vie du sud, plus industrialisé. Cela menace une culture, déjà menacé, riche et importante pour l’ensemble de l’histoire du Québec. Par contre, après la convention de la Baie-James et du Nord québécois, l’entreprise collabore avec les communautés autochtones pour concrétiser des ententes favorables pour ces deux parties.

rassembleur, un rendez-vous avec l’avenir auquel sont conviés les Premières Nations, les Inuits, les communautés locales et tous les Québécois». Par contre, tous n'est pas rose. L'APNQ a souligné que les communautés qui n'ont pas signé la Convention de la Baie-James et qui ont des droits sur d'autres portions territoriales du Nord n'ont pas été consultées, y compris certains peuples installés au sud du  5.49e parallèle. Les négociations avec les chefs des première nations restent toujours aussi actives

financement de plusieurs ministères et organismes en une seule enveloppe globale. Les Inuits n’ont pas été obligés de suivre la loi sur les indiens, pourtant ils se sont soumis au régime des québécois. Ils ont fait la signature de la convention de la baie James et du nord québécois et ce, seulement ceux qui vivent au Québec. Cette rencontre a permis d’incorporer les décideurs politiques de tous les ordres du gouvernement. Ils voulaient aussi une aspiration qui leur soit propre. Ils ont fait valoir