Banquet Populaire Zola

part, il y a « les partisans de la justice individuelle »8, c'est-à-dire les dreyfusards, qui défendent l’idée de justice et la République. Ils appartiennent à la Ligue des droits de l’homme. Cette polémique est très répandue par la figure d’Émile Zola qui défend Dreyfus, quand il publie son célèbre « J’accuse ». Ainsi, l’Affaire définit les valeurs définitives du régime républicain, contribuant à relancer le conflit droite/gauche. Après le succès des révisionistes, les antidreyfusards se trouvent

tragédie de l’époque. Il reprend le moule classique des tragédies de Voltaire. Met en scène des personnages qui seront repris dans l’ensemble de son oeuvre. Il y a des clés pour déchiffrer la pièce. Actor = Napoléon. Irtamène = symbole de la fidélité populaire et de la tradition légitimiste. Zobéir = Louis XVIII. Ce qu’on retient plus, c’est un vers qui a beaucoup marqué les consciences à l’époque : quand on hait les tyrans, on doit aimer les rois. Grande portée politique de la pièce, Hugo dépasse le cadre

monde politique : Annick Martin, secrétaire général du MNR, l’ancien député Pierre Descaves, membre du Bureau politique du Parti de la France, Pierre Sidos, président de L’Œuvre Française, Roland Hélie, l’un des dirigeants de la Nouvelle Droite Populaire, le conseiller régional de Lorraine François Ferrier, Marx Fredriksen, ex-président de la FANE, Gianni Corridori, secrétaire général du mouvement italien Fuerza Nuova, Claudine Dupont-Tingaud, présidente de Résister et Agir Pour la défense de nos

arabe de ses terres. Un crédit de 50 millions est voté le 23 septembre 1848 pour la création de villages de colonisation. En octobre 1848 10 000 colons sont envoyés, révolutionnaires proscrits, survivants des journées de juin ! Mais la chanson populaire (Abd el Kader 1842 par Clairville) rend hommage au chef rebelle et récuse la guerre menée en Algérie. 5) « LES HOMMES NAISSENT ET DEMEURENT EGAUX EN DROIT » OU SEULEMENT CERTAINS D’ENTRE EUX ? Le ralliement de certains républicains au principe

formée d’écrits politiques mais peut être formé de fables, de contes, d’épopées. L’Iliade et L’Odyssée d’Homère qui ne sont pas des ouvrages politiques mais ont marqué des générations. On y trouve fortement la notion de chef. Notion de grève dans Zola. Les bibliothèques sont garantes aussi de la culture politique. La culture politique, dit Strauss (philosophe) a pour fondement l’autorité. Cette culture politique est à la base de nos représentations mentales, formées d’idées assorties d’un jugement

Liberté est devenue l’anomie, l’Égalité, l’égalitarisme, la Fraternité, la guerre de tous contre tous. « Tout a toujours mal marché », disait, fataliste, l’historien Jacques Bainville. « C’était mieux avant », lui rétorque, nostalgique, l’écho populaire. Pourtant, rien n’a changé. Le pays est en paix depuis soixante-dix ans ; la Ve République fonctionne depuis cinquante ans ; les médias informent, les politiques s’affrontent, les acteurs et les chanteurs distraient, les grandes tables régalent

LA BIBLE Nous appliquerons cette méthode à tous les relevés de notes de lecture de Flaubert présentés ici : les notes sur Cahen mais aussi sur Saulcy (Antiquités judaïques), Pline (Histoire naturelle), Théophraste (Traité des Pierres) et Athénée (Banquet des Savants). "je viens, en quinze jours, d'avaler les 18 tomes de La Bible de Cahen ! avec les notes et en prenant des notes." Flaubert, lettre à Jules Duplan du 26 juillet 1857, Correspondance, éd.cit., tome II, p. 747. 65 64 63 p. 106.

fiancée « à trois nez ». Qu'à cela ne tienne, ce sera Roberte II. Nouveau refus. Mais Roberte Il, grâce à un bien étrange usage de la parole, saura séduire Jacques. Commentaire Elle est sous-titrée «comédie naturaliste», d’où le décor glauque, du Zola «indéfini». Composée immédiatement après ‘’La cantatrice chauve’’, elle relève de la première veine de Ionesco, essentiellement parodique et « carnavalesque », fondée sur une spectaculaire économie de moyens. L’intrigue est très simple, linéaire jusqu'à

partie pour des intérêts qui leurs sont propres. Les électeurs sont devant des choix mais ils n’ont pas les moyens collectivement sauf à se porter eux même candidat à peser sur les candidatures, on ne peut donc parler de l’expression de la volonté populaire mais juste de choix. Vision désenchanté de la démocratie. De plus S ne peut pas ne pas être frappé par les partis de masse, qui ont beaucoup d’adhérents qui font des démonstrations dans les rues, cela lui paraît plus une menace vis-à-vis des institutions

mais les événements qu’elle raconte de façon détaillée finissent par prendre la couleur de l’imaginaire (créé par l’imagination). La légende est donc un récit à caractère merveilleux, où les faits historiques sont transformés par l’imagination populaire ou l’invention poétique. • L’épopée raconte l’exploit d’un héros ou d’un peuple et prend souvent la forme d’un poème ou d’un chant. Elle pend ancrage dans la réalité mais le merveilleux y est aussi présent. Puisant ses sources dans l’Histoire