Baigneuse Du Clair Au Sombre

Ambivalence de l’éphémère Paul Eluard, « Baigneuse du clair au sombre » dans Capitale de la douleur Les êtres humains cherchent le bonheur, l’amour et la constance, mais ces conditions ne sont pas toujours permanentes. Dans le poème « Baigneuse du clair au sombre », tiré du recueil Capitale de la douleur paru en 1926, du poète surréaliste Paul Eluard, l’inconstance des moments de joie et du bonheur en général est expérimenté à travers une écriture aussi contradictoire qu’exemplifiée à travers

couleur rouge éclatante des lèvres. Le fond qui passe d'un orange vif à un plus terreux en s'éloignant du modèle, fait ressortir la peau pêche et s'accorde avec la robe rouge et jaune. Les bras tombent le long du corps, s'assombrissant, les cheveux brun sombre faisant ressortir le visage. La toile dans son ensemble permet de mettre en valeur le modèle, lui donnant une impression de chaleur et de luminosité qui lui donné plus de vitalité, plus de vigueur et de vivacité, faisant ressortir le visage et la

(musée Pouchkine, Moscou). Renoir réussit à rendre sensible toute la séduction de ce bal par un après-midi de printemps, les taches de soleil se posant à travers les arbres sur les chevelures et les visages, les longues robes claires des danseuses, les vêtements plus sombres des danseurs. L'harmonie des verts et des bleus, ponctués de jaunes et de roses, est obtenue par touches superposées et fondues qui contribuent à restituer une scène pleine de vie et de mouvement. À la fin de l'année, il part

plus précis. Il dessine les formes avec plus de rigueur, les couleurs se font plus froides. Il concentre alors ses toiles sur la maternité après la naissance de son premier fils. Ensuite, il réalise la grande oeuvre de cette période : les Grandes Baigneuses qui lui prit 3 ans. De 1890 à 1900, Renoir change de nouveau son style. Ce n'est plus du pur impressionnisme ni du style de la période ingresque, mais un mélange des deux. Il entre dans la période nacrée. De 1900 à 1919, l'artiste entre dans

division au tableau, les hommes sont vêtus de couleurs vives et les femmes de couleurs ternes. La lumière employé par David met en place un effet dramatique elle est violente est contraste ce qui donne au tableau un effet théâtral. Cette technique du clair-obscur confère au serment des Horaces une dimension sacrée. § Les sabines 1799 (jacques louis David) 522x385cm L’œuvre est envisagé lorsque David est emprisonné au Luxembourg en 1795. Ce tableau représente les sabines s’interposant pour séparer

Têtes du sérail IV : Enthousiasme V : Navarin VI : Cri de guerre du mufti VII : La Douleur du pacha VIII : Chanson de pirates IX : La Captive X : Clair de lune XI : Le Voile XII : La Sultane favorite XIII : Le Derviche XIV : Le Château-fort XV : Marche turque XVI : La Bataille perdue XVII : Le Ravin XVIII : L’Enfant XIX : Sara la baigneuse XX : Attente XXI : Lazzara XXII : Vœu XXIII : La Ville prise XXIV : Adieux de l’hôtesse arabe XXV : Malédiction XXVI : Les Tronçons du serpent

corps. C'est ce que fit Ingres avec ici, la Grande odalisque. Dans ce tableau, il rajoute une vertèbre à cette femme pour qu'elle paraisse encore plus grande. Mais il apporte aussi au travers d'une nu une représentation de la pureté, la peau est lisse claire, elle a l'air fragile. Ingres, le Bain Turc Diamètre 108 cm 1863 [pic] Cependant, Ingres ne sut pas rester insensible aux charmes érotiques du nu. Les modèles aux poses étudiées se superposent donnant une impression d'abondance et faisant

-Pont d’Argenteuil sur la Seine, 1883 -Edgar DEGAS : -Danseuses, 1878 -Bain du matin, 1883 -Cavalier sous la pluie, 1886 -Auguste RENOIR : -La loge, 1874 -Chemin montant dans les hautes herbes, 1875 -Les grandes baigneuses, 1887 -Vincent VAN GOGH : -Champs de blé sous un ciel orageux, 1890 -La sieste/ La méridienne, 1890 -Le semeur au soleil couchant, 1888 L’histoire de l’impressinnisme La première exposition impressionniste

d’autres, qui influenceront son style de manière déterminante. Il peindra des portraits de Raphaël, notamment « Raphaël et la Fornarina, 1815 ». Durant son séjour, il peint énormément et envoi à Paris deux toile, « Œdipe et le Sphinx » et « La Grande Baigneuse », mais ces œuvres n’y remporteront pas le succès des critiques. Il reste à Rome au-delà de la période officielle, et y bénéficie de nombreuses commandes, la décoration du palais de Rome, entre autre. Il peint essentiellement de sujets mythologiques

avec de grandes expressions (colère, peur) peinture très structurée et élaborée malgré toute une agitation. Il va individualiser chaque personnages, très composé, orchestré. Castiglione : 17ème siècle ; couleur différente, sombre et mesurée. Travail sur la lumière et le clair obscur. Trois étapes bien distinctes avec les deux colonnes Rembrandt 1626 ; Christ au dernier plan, il n’y a plus de décor, on va directement à l’essentiel. Travail sur le hors champs, ca dramatise la scène on est au plus