Barrage de Génissiat

mouvement rotatif de la turbine est animé par l’énergie cinétique -de l’eau- qui met en route l’énergie mécanique -des rouages- pour produire de l’énergie électrique. Lorsque l’on parle de centrale hydraulique, il s’agit de rappeler l’importance des barrages souvent situés en amont. La vitesse des turbines dépend de la hauteur des chutes d’eau et du débit. on classait traditionnellement les centrales selon la hauteur de la chute (haute chute : plus de 200m, moyenne chute comprise entre 20 et 200m, basse

prioritaires: le charbon, l'électricité, l'acier, le ciment, les tracteurs et le transport. - En 1952, la reconstruction est achevée et la production atteint largement le niveau de 1929. Le Plan a permis des réalisations importantes: les barrages de Génissiat et de Donzére- Mandragon sur le Rhône, l'équipement de la Lorraine sidérurgique et charbonnière. - Les années 50 voient la mise en exploitation du gaz de Lacq et la construction d'avions de transport tels que la "Caravelle". Le niveau de

finance, en 1948, 50% de l'investissement productif du pays (28% encore en 1958). La production d'énergie est développée sur le sol national avec le charbon (le maximum est atteint en 1958 avec 59 millions de tonnes) et l'hydroélectricité (barrages de Génissiat en 1948, de Donzère-Mondragon en 1952). Les travailleurs acceptent de nombreuses heures supplémentaires tandis que les immigrés du Maghreb comblent les vides des générations creuses.     En 1950, l'industrie a presque retrouvé le niveau

1948, 50 p. 100 de l'investissement productif du pays (28 p. 100 encore en 1958). La production d'énergie est développée sur le sol national avec le charbon (le maximum est atteint en 1958 avec 59 millions de tonnes) et l'hydroélectricité (barrages de Génissiat en 1948, de Donzère-Mondragon en 1952). Les travailleurs acceptent de nombreuses heures supplémentaires tandis que les immigrés du Maghreb comblent les vides des générations creuses. En 1950, l'industrie a presque retrouvé le niveau de production

régions les plus riches (l'Ukraine, notamment). Aux combats s'est ajoutée la tactique de la Terre brûlée, menée successivement et systématiquement par les deux camps : par exemple, lors de l'avance allemande, les Soviétiques ont saboté le plus grand barrage sur le Dniepr, orgueil du régime, le Dnieproguès. Deux ans plus tard, lors de la reconquête soviétique, les Allemands, qui l'avaient « rafistolé » l'ont à nouveau rendu inutilisable... La France a subi les destructions de la campagne de 1940, les

dans les usines, mais on aura toujours besoin de terrassiers. » Or, tout d’un coup sont apparues les grandes machines du génie civil. Les hommes qui ont maintenant trente ans ne peuvent pas imaginer à quel point cela a été brutal. On a commencé Génissiat — qui n’est pas tellement vieux — avec des milliers d’ouvriers. Quand on a fait DonzèreMondragon, pas tellement longtemps après, on a utilisé un ensemble d’outils tels que certains remplaçaient cent ouvriers. On a fait la comparaison du cubage de