Banque privée

des ménages dont la solvabilité est fragile et le risque de non remboursement est élevé.  La titrisation : Lorsque les banques accordent des prêts, elles constituent avec ces derniers des fonds de placement appelés « Véhicules » et les revendent sur le marché financier sous la forme de titres. Ces titres achetés par d’autres institutions financières permettent aux banques d’acquérir davantage de liquidité et donc d’octroyer davantage de crédits. Il est nécessaire que les titres soient notés en

Les crédits distribués par les sociétés de financement……………………………………13 E- Répartition des crédits par agent économique…………………………………………….14 III- LES RISQUES DU CREDIT BANCAIRE ……………………………………………….15 15 A- Risques liés aux relations Entreprises/ Banques …………………………………………... 17 B- Risques résultant de la politique commerciale de l’établissement de crédit ………………. 19 C- Risques découlant de la gestion des établissements de crédits ……………………………. PARTIE II- GESTION DE RISQUE DES CREDITS BANCAIRES

par la Banque européenne d’investissement (BEI) et publiée dans le journal al-Saoura, révèle un certain nombre d’informations utiles sur les pratiques bancaires des principales entreprises syriennes. Globalement, l’enquête révèle une croissance remarquable de la taille du secteur bancaire privé, 40 % des crédits aux 650 grandes et moyennes entreprises recensées ayant été allouées par ces institutions, deux ans à peine après la création des premières d’entre elles. Aussi, ces banques ont

CHAPITRE 3 : portée pour et Limites des banques offshores 1- Portée banques offshore pour le financement directe Les avantages sont directs et indirects : a) Les avantages directs Le pays d'accueil bénéficie des dépenses de fonctionnement effectuées par les banques Offshore. Le versement de salaires aux employés des banques sont l'un des avantages les plus importants pour le pays d'accueil. Dans certains cas, les impôts sur les bénéfices et les droits de licence représentent une source

structurels doivent s'attacher à : (1) Wye College, Université de Londres Table Ronde d'Agadir - 22/10/92 traduction: Sophie Thoyer 9 • favoriser secteur privées. les gains de productivité public et dans les dans le cette approche est une solution de repli, qui issus institutions isole le pays et le prive des bénéfices potentiels de la participation aux échanges internationaux. Les l'économie internationale cette terme car problèmes gains nationale d'efficience est

Plan : Introduction : • Définition de la banque Développement : 1. Secteur bancaire au Maroc 2. Les caractéristiques du secteur 3. Les avantages 4. Les risques Conclusion Une banque  est une entreprise qui gère les dépôts et collecte l’épargne des clients, accorde des prêts et offre des services financiers. Elle effectue cette activité en général grâce à un réseau d’agence bancaire. Les banques, non seulement exercent le « commerce de l'argent

REMERCIEMENTS Avec grand plaisir je voudrais remercier à tout le personnel de la banque BNP PARIBAS pour m’avoir accueilli pendant un mois, pour les bonnes conditions du travail, de m’avoir fait confiance, pour les missions qu’elle m’a chargé d’effectuer et pour la possibilité d’acquérir une expérience très enrichissante sur le plan professionnel. Je remercie particulièrement le maître de stage M. Eric BOURDIN, le responsable du stage Mme Elodie LYONS pour m’aider, donner des renseignements

l’exportateur. L’acheteur veut recevoir la marchandise en temps et en heure, exempte de tout vice. Le vendeur quant à lui veut recevoir le paiement du prix dans le délai imparti. Pour parvenir à leur fin, les deux protagonistes auront recours aux banques. Il est donc impossible de concevoir la sécurité des transactions internationales uniquement en terme de garantie pour les deux parties au contrat d’achat ou de vente internationale de marchandise. Cette garantie doit s’élargir à l’ensemble des opérateurs

traditionnelle : la dette et le financement en fonds propres. Dans un contrat murabaha, le créancier (la banque) achète un actif qu’il revend par la suite au débiteur moyennant des paiements échelonnés sur une période donnée. Même si cette relation contractuelle rappelle singulièrement un contrat de dette classique, elle s’en distingue sur, au moins, deux points importants. D’un côté, la banque est, au départ, le propriétaire effectif de l’actif que le débiteur souhaite acquérir. De l’autre côté,

durant la première partie du 19ème siècle, le secteur bancaire est encore au stade embryonnaire et outre la banque de France créée en février 1800, on ne trouve que quelques banques privées propriétés d'agents fortunés, banques qui sont plus particulièrement destinées à prêter à l'état. Les quelques rares banques ayant pour objectif le financement des entreprises sont basées sur des fortunes privées et n'ont pas encore développé la panoplie d'opérations bancaires qui apparaîtra plus tard sous le second