Banlieue 13

« Cœurs de banlieue : codes, rites et langages » de David Lepoutre Bibliographie : Lecture tonique, neuve, parfois drôle, des comportements et des pratiques des adolescents des grands ensembles. Il n'est question ni de crise, ni de désocialisation, encore moins de vide social, mais de culture et d'honneur, de performance de langage, de bagarres entre groupes rivaux, de boxe, de compétitions artistiques... Où il est établi, et montré, qu'il existe entre jeunes des cités un système original de

ETUDE SUR LES FACTEURS D'ENTREE DANS LA DELINQUANCE Les espaces urbains que nous appelons aujourd'hui « banlieue » étaient à l'origine des faubourgs, des constructions autour des remparts, en périphérie des grandes villes. C'est de là que la banlieue tirent son nom, elle était sous l'autorité de la ville, sous son ban. Les banlieues ont bien évolué depuis. Avec le temps l'état y a regroupé les familles les plus modestes, les travailleurs immigrés, les ouvriers... Dans ces espaces urbains démesurés

La situation d’hygiène que j’ai choisi d’analyser est la toilette au lit d’une femme, résidente en maison de retraite. L’action se déroule dans un EPHAD situé en banlieue parisienne. J’ai choisi d’analyser cette situation car il s’agit d’un soin très important pour des patients alités et incapables de faire eux même leur toilette. Ce soin leur permet de rester propre et de se sentir bien. Afin d’effectuer ce soin dans de bonnes conditions, il est très important de préparer son matériel avant afin

plaines littorales et remblaiement pour créer des terre-pleins et des îles artificielles. L’état de la région a été rendu possible par la mise en place de moyens de transports rapides: le Shinkansen (TGV) complété par un réseau très dense de lignes de banlieue et associé à un réseau de routes et d’autoroutes important. Des ponts et des tunnels permettent de surmonter les inconvénients de l’insularité. II} L’organisation de la mégalopole A- Un espace dominé par deux « villes mondiales » Tokyo,

refusant des valeurs traditionnelles ? La peur de se faire tuer à chaque coin de rue ? Ce sentiment a commencé à être médiatisé peu après les émeutes urbaines qui se produisirent entre 1990 et 1991, débutant à Vaulx-en-Velin pour s’étendre ensuite à la banlieue parisienne, produisant un amalgame médiatique entre « Violences » et « Cités », qui s’est ensuite répandu dans l’imaginaire populaire et politique pour trouver son apogée au cours des élections présidentielles de 2002. Ce discours représente encore

1-Introduction La criminalité et la délinquance sont tous deux de grands problèmes touchant fortement la population des banlieues mais avec un impact différent. En effet la délinquance concerne les délits opérés à petite échelle et considérés plus sur son aspect social, aussi bien contre les biens matériels que contre les personnes. Mais dans le cas des personnes, le degré de tolérance est restreint et l’on peut commencer à parler de criminalité. Par conséquence la criminalité concerne des

bateau à cueillir des fleurs le long des berges. Elle adorait les fritures de Seine, les gibelottes et les matelotes, les tonnelles des cabarets et les cris des canotiers. Il aimait partir avec elle, par un jour clair, sur l'impériale d'un train de banlieue et traverser, en disant des bêtises gaies, la vilaine campagne de Paris où bourgeonnent d'affreux chalets bourgeois. Et quand il lui fallait rentrer pour dîner chez Mme Walter, il haïssait la vieil- le maîtresse acharnée, en souvenir de la jeune

incriminées du Suprême NTM, ce qui n'est pas peu dire puisque ce groupe est sûrement le plus critiquée du paysage musical français. Cette chanson a été de nombreuses fois citées lors de la fin d'année 2005, à l'occasion des violentes émeutes survenues en banlieue, et lorsqu'il était au goût du jour de dire que la resposabilité de ces émeutes revenaient aux rappeurs... Par la suite, convaincue par cette téhorie simpliste et qui écartait joliment toute résponsabilité revenant à l'Etat, les rappeurs dans leur

siècles. C’est devenu avec le temps, une façon pour les jeunes d’exprimer leur mal-être, leurs difficultés croissantes dans une société qui a tendance à se fermer aux jeunes issus des milieux défavorisés. Depuis quelques années, avec la croissance des banlieues, la violence urbaine a tendance à s’accroître, les voitures brûlées, les vitrines cassées, les lampadaires détruits, les émeutes contre la police sont en perpétuelles accroissements. Comme dit précédemment, les violences urbaines et surtout les affrontements

connus dans l’Histoire et les cultes et religions créent des particularismes. De même, la population est dispersée en plusieurs conditions sociales. Nous pouvons énumérer plusieurs exemples : les conventions ZEP qui permettent aux jeunes issus de banlieues d’accéder à Sciences Po grâce à un examen spécial constitué d’un seul oral, ou encore la loi de la laïcité qui ne s’applique pas en Alsace-Lorraine. Ainsi, les particularismes sont-ils réellement des injustices ? Nous traiterons essentiellement