Balistique extérieure

serait le cas dans l'hypothèse de conflits frontaliers continentaux) mais, comme par hasard, 1°) elle muscle sa flotte de haute mer et sous-marine - Pékin envisage le lancement de porte-avions - et son aviation ; 2°) elle améliore ses capacités balistiques et nucléaires, préparant aussi des satellites-espions militaires ; 3°) elle revalorise toutes les soldes, pour motiver son armée. Les Chinois se préparent donc bien à un conflit de type "post-moderne", centré sur la guerre électronique, les missiles

parlées en Asie sont le Mandarin et l'Hindî I. L’Asie dans le monde : 1. La multipolarité dans le monde d’Asie : L’Asie sud Est : Lieu de passage entre deux grands océans, "angle de l'Asie" entre l'Extrême-Orient et l'Asie du Sud, les influences extérieures sont à l'œuvre depuis toujours dans la région du sud-est asiatique qui, au sens contemporain, regroupe les pays suivants : Brunei, Cambodge, Indonésie, Laos, Malaisie, Myanmar, Philippines, Singapour, Thaïlande, Vietnam. Les différentes civilisations :

nécessité naturelle éternelle ou interprètent le travail comme une entité supra-historique de l’homme. Marx suit ici le mouvement ouvrier historique qui voit dans le travail le propre de la condition humaine, « déformé » par le capital à des fins extérieures et usurpatrices. Toutefois, ce n’est pas un hasard si Marx ne s’est jamais laissé aller à glorifier le travail, les mains calleuses, à exalter l’éthique protestante du travail accompli et la « création de valeur » par le travail, comme ce fut couramment

(Otan) s’est donné récemment (oct 2010) un ordre de mission pour l’avenir avec un nouveau « concept stratégique ». La validité de l’article V est réaffirmée mais de nouvelles menaces sont identifiées parmi lesquelles la prolifération des missiles balistiques, les cyber-attaques, le trafic de drogue, la piraterie et la sécurité des approvisionnent notamment en matières premières ainsi que les capacités nécessaires pour s’en protéger. Les Alliés ont également décidé la mise en œuvre d’un système collectif

communisme § Favoriser le plein emploi aux Etats-Unis et écarter ainsi le spectre d’une nouvelle crise économique comme celle des années 30. Les économies européennes redressées pourront absorber des exportations américaines, et la demande extérieure viendra donc compléter un marché intérieur développé mais insuffisant compte–tenu des capacités de production américaines accrues pendant la guerre. 2. Les moyens § Les USA proposent une aide économique à tous les pays qui la souhaitent

car Mao n’avait jamais accepté la politique de déstalinisation et de « coexistence pacifique ». La rupture est consommée entre Moscou et Pékin dès l’arrivée de Brejnev en 1964, en 1967 la Chine n’a plus besoin de l’URSS et fait sa propre politique extérieure. En 1969, les relations sont si tenues entre les deux qu’on assiste à un début de conflit sino-soviétique sur les bords du fleuve Amour. La Révolution culturelle est une illustration de cette rupture : Mao met en place une politique purement stalinienne

suivante commencent des négociations à Helsinki qui débouchent alors sur la signature d’un nouvel accord entre les USA et l’URSS en mai 1972 à Moscou : les Strategic Arms Limitation Talks, qui visent à plafonner les armes stratégiques et les missiles balistiques à un certain niveau, ainsi que les sous-marins nucléaires. Cependant, il n’interdit pas d’améliorer les armes existantes et d’en chercher de nouvelles. En matière commerciale, les échanges se développent entre l’URSS et les USA à partir du voyage

souhait de l’opinion publique du pays en matière de politique extérieure. Ce qui fait que les gouvernements successifs ont toujours introduit des considérations morales dans les déclarations pour justifier leurs actes donnant ainsi à la politique extérieure américaine des teintes de justice, de générosité et de suprématie par rapport à toute autre politique. Pourtant, l’histoire démontre que c’est justement lorsque la politique extérieure des Etats-Unis est désastreuse qu’elle est, toutes les fois

La technique se fonde avant tout sur le savoir-faire, c’est-à-dire une efficacité qui possède de fortes composantes cognitives dans la maîtrise de processus. L'objectif d'une anthropologie des techniques est de ne pas se limiter à une observation extérieure de la technique mais d'approcher de la pensée, de la conception, voire de la perception sensible de la technique. L'anthropologie s’intéresse à « ce que les hommes ont dans la tête » et à ce qu'ils pensent et ressentent lorsqu'ils agissent techniquement

pro-démocratie et les structures aux agendas droits-de-l’hommistes, concentrent l’ire de Pékin, toujours capable, ces vingt dernières années, de se laisser emporter sans retenue sur ces différents thèmes, quoi qu’il en coûte en terme de réputation extérieure. Peu importent, en effet, les dommages collatéraux sur l’image de la Chine : des deux crises sino-taiwanaises (1995-2001) – lors desquelles la soldatesque chinoise s’agita plus que de mesure – aux incidents observés au Xinjiang en juillet 2009 (200