Barrage

écluse manuelle). -If the lock is on a navigable river, it is coupled to a movable dam, it can be equipped with a hydroelectric plant. Si l'écluse est sur une rivière navigable, elle est accouplée à un barrage mobile, celui-ci pouvant être équipé d'une centrale hydroélectrique. Weir = barrage Footbridge = passerelle Bywash = Spill = deversement Top lock gate = haut porte écluse Bottom lock gate = bas porte écluse Towpath under bridge = chemin sous le pont

2 Les écoulements gravitaires 1 Les laves torrentielles Lorsque les écroulements affectent les berges abruptes des ravines profondément encaissées, les masses de matériaux éboulés peuvent former des barrages naturels (embâcles). Les retenues d’eau créées à l’amont du barrage se vidangent plus ou moins rapidement entraînant la libération soudaine d’une quantité d’eau dévastatrice et dangereuse dans les secteurs aval de la ravine (formation d’une lave torrentielle). Ce sont des phénomènes

réduction de biodiversité, etc.) et des polluants Il n'y a donc que des sources d'énergie plus ou moins nuisible suivant les circonstances Faune : La construction d'un barrage hydroélectrique a des conséquences lourdes : inondation de vallées entières, modification profonde de l'écosystème local. De plus, les barrages hydroélectriques font obstacle à la migration des poissons, ce qui représente un problème pour les fleuves du nord-ouest de l'Amérique du Nord, où les populations de saumons ont

l'eau est restituée à la rivière. En "basse chute", on ne passe plus par une conduite. L'eau est dérivée dans un canal sur lequel est aménagé la PCH. La construction d'un barrage hydroélectrique a des conséquences lourdes : inondation de vallées entières, modification profonde de l'écosystème local. De plus, les barrages hydroélectriques font obstacle à la migration des poissons, ce qui représente un problème pour les fleuves du nord-ouest de l'Amérique du Nord, où les populations de saumons ont

elles qui inondent la concession de la mère. Mais le roman ne les mentionne jamais, insistant au contraire sur la puissance de « l’océan » (cf. pp. 32-33)  qui détruit les barrages, toujours évoqués au pluriel (cf. p. 30, p. 250). Le singulier du titre prend donc une valeur particulière en soulignant l’aspect dérisoire d’ »un barrage » contre un océan. C’est un projet démesuré, une folie, un rêve irréalisable qui ne peut qu’échouer. Le titre illustre, de ce fait, la résistance, perdue d’avance, contre

Un barrage contre le Pacifique, Marguerite Duras Dans la revue Critique (de décembre 1950), on lit le jugement suivant sur Un barrage contre le Pacifique qui venait de paraître: « Par-delà le cadre où l’action est située, Duras touche à l’universel, à l’éternel. Elle a écrit le roman de la mère, l’épopée lamentable de la mère. » Les critiques d’une œuvre sont importantes, puisqu’elles guident notre lecture et notre interprétation de l’œuvre. Ainsi, en 1950, à la sortie d’Un barrage

tôt les hommes ont essayé de protéger l'eau, de la dompter, de s'en protéger, grâce à différents systèmes d'irrigation. De nos jours, la maîtrise de l'eau a bien évolué, et il existe un grand nombre de techniques hydrauliques (techniques simples: barrages, pompes à eau pour les nappes et sophistiquées : dé-salement de l'eau de mer, nettoyage des eaux usées …). Ce sont des techniques chères que seules les pays riches peuvent se payer. Ces techniques sont devenues indispensables car les besoins en eau

1951, la pêche augmente, il utilise des ressources humaines, l’agriculture augmente aussi, environ 100 canaux prennent de l’eau. Au sud, la culture à diminue et l’eau n’a pas augmenté. Au nord, le riz, le coton demande beaucoup d’eau. Ils font des barrages mais il ne résiste pas à la force de l‘eau, le Kazakhstan étant en crise économique donc ne peut pas reconstruire. En 1960, il y a un gaspillage de l’eau, donc par la suite il y a un assèchement de l’eau mais elle voit par la suite une agriculture

grandes opérations et des grands projets • À l’époque coloniale, vision trop techniciste des européens( lourds déboires • « Mythe du développement par le grand barrage » ex : Assouan • il ne faut toutefois pas un rejet des grandes opérations de développement : les grands barrages sont quand même source d’hydroélectricité, l’irrigation est le meilleur soutien de l’intensification de l’agriculture b. la révolution verte : succès économique ou source d’inégalités 

de ces séismes pourrait être considérée comme induits par l’Homme. 4. Séismes d'origine artificielle : Les séismes d'origine artificielle ou « séismes induits » de faible à moyenne magnitude sont dus à certaines activités humaines telles que barrages, pompages profonds, extraction minière, explosions souterraines ou nucléaires. Ils sont fréquents et bien documentés depuis les années 1960-1970. Par exemple, rien que pour la France et uniquement pour les années 1971-1976, plusieurs séismes ont