Banque centrale

en cas de chômage. 2. Définitions et mécanismes Une politique monétaire expansionniste ou politique « d’open market » est une situation où la banque centrale rachète des titres publics pour injecter de la monnaie dans le système économique. Le mécanisme va permettre de lutter contre le chômage. En effet il y a création monétaire quand la Banque Centrale rachète des titres publics, la demande de titres augmente et le cours des titres aussi face à cette augmentation. Le taux d’intérêt va alors baisser

de monnaie est fonction relativement stable du fait qu’elle réside seulement dans la transaction. Dès lors seule l’offre de demande explique les variations générales des prix or celle-ci reste un paramètre exogène sous la responsabilité des banques centrales. Cette thèse accouche de la célèbre maxime de Friedman selon laquelle «l’inflation est toujours et partout un phénomène monétaire dans le sens où elle est, et peut être, simplement provoquée par une augmentation plus rapide de la quantité de

masse monétaire en circulation. Mais après 1958 les choses changent. La guerre du Vietnam débute en 1964 et entraîne avec elle des dépenses considérables . Sans parler de la course vers l’espace que se livrent les Américains et les Russes. Les banques étrangères durant cette période émettent des prêts en dollars, ce qui fait augmenter encore un peu plus la quantité de monnaie mise en circulation. Et en 1959, les détenteurs privés de dollars peuvent échanger leurs billets verts directement contre

POLITIQUE ECONOMIQUE : La politique économique est l'ensemble des interventions des administrations publiques (dont l’État, la banque centrale, et les collectivités territoriales) sur l’activité économique. Usuellement, les économistes distinguent les politiques économiques conjoncturelles qui visent à orienter l'activité économique à court terme et les politiques économiques structurelles qui viennent à modifier le fonctionnement de l'économie sur le moyen ou long terme. Les politiques économiques

L’investissement des entreprises est donné par l’équation (3). La dépense publique est notée G, on suppose qu’elle est financée par émission de titres ou par création monétaire ; il n’y a pas d’impôts. L’offre de monnaie en termes réels se note Banque Centrale est représentée par ∆R (mesurée en unités de monnaie nationale). Le solde de la balance des capitaux est défini par : r = r∗ où r∗ est le taux d’intérêt étranger. La balance courante s’écrit : BC = xY ∗ + dQ − zY avec Q le taux de change réel côté

autonomie des politiques économiques - rééquilibrage automatique des la balance des paiements - pas de réserve de change obligatoire pour les banques centrales - ce système permet un ajustement plus rapide aux chocs externes puisque l'ajustement est constant ; - les politiques monétaire et fiscale des pays peuvent être plus flexibles - les Banques Centrales n'ont plus besoin de conserver des réserves importantes de devises pour défendre le cours de la monnaie. 3) La Chine est un pays en développement

découle que c'est l'offre de monnaie, exogène donc dépendante des décisions prises par les banques centrales, qui est responsable de la variation du niveau général des prix et donc responsable des fluctuations économiques. C'est sur cet argument que repose l'idée selon laquelle l'inflation est partout est toujours un phénomène monétaire : la hausse des prix ne peut se manifester que lorsque les banques centrales ont créé de la monnaie. Ni les syndicats, ni les émirs du pétrole, ni les décideurs budgétaires

automatique des balances des paiements •Les ajustements automatiques en régime d'étalon or. 22 11 L s r c e d l to-or e pi i s e’ a n np él •La parité d'une monnaie se définit par son poids en métal précieux. •La création de billets par la banque centrale est limitée par le risque de conversion en or. •Jusqu'aux années 1870, la convertibilité s'applique également à l'argent (bimétallisme). 23 L'ajustement automatique des balances des paiements en étalon-or 1. Déficit de la balance des paiements

croissance française est inférieure à 1,8 % ? Supérieure ? Pourquoi ? (2 points) Question 3 (6 points) Donner la définition de la règle de Taylor. Expliquer (4 points) En quoi permet-elle de juger de la politique monétaire d’une banque centrale ? (2 points) Corrigé Question 1 a) La croissance du PIB français a été de 1,4 % en 2010 (par rapport à 2009) et de 1 % au premier trimestre 2011 (par rapport au quatrième trimestre 2010) b) Cvs : corrigées des variations saisonnières

croissance économique. D’une part elles peuvent provenir des cycles du crédit en effets les banques ont tendance à soutenir la croissance en période d’expansion, en accordant facilement des crédits et a l’inverse à aggraver les récessions en rétractant l’offre de crédit dans le contexte économique. On constate d’ailleurs une corrélation entre l’évolution du PIB et celle des crédits accordés par les banques. Lorsqu’une phase de récession est enclenchée un certain nombre de mécanismes sont susceptibles