Barrage

ressources en eau, notamment le changement climatique et la variabilité naturelle des ressources ainsi que les pressions exercées par les activités humaines. Le Tadjikistan ou le Kirghizistan ont peu de terres cultivables souhaitent réaliser des barrages pour produire de l'hydroélectricité. L’Ouzbékistan voit le débit des fleuves ralentir alors qu'il en a besoin pour le coton. La maîtrise de l'eau peut entraîner des problèmes géopolitiques. 9. L'élévation du niveau du sol entraîne une plus faible

régions du monde, par la construction de barrages et de diversions. Ces ouvrages atteignent parfois de très grandes dimensions - tels que le barrage des Trois Gorges, en Chine - ou sont composés d'une multitude de petits barrages - tels que les systèmes en terrasses caractéristiques des collines du Sud-est asiatique. Individuellement, ces derniers sont de dimensions réduites, mais ont un effet cumulatif important sur le débit des cours d'eau. Les barrages fonctionnent comme d'excellents pièges à

Les aménagements hydroélectriques sont des sources considérables d’énergie. Beaucoup de pays desservent leur population en électricité grâce à ces infrastructures. Pour ne citer qu’elle (éviter « par exemple ») l’Amérique Latine possède beaucoup de barrages sur ses fleuves, 25% de sa consommation totale d’énergie en provient. Idée du sujet : Les grands fleuves traversent beaucoup de pays et cela ne va pas sans créer des tensions régionales. Que ce soit au Proche-Orient entre la Syrie, le Liban et

contre le désert, par l’irrigation. Enfin, l’eau étant condition d’un développement économique harmonieux, elle peut aussi devenir un instrument de maîtrise de l’unité territoriale et de l’ordre politique et social. En Turquie, la mise en eau des barrages permit aussi de pousser les populations au regroupement, les rendant ainsi plus contrôlables, et à faire taire les revendications indépendantistes. En Ouzbékistan, où la population est majoritairement rurale et où sa production est achetée par l’Etat

(voir ci-dessous). Séismes d'origine artificielle[modifier | modifier le code] Article détaillé : Séismes induits. Les séismes d'origine artificielle ou « séismes » de faible à moyenne magnitude sont dus à certaines activités humaines telles que barrages, pompages profonds, extraction minière, explosions souterraines ou nucléaires, ou même bombardements6. Ils sont fréquents et bien documentés depuis les années 1960-1970. Par exemple, rien que pour la France et uniquement pour les années 1971-1976

et chers. -Durée de vie des panneaux limités (20-25 ans). Energie hydraulique : -Menace d’extinction les espèces terrestres et aquatiques. -Cela engendre une perturbation de l’équilibre écologique. -Les grands barrages sont couteux. -Il y a un risque de rupture de barrage engendrant des dégâts matériels et humains considérables. Energie éolienne : -Il y a un impact visuelle , elles détruisent le paysage. -Les éoliennes sont chers. -Cela entraîne la migration des oiseaux. -Les éoliennes

cas de la dire) : la construction d’un gigantesque barrage à Assouan dans le Sud du pays qui doit canaliser les eaux du Nil pour permettre de contrôler ses crues et de développer l’agriculture intensive (notamment du coton) ainsi que de fournir le pays en électricité. Il existait bien un vieux barrage construit par les britanniques au début du siècle mais celui-ci ne répondait plus aux besoins de l'Egypte moderne. Construire le plus grand barrage de son temps coûte cher et Nasser démarche les banques

ressources électriques/ des centrales hydroélectriques (Rybinsk en Russie / ex)ou encore utilisation de l’eau dans l’industrie nucléaire (centrales nucléaire). b. Des espaces fortement aménagés Pour l’agriculture et l’électricité : barrage importants (10 sur la Volga) Pour les transports : construction de canaux (cf Rhône, ou Rhin), de ponts pour les enjamber… pour les habitations : construction de digues… c. Des espaces, facteurs de tourisme Canoë, croisières….

revenus des gouvernements locaux. De plus, des millions de laissés-pour-compte du développement sont contraint de vivre dans des environnements contaminés pour leur survie et d’utiliser les eaux de lixiviation des terrils miniers contenues dans les barrages de rétention pour irriguer leurs champs. La demande énergétique en très fortes augmentation est également un facteur de pollution de l’environnement. Par exemple le charbon représente en 2002 75% de l’énergie primaire et fournit les deux tiers

traditionnelles anciennement utilisées dans la métrise de l’eau sont, de nos jours, remplacées par des aménagements plus performants. Pour puiser l’eau, on utilise pompes alimentées par des moteurs électriques ou fonctionnant au diesel. Les barrages ont de nombreuses fonctions : récupérer l’eau dans le but d’irriguer et d’approvisionner les villes et les industries, produire de l’électricité, favoriser la navigation, limiter les inondations, etc. (doc. 6) Les vannages associés aux digues