Baiser

mystérieuse et qui dégage un certain contrôle. Le rouge à lèvres devient un outil de création avec « un mètre carré de rouge à lèvres » de Fabrice Hybert en 1981. Il utilise 20 tubes de rouge pour le réaliser. (+ explication) Scandale du « baiser d’Avignon »

amplifie la puissance du rêve. Les expressions qui implique le lyrisme « la voix qui m’est chère” V.3, “ce qui me hante et me gouverne” V.7. Au début du texte, Desnos croit très fort à un amour impossible « atteindre ce corps vivant » V.2 « de baiser sur cette bouche » V.2 Mais au fil du texte on remarque le lacement de Desnos qui finit par ne plus à croire à ce qu’il croyait être un vrai amour « Sans doute que je m'éveille » V.9 «J'ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, […] Qu'il ne me reste

| |Métaphore filée de la figure féminine : | |« Embrasser l’aube d’été » : faire de l’Aube une femme que l’on salue d’un baiser, esquissant | |éventuellement l’idée d’une relation amoureuse | |( fig. fem. présentée avec toutes les promesses de la transcendance : déesse a cette magie des Dieux, |

comme leurs deux visages se reflétaient, l'un contre l'autre, dans l'eau si claire dont les plantes noires du fond faisaient une glace limpide, Jean souriait à cette tête voisine qui le regardait d'en bas, et parfois, du bout des doigts, lui jetait un baiser qui semblait tomber dessus. « Ah ! que vous êtes ennuyeux ! disait la jeune femme ; mon cher, il ne faut jamais faire deux choses à la fois. » Il répondit : « Je n'en fais qu'une. Je vous aime. » Elle se redressa, et d'un ton sérieux : « Voyons

ouverts, sa bouche immobile contre (le mien – les miennes – la mienne), une bouche chaude et dure ; un léger frémissement la (parcourait – parcourrait – par courrait), il s’appuya un peu plus pour l’arrêter, puis ses lèvres s’écartèrent, son (baisser – baisé – baiser) s’ébranla, (devin – devint – de vingt) vite impérieux, habile, trop habile… Je comprenais que j’étais plus douée pour (embrasser – embraser – embrasé) un garçon au soleil que pour faire une licence. Je m’écartai un peu de lui, haletante

un dessin, Je pris pour que se soit le destin, Mes nuits sont à toi, Comme tes mains sont miennes, Ta peau est douce, Sous l’effet de ma bouche, elle frissonne, Et c’est pour cela que je souhaite que jamais tu m’abandonnes, Une caresse, un baiser jamais je n’y renoncerai, Je veux être à toi, Mais, il n’y a que toi pour faire ce choix … * Mon cœur est lourd, … Mon cœur est lourd, Il ne peut plus essuyer mes pleurs, Il n’est plus de velours, il saigne, Je aire, il aire, Mais vide

préoccupation L.10 : Lisette le rassure sur ses sentiments, « vous ne devez point douter de ma tendresse » L.11 : Le langage d’arlequin redevient propre à son rang, il se recentre sur ces préoccupations charnelles. On n’est pas que dans « baiser », « bouche », « mienne » la sphère des sentiments mais dans la manifestation physique. L.15 à 17 : Lisette recentre le discours sur ces propres préoccupations, comme cela avait déjà été le cas dans l’acte II, scène 5, elle vois dans le personnage

Je veux user d’une douce main-forte. Hà ! Vous tombez, vous faites jà la morte. Hà ! Quel plaisir dans le cœur je reçois ! Sans vous baiser, vous moqueriez de moi En votre lit, quand vous seriez seulette. Or sus ! C’est fait, ma gentille brunette. Recommençons

s’enlacent et valsent tandis que la musique enivrante qui s'échappe du bar se fait crescendo. Ma douce Harmony. Il nous en a fallu du temps pour nous défaire, n'est-ce pas ? Pour arrêter de nous faire souffrir l'un l'autre et nous détacher. Enfin. Le baiser s'arrête et tu te recules, te retournes. Je sais que ce sera la dernière fois que je te verrais et je me demande si tu as décidé de reprendre ce qui reste de ta vie en main. Si tu t'es résolue à affronter la vie maintenant que tu es morte mille fois

qu'elle ait envieDu jeu d'aimer, désire être ravie.Témoin en est Hélène, qui suivitD'un franc vouloir Pâris, qui la ravit.Je veux user d'une douce main-forte.Hà ! vous tombez, vous faites jà la morte.Hà ! quel plaisir dans le coeur je reçois !Sans vous baiser, vous moqueriez de moiEn votre lit, quand vous seriez seulette.Or sus ! c'est fait, ma gentille brunette.Recommençons afin que nos beaux ansSoient réchauffés de combats si plaisants. « Stances Galantes » Un poème de Molière (1622-1673), extrait