Banque asiatique de développement

international (SMI) et la gestion des crises monétaires et financières. Pour cela, il fournit des crédits aux pays qui connaissent des difficultés financières mettant en péril l'organisation gouvernementale du pays, la stabilité de son système financier (banques, marchés financiers) ou les flux d'échanges de commerce international avec les autres pays. Lors d'une crise financière, pour éviter qu’un pays ne fasse « défaut » (c’est-à-dire que ce pays ne puisse plus rembourser ses créanciers, voire ne plus

rendements du secteur financier ..................................... 11 1.4.1 1.4.2 Un tel niveau de rendements pose cependant un certain nombre de questions 13 1.4.3 Coût de financement et coût du risque : deux autres sources d’incitation au développement du risque systémique ............................................................................ 14 2. Une étude du risque systémique par activité ................................................................. 15 2.1 Le crédit.............

nombreuses chaque année.   2) La mondialisation économique et financière Les entreprises réfléchissent désormais à l'échelle de la planète ->Firmes multinationales (établissements dans plusieurs pays). IDE : Investissements Directs à l'Etranger Les banques : parmi les entreprises les plus mondialisées placent leur argent dans plusieurs pays. Mais aussi dans « les paradis fiscaux » qui accueilleraient 25% des dépôts bancaires.   3) La mondialisation culturelle Diffusion du mode de vie américain (American

 Un des faits marquant du XXème siècle a été l’émergence et l’explosion économique des pays asiatiques et notamment du Japon, grand précurseur qui devient en peu de temps une véritable puissance industrielle et économique. Cependant , malgré ce contexte de croissance, une crise importante vient toucher ces nouveaux pays émergents , crise qui se généralise peu à peu et met à mal l’économie mondiale . Nous allons dans ce devoir nous efforcer de faire une analyse de la crise en insistant sur

sociaux et économiques pendant ces 7ans à Washington, où il entra à la Banque mondiale en tant que vice président et économiste en chef avant de quitter ses fonctions en 2000. Ses sept années lui ont permis d'observer la transition en Russie et la crise financière d'Asie Orientale en 97. Il répartit son temps de recherche et d'écriture entre l'économie de l'information (science en développement) et le secteur public, le développement et la politique monétaire. Il écrit sur des sujets comme la faillite

international (SMI) et la gestion des crises monétaires et financières. Pour cela, il fournit des crédits aux pays qui connaissent des difficultés financières mettant en péril l'organisation gouvernementale du pays, la stabilité de son système financier (banques, marchés financiers) ou les flux d'échanges de commerce international avec les autres pays. Lors d'une crise financière, pour éviter qu’un pays ne fasse « défaut » (c’est-à-dire que ce pays ne puisse plus rembourser ses créanciers, voire ne plus

De profondes similitudes .................7 La création et la destruction de moyens de paiement par le mécanisme du crédit ...................7 Le financement d’investissements à long terme avec des fonds empruntés à court terme.........8 Le développement d’un endettement gigantesque ..............................................................8 Une spéculation massive ................................................................................................9 Un système financier et monétaire

puis 1988), à Oxford (76-79), et enfin à Princeton (79-88). En 1988, il est appelé à présider le Conseil des consultants économiques de l’administration Clinton. Fort de cette expérience, il devint ensuite vice-président et économiste en chef de la Banque Mondiale entre 1997 et 2000 puis obtient le Prix Nobel d’économie en 2001 pour son travail sur l’économie de l’information en compagnie de George Akerlof et Michael Spence, ce qui correspond en quelque sorte à l’apogée de sa carrière. Il reprend

crise ? Quelles en sont les conséquences nationales, régionales et internationales ? Comment y remédier ? I. D'abord financière, la crise du Japon s'est ensuite propagée à son économie et contribue aujourd'hui à la déstabilisation de l'économie asiatique ainsi qu'à la fragilisation du système financier international A. A l'origine: une grave crise du système financier japonais Une libéralisation financière partielle et peu adaptée à la logique du système initial. Au cours des années 80,

(substitution des importations, on importe peu et exporte peu), marginalisation de ces pays dans E mond°. On essaye le plus possible de se dégager de la dépendance des pays développés. Progression des PEP en 1970 s’explique par la détente, le développement des E EST/OUEST. Pour 2005 : PDEM stagnent, PVD : chocs pétroliers => Augmentation du prix du pétrole permet d’augmenter poids dans les E mondiaux. C triadique : E qui se font dans ou entre les pays de la triade (élargie)