Baïonnette

9 et de « chaque côté » l.4 Auditif : Accumulation l.1-2 d'instruments de musique = harmonie Un ballet : On a l'impression que la guerre est un ballet avec 3 actes découpés par les canons l.3, puis la mousqueterie l.4, et enfin la baïonnette l.5. C'est une métaphore filée, les éléments d'artillerie remplaçant les danseurs. L'expression arriva enfin hors du théâtre l.19 renforce l'idée de spectacle. c) La guerre est un jeu Utilisation du verbe « renverser » qui fait penser à

de hauteur pour 3,45 mètres de largeur. Cette scène se déroule sur la montagne Principe Pio, on peut distinguer à l’arrière-plan une ville et une église. Les soldats napoléoniens sont en uniformes, ils portent des sac-à-dos et ont des fusils à baïonnettes, ils sont en position de tir. Les civils espagnols et un moine tonsuré portent des vêtements simples, ils n’ont aucune arme avec eux, ils cachent tous leurs yeux et sont agenouillés. L’un d’entre eux regarde de face les fusils avec un regard plein

TEXT 9 - LATexte 9: Candide Problématique: Comment Voltaire utilise l’ironie pour critiquer la guerre? 1er mouvement: Une description spectaculaire 2ème mouvement: Brutalité de la scène 3ème mouvement: La fuite de Candide Transition: La scène est perçu du point de vue de candide, il admire la grandeur de la guerre … de loin. Son apprentissage est fait d’admiration et de peut ce qui le rend paradoxale. Le lecteur perçoit donc déjà l’ironie cruelle de cet épisode. Citation Procédés Analyse

parade. Géniale description : les canons s'ajoutent aux instruments. Progression du plus aigu au plus sourd : on attend "timbales", on a "canons". Harmonie infernale : la guerre est un enfer. Compte mathématique et méthodique : canons, mousquets, baïonnettes : ordre normal d'une bataille. Horriblement sanglante : mais Voltaire le dit froidement (traitement comique de l'horreur). Il se moque de l'optimisme : "Raison suffisante", jargon ("cause / effet"). "Trembler comme un philosophe" : un philosophe

la Révolution et le fossé qui se creusa entre les modérés et les extrémistes rendirent caduque cette divinisation de l’unité nationale, et la toile ne fut jamais achevée. Elle reçut même, selon le témoignage de Vivant Denon, de nombreux coups de baïonnette lors de l’insurrection du 10 août 1792, alors qu’elle était entreposée dans la Grande Galerie du Louvre.

Uboats Paru dans « le Journal », dérision… Louis Loucheur Walter Ratheneau Bernard Baruch Appel à la main d’oeuvre J. Simont , Fransciscaines au travail, Saint Brieuc Prends garde au môme... hein ! Dessin publié dans La Baïonnette, n° 124, 15 novembre 1917 Elles ne sont pas toutes à Biarritz ou à Deauville. Dessin de Paul IRIBE Affiche de propagande française, Faivre, 1915 A. BESNARD - 1917 - Souscrivez pour hater la paix par lavictoire - Musée de Blérancourt

habits jaunes et blancs répètent les couleurs de la lanterne. Sur la droite se tient le peloton d'exécution, pris dans les ombres et dépeint comme une unique unité monolithique. Pratiquement vus de dos leurs visages ne peuvent être vus, leurs baïonnettes et leurs shakos (les couvre-chefs militaires qu'ils portent) forment une colonne implacable et immuable. Sans que cela ne distraie de l'intensité de la scène au premier plan, l'on peut apercevoir dans l'obscurité, à l'arrière plan, un village et

la Somme et celle de Verdun tente de percer le front mais en vain. Cependant, la guerre de Verdun a été très meurtrière; on parle d’environ sept millions de morts notamment à cause des nouvelles armes. En effet, en plus d’utiliser des fusils a baïonnettes, des matraques et des canons, depuis 1916 les soldats utilisent aussi des gaz asphyxiants et des liquides enflammés. Dans les tranchées, les soldats souffrent de l’humidité, du froid, de la faim, de la soif, du manque d’hygiène, des bombardements

cauchemarder la guerre. ● Les souvenirs et les récits de sa grand-mère. ● Les oeuvres cinématographiques. ● Les récits des écrivains combattants : Barbusse, Cendrars, Dorgelès ou Céline. ● La peinture : Otto Dix ou Gus Bofa qui a illustré la revue La Baïonnette. 2e axe d’étude : Témoigner, documenter et sensibiliser. ● Importante documentation historique : lettres, carnets de guerre, témoignages du front, photographies, uniformes, armement… ● Enquête sur les lieux des événements. 3e axe d’étude : Dénoncer

d’assaut au milieu des cadavres et des blessés par un groupe d’hommes d’origines sociales diverses reconnaissables à l’allure et aux vêtements. Ils sont menés par une jeune femme, allégorie de la Liberté, buste dénudé, drapeau tricolore et fusil à baïonnette en mains, encadrée d’un Gavroche, gamin des faubourgs décrit par Victor Hugo dans les Misérables et d’un bourgeois considéré comme l’autoportrait de Delacroix, issu d’une famille aisée. La construction est pyramidale, s’élevant des corps du premier