Balistique extérieure

d'agir différemment en fonction des données ou des nécessités du moment. Les données à manipuler sont obtenues, soit par la lecture de mémoires, soit par la lecture de composants d'interface (périphériques) qui représentent des données physiques extérieures en valeurs binaires (déplacement d'une souris, touche appuyée sur un clavier, température, vitesse, compression...). Une fois utilisées, ou manipulées, les données sont réécrites, soit dans des mémoires, soit dans des composants qui peuvent transformer

Il peut s’agir une frontière délimité par une ligne physique (ex : un fleuve) ceci pour l’espace terrestre. L’espace aérien ne s’impose au sens de la frontière qu’au 20ème siècle au moment où se développe les vecteurs aériens et les acteurs balistiques, ainsi que les systèmes satellitaires. Après la 1ère guerre mondiale qui a connu les début de l’aviation militaire il a été reconnu que l’espace sur jacent le territoire national relevait de la souveraineté des Etats. Autrement dit a partir de la

Corée du Nord d’imposer ses termes dans les débats sur l’unification, ils se sont tournés vers des démonstrations de puissance militaire dangereuses. En effet, la détermination de la Corée du Nord à développer des armes nucléaires et des missiles balistiques entrave toute perspective de collaboration. The country had to shelve its strategic ambitions of reuniting the Peninsula on its terms and is reduced to making desperate and dangerous tactical displays of military power to threaten its neighbors

porter sur des matières à propos desquelles le principe de souveraineté des Etats permet à chacun d’entre eux de se décider librement. Il en est ainsi du choix du système politique, économique, social et culturel et de la formulation des relations extérieures. L’intervention est illicite si un autre Etat utilise des moyens de contrainte sur l’un de ces propos (qui doivent demeurer libre), la non-intervention est un principe du Droit coutumier et de norme impérative  Appelé le JUS COGENS. Il existe

rendre visite sans que personnes ne le sache. Ils sont les seuls à avoir droit à une information véritable, le reste de la population devant se contenter de ce que lui fait croire la propagande. La deuxième classe sociale est celle de la «masse extérieure au noyau»: ces paysans, ouvriers et intellectuels n'ont pas d'engagement politique, mais appuient le régime sans réserve. Le troisième cercle est celui des «masses mélangées», ennemis de classe des premières années, renforcés sans cesse par les

Paris, 12 décembre 2003, p. 1. 2 Quelle stratégie de sécurité pour l’Europe (2003) ? 2. La prolifération des armes de destruction massive 16. La prolifération des armes de destruction massive et de leurs vecteurs, tels que les missiles balistiques, constitue la menace la plus importante pour la sécurité européenne. Cette menace s’avère encore plus dangereuse si elle est associée au terrorisme. La stratégie européenne de sécurité souligne qu’actuellement « l’on risque d’assister à une course

défense, surtout si les Etats-Unis se lassent de devoir assumer la responsabilité et le poids financier de la défense européenne. Les récents avertissements de R. Gates en la matière doivent être pris au sérieux. La question de la défense antimissile balistique de l’Europe (DAMB) est emblématique de ce risque, et pourrait ainsi être le catalyseur d’une nouvelle coopération européenne. En dehors du fait que l’Europe ne peut laisser les Etats-Unis assumer seuls la sécurité du continent Rennes 2011

plusieurs milliers de blessés. Deux ans plus tôt, cette secte avait libéré des spores de la maladie du charbon dans une rue de Tokyo. FR chimiques et radiologiques constituent également une possibilité sérieuse. La prolifération de la technologie balistique ajoute un élément d'instabilité supplémentaire qui pourrait placer l'Europe dans une situation de risque accru. Le scénario le plus effrayant est celui où l'on verrait des groupes terroristes acquérir des armes de destruction massive. Dans cette

retard dans la course à l’Espace» et répliqueront quatre mois plus tard par le lancement d’Explorer 1. Cependant, l’avance de l’Union soviétique demeure considérable. Selon Villain, l’Espace se présentait comme un élément dominant de la politique extérieure des communistes et fut manifestement profitable à l’image de son régime, qu’elle diffuse partout sur le globe. L’Union soviétique a, elle aussi, cette idée d’expansion extrême, qui s’appuie sur la doctrine du panslavisme . De plus, Khrouchtchev

ne permet de penser qu’Andropov ou Tchernenko se seraient comportés de la même façon s’ils avaient vécu plus longtemps. C’est parce que Gorbatchev avait une autre vision du monde, parce qu’il a encouragé un autre mode de pensée qu’une politique extérieure novatrice a pu voir le jour en URSS »3. Le premier point de vue pèche manifestement contre la vérité : la fin de la guerre froide (1989-1990) est antérieure à la chute du communisme, et la course aux armements n’a eu aucune influence décisive sur