Barrière coulombienne

modélisé par une barrière de potentiel de hauteur V0. Cette hauteur de barrière correspond au travail de sortie de l’électron du métal (cf l’exercice sur l’effet photoélectrique). Un faisceau d’électrons, non relativistes, de masse m, se déplace à l’intérieur de la pointe, parallèlement à l’axe x’x, de x’ vers x, et vient heurter la barrière de potentiel d’épaisseur a. Comme la barrière a une hauteur et une épaisseur finie, le faisceau électronique pénètre quelque peu dans la barrière, alors que cela

ou quanta, de lumière sont appelés photons. L’énergie d’un photon est donnée par : E=hν où h= 6.626176 x10-34 Js est la constante de Planck. Il faut, pour arracher l’électron du métal, une énergie plus grande que l’énergie de liaison (force Coulombienne) entre l’électron et l’atome, appelée travail d’extraction W. L’énergie cinétique de l’électron qui s’échappe du métal s’écrit donc : Ek = hν -W C’est l’équation d’Einstein pour rendre compte de l’effet photoélectrique. On peut interpréter W

.. 46 ii) La force électromagnétique ................................................................................... 46 iii) Les forces nucléaires « forte » et « faible » ............................................................ 48 iv) La barrière de fission.............................................................................................. 49 3.4) Bilan énergétique et bilan neutronique ....................................................................... 51 3.5) Produit de fission

la probabilité d’obtenir la fusion des noyaux serait très faible, en raison de l'énergie cinétique (correspondant à l’agitation thermique) extrêmement élevée nécessaire au franchissement de la barrière. Cependant, la mécanique quantique prévoit, ce qui se vérifie en pratique, que la barrière coulombienne peut également être franchie par effet tunnel,à des énergies plus faibles. Les énergies nécessaires à la fusion restent très élevées, correspondant à des températures de plusieurs dizaines ou

seuil, la diode est respectivement passante ou bloquante. Sous éclairement L’absorption de photons par un matériau organique, conduit ce matériau à l’état excité, il se crée des paires électron-trou localisées en forte interaction, de nature coulombienne, couramment appelées excitons. Ces excitons diffusent ensuite vers l’interface entre le matériau transporteur de trous et le matériau transporteur d’électrons. La dissociation des l’excitons à l’interface entre les deux matériaux est assurée

classique : le probl`me de la stabilit´ de la e e mati`re. Consid´rons le cas tr`s simple de l’atome d’hydrog`ne : un ´lectron e e e e e 50 ´ ¨ Chapitre 2 – La fonction d’onde et l’equation de Schrodinger – plac´ dans le potentiel coulombien du proton V (r) = −q 2 /4π 0 r. Suppoe sons l’orbite circulaire, de rayon r. La condition d’´quilibre m´canique s’´crit e e e e e me v 2 /r = q 2 /4π 0 r2 et l’´nergie de l’´lectron est donc : E= 1 q2 p2 . + V (r) = − 2me 2 4π 0

d'investissement important, d’autant plus que l’évaluation du coût du projet ITER a triplé et est passé de 5 à 15 milliards en 2010 - Le projet ITER est un engagement à long terme (2050). - L'élévation importante de la température pour dépasser la barrière coulombienne[2] n'a toujours pas réussi à être réalisée. - La température de la fusion dépend de la pression. - Il est très difficile de récupérer l'énergie produite. - Le projet ITER nécessite une technologie très complexe Le projet ITER est

. . . . . . . . . . . 6.3 La marche de potentiel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.3.1 Cas   0 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.3.2 Cas   0 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.4 La barrière de potentiel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.4.1 Cas   0 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.4.2 Cas   0 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.5 Le puits de potentiel carré . . . . . . .

de London (1)), c’est-à-dire que le champ magnétique en est totalement expulsé tant que le champ est inférieur au champ critique alors qu’un matériau parfaitement conducteur devrait présenter un champ égal au champ appliqué. Là réside la deuxième barrière qui limite encore l’application des supraconducteurs: au-dessus d’un champ magnétique critique, la supraconductivité disparaît. Les physiciens ont longtemps cru qu’il n’existait qu’un type de supraconductivité et que les anomalies magnétiques constatées

la surface (au contact du métal ou dans la zone contiguë à celle-ci). On peut concevoir l’action de l’inhibiteur comme : — l’interposition d’une barrière entre le métal et le milieu corrosif ; dans ce cas, qui est essentiellement celui des milieux acides, le rôle de l’adsorption du composé à la surface sera primordial ; — le renforcement d’une barrière préexistante, en général la couche d’oxyde ou d’hydroxyde formée naturellement en milieu neutre ou alcalin. Ce renforcement pourra consister en une