Balle aux prisonniers

extrême 3 ) Crime contre l'humanité, massacres → Travail forcé, prisonniers de guerre brutalisés, affamés, tués, test cobayes humain (Unité 731) 300 000 morts → L'horreur du Japon : massacre de Nankin, (3T : tout détruire, tout tuer, tout bruler) 100 000 morts + 8 000 viols → Bombardements à répétition dont deux à la bombe atomique : Hiroshima et Nagazaki → Extermination et anéantissement par les Einsatzgruppen → Shoah par balle (policiers allemands tirent balles dans la tête des juifs → 1

arrêter. Astic, épée. Attaches, boucles. Attaches d'Orient, boucles d'or. Attaches d'auber, boucles d'argent. Attiger, blesser, frapper. Avergots, œufs. B. Babillard, livre. Babillarde, lettre. Baccon, pourceau. –7– Bâcler, fermer. Balancer, remuer. Balle, franc. Barbaudier, gardien. Basourdir, tuer. Batouze, toile. Battre, dissimuler. Battre comtois, faire le niais. Battre morasse, crier au secours. Baude, vér… Baudru, fouet. Bauge, coffre. Bier, aller. Blanquette, argenterie. Blavin, mouchoir. Bloquir

d’anéantissement est portée à son paroxysme lors du second.  En témoignent tant :Le « jusqu'au boutisme »des belligérant qui amène a faire disparaître la distinction entre combattant (combat a outrance bombardement stratégique des villes , massacre de prisonnier de guerre ) que la politique raciste menée par les allemand à l'encontre des juif et tzigane Problématique :comment la seconde guerre mondiale devient elle une guerre d' aneantissement poursuivant la brutalisation de la société liée a la 1ere

tout les matins, Jérome se rend à l’école, il est en CP. Aujourd’hui, durant la séance d’éveil sportif, il faisais une partie de ballon prisonnier avec ses camarades. Jérome avait la balle et visait Louise, qui était du camps adverse et un peut éloigner de Jérome. Il lançât la balle fort pour qu’elle atteigne Louise. Un peut trop fort et un peu trop bien visé, la balle arrivas dans la tête de Louise, lui faisant tomber ses lunettes, qui se brisèrent en milles morceaux. Jérome s’excusa auprès de sa camarade

consistait à déterminer quel régiment leur faisait face ainsi que de récupérer un prisonnier pour obtenir des informations. Wilkes surnommé Wilkie, guidait la patrouille, ils sautèrent par dessus les lignes adverses, pour enfin atteindre leur faction. Personne n'était en vue. Quand soudainement, un Allemands, leur fit face, il hurla. Ses coéquipier accourèrent, avant de terminer leur course dans la gadoue, le corps truffé de balle. Sans dire un mot, le sergent attrapa le captif et l'emmena. Cependant, sur

violence de masse inédite. Dans un premier temps, ces violences se sont démarquées au niveau militaire. Les prisonniers de guerre étaient jugés par leurs ennemis sans moyens de se défendre, ainsi ils ont été massivement tués en URSS par exemple. Toujours chez les soviétiques, dès qu’une personne était soupçonnée d’être opposante au régime en place elle connaissait le même sort que les prisonniers de guerre. L’exemple qui ressort le plus de cette période est celui du massacre de Katyn, ou 4400 officiers

Ohé partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme! Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes. Montez de la mine, descendez des collines, camarades, Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades; Ohé franc tueurs, à la balle et au couteau tuez vite! Ohé saboteur, attention à ton fardeau, dynamite! C'est nous qui brisons les barreaux des prisons, pour nos frères, La haine à nos trousses, et la faim qui nous pousse, la misère. Il y a des pays où les gens au creux des lits

menace. - « nos » : notre pays envahi et occupé par les Allemands. - « plaines » : la plaine est un grand espace plat où il est impossible de se cacher. Dans la plaine, les proies sont à la merci des prédateurs. - « cris sourds » : ceux des prisonniers torturés par les SS, des civils terrorisés par les bombes. Les Français ont peur de l’occupant Allemand. - « Pays qu’on enchaîne » : la France souffre d’être esclave de l’occupant Allemand. Les paroles du Chant des Partisans ne citent jamais les

répartis dans l'ensemble des commissariat et des diverses administrations. Ces hommes et ces femmes ont à leurs dispositions des moyens parfois très impressionnants. Chaque policier est équipé d'un : - pistolet calibre 9 millimètre - gilet pare-balle attitré - d'un chargeur de 15 balles - sur demande d'une matraque (tonfa) ou d'un bâton télescopique (journée de stage) Matraque (tonfa) Bâton télescopique Pour le maniement de leur pistolet les policiers doivent s’entraîner minimum

menace.  - « nos » : notre pays envahi et occupé par les Allemands.  - « plaines » : la plaine est un grand espace plat où il est impossible de se cacher.  Dans la plaine, les proies sont à la merci des prédateurs.  - « cris sourds » : ceux des prisonniers torturés par les SS, des civils terrorisés par les bombes. Les Français ont peur de l’occupant Allemand.  - « Pays qu’on enchaîne » : la France souffre d’être esclave de l’occupant Allemand.  Les paroles du Chant des Partisans ne citent jamais