Balle aux prisonniers

langages soutenu comme à Paris dans les années 30 . Délire verbal a l'image de ce ce qui se passe au front . Ce roman n'est pas une narration mais un cri = L'auteur réunit la distance entre l'émotion et la narration . Pour conclure ,Bardamun est prisonnier sur le front ,il est victime d'une horreur qu'il n'avait jamais supprimer . Il ose avouer sa peur ,il se pressente en anti-héros ,pour mieux dénoncer la guerre . II . Dénoncer la guerre Nombreux qualificatifs négatif ,Aucune justification historique

persécute. Lors des expositions des tableaux des «  dégénérés », beaucoup de tableaux d'Otto dix seront exposés avant d'être brûlés. Avec la Deuxième Guerre Mondiale, Otto dix est enrôlé de force pour servir sur le front occidental avant d'être fait prisonnier en France. Il sera traumatisé par ces deux guerres après lesquelles il se consacrera à l'Art. Il est mort à 77 ans, le 25 juillet 1969 à Singen en Allemagne de l'Ouest. Otto Dix connu pour ses tableaux sur la Première Guerre Mondiale comme

Le Gamaar, dans lequel a lieu tout le dénouement de l’histoire, où un véritable flot d’hémoglobine et des flammes tourbillonnantes se mélangent. L’écriture du titre est faite avec une médaille militaire nazie percée de la même façon qu’un impact de balle, et donc ensanglantée. Le blanc, le rouge sang et le noir se mêlent dans la police des titres, que ce soit le casting, le titre du film et le nom du réalisateur, ou encore la phrase cynique, écrite au pied de Raine armé de son couteau : « Dans une

furieuses de son amour exclusif 2)Cocteau et la mort: La vie de Jean Cocteau présente une chaîne de tristesse ou le thème de la mort s'incarne par excellence .Commençant par la mort de son père pour une raison mystérieuse:Il était tué par une balle à la tête sans raison;et se termine par le décès de son ami Radiguet par la typhoïde. La mort de ce dernier a énormément affecté Cocteau,bien qu' il n'est pas assisté aux obsèques ,Cocteau se jette dans l' obsession de la mort . «Le vrai tombeau des

dans le droit chemin et retrouver la raison. Le frère de Manon: Lescaut incarne la corruption et le vice. Il va jusqu’à prostituer sa sœur pour de l’argent. Sans scrupule et mauvais, il meurt au milieu du récit devant Manon et Des Grieux, tué par balle. Le père de Des Grieux: aux morales inflexibles, il incarne les valeurs de la noblesse. Il préfère voire son fils mort que déshonoré. Il est le symbole d’un patriarcat tout puissant. “adieu, fils ingrat et rebelle. (…) adieu, père barbare et dénaturé”

distance aura-t-il parcourue pendant son existence ? Tour infernale Un prisonnier est attaché (par le cou) à une chaînette de 8 m 40 exactement, laquelle est rattachée à l'autre bout à une tour, ronde. Cette tour a un diamètre de 6m. Pour se libérer, le prisonnier n'a d'autre choix que d'essayer d'attraper la clé, qui est suspendue à un crochet diamétralement opposée à l'origine de la corde par rapport à la tour. Le prisonnier peut également étirer son bras, mesurant exactement 88,3 cm de son cou

sujets aussi importants que la sexualité et la violence. Or, il y avait un contraste évident avec ce qu’on avait vu de la guerre du Viêt Nam, de sa brutalité et de son horreur. Des gens s’immolaient, d’autres étaient traînés par des chars, des prisonniers de guerre étaient torturés par la CIA. C’était tellement différent de tout ce que l’on avait vu au cinéma que ça discréditait la façon dont le cinéma abordait la violence. » Eddie Adams – Saigon Execution – 1968 b) Le déclin Dans les

meilleurs que les miens, peux-tu enfiler mon aiguille ? me demanda-t-il. Il nous faut maintenant porter une étoile jaune. Il me montrait du doigt un tas d’étoiles jaunes, le mot “Juif” tissé au milieu… Quand ? L’enfant serra sous son bras l’oiseau prisonnier de son surcot et s’éloigna à grandes enjambées. Mais, lorsqu’il aperçut sur la colline la masse redoutable de la demeure seigneuriale, il se souvint que posséder un oiseau était un privilège réservé aux nobles… Quand ? La pleine lune éclairait

paysage, (no man’s land), crée un environnement assourdissant et angoissant, et cause 75 % des pertes. Un corps sur cinq n’a pas été retrouvé. La crainte des gaz (responsable d’1% des pertes) et des éclats d’obus est manifeste : -6- « Mourir d’une balle n’est rien. Notre corps reste intact, mais être démembré, réduit à de la bouillie, c’est une crainte que la chair ne peut supporter et qui est l’essence même de l’immense souffrance causée par les bombardements ». Sergent Paul Dubrulle, Verdun, 1916

de la R.A.F étaient enfermées dans des cellules très spéciales, insonorisées et surchauffées, surnommées "à isolation sensorielle". Les prisonniers étaient dans une cellule sans fenêtre ni lumière du jour, la lumière artificielle s'allumait de telle manière à briser le cycle du sommeil du prisonnier, les murs étaient blancs afin de briser la vue. Les prisonniers entamèrent tous une grève de la faim pour protester contre ces conditions de détention déplorables. Pour la R.A.F, la grève de la faim était