Barrières Entrée Banque

Berkeley, Tenerife…), les gouvernements américain, australien, japonais, français, mexicain, du Royaume-Uni…, de grandes entreprises (Auchan, Carrefour, SNCF, EDF-GDF, La Poste, , Rolex, BMW, Renault, Vinci…), de grandes banques (Réserve Fédérale, USA ; Banque Rothschild et Banque Pictet & Cie, Suisse...) Intronisée au Club des N°1 Mondiaux Français à l’Export le 17 mars 2000, URBACO a réalisé 25% de son chiffre d’affaires à l’exportation en 2003, sur les 5 continents 100 tonnes de fonte et

principale conséquence pour nous est la spécialisation dans le travail très qualifié. * Il y a des effets revenu. Ils sont négatifs pour les pays occidentaux : perte du pouvoir d’achat. * Il y a une multiplication des tensions commerciales entre les sociétés guerre commerciale. Ces conséquences conduisent à l’accroissement de la fréquence des crises (crise asiatique en 1998, crise argentine en 2000, crise des subprimes actuellement). On peut expliquer cela par de véritables problèmes :

future monnaie 1995 Le conseil européen de Madrid adopte le nom de la future monnaie (euro) et les modalités de passage à l'euro. • Création de la Banque centrale européenne 1er juin 1998 Naissance de la Banque centrale européenne (BCE) et du Système européen des Banques centrales (SEBC, composé de la BCE et des banques centrales nationales -BCNs- des 15 pays de l'Union européenne). • Naissance officielle de la monnaie unique européenne et de l'Union monétaire1er janvier

l’ensemble des pays géographiquement proche qui ont des accords commerciaux entre eux. Ces accords commerciaux sont plus ou moins développés. Il y a 4° d’intégrations : * La zone de libre échange ( entre ces pays libre circulation de biens et de services) ALENA (Amérique du NORD), ASEAN * L’Union douanière= zone de libre échange+ une politique douanière commune (MERCOSUR). Cela suppose plus de concertation entre les pays. * L’Union économique= union douanière + politique intérieur commune

laxisme de grands pays comme les Etats-Unis finisse par le faire voler en éclats. Le 15 août 1971 précisèment, lorsque le président Nixon décida de mettre fin à la convertibilité du dollar en or, clef de voûte sur laquelle reposaient alors les parités entre les grandes monnaies. Le capitalisme qui est en train de vaciller à son tour, est né sur les décombres de Bretton Woods, lors du fameux big bang des années 1980, cette vague de déréglementations lancée par Ronald Reagan aux Etats-Unis et par Margaret

de service globale la menace de nouveaux entrants est très faible car il y a de fortes barrières à l’entrée en ce qui concerne la capacité de stock (=hectares de sols,…). De plus, la stratégie pour une offre globale et « sur mesure » demande une stratégie d’endettement risqué pour les petits acteurs. Ceci demande la confiance des banques et une croissance constante. L’expérience représente également une barrière ainsi que la logistique qui se base sur des moyens lourds. En revanche, l’arrivé sur

longtemps, les nations échangent entre elles. La période récente est marquée par le passage d’une économie dite internationale, qui se caractérise par l’échange de biens et de services, à une économie mondiale, marquée par la généralisation de la concurrence. Les grandes évolutions économiques et l’émergence de la mondialisation Le développement des échanges commerciaux La 2eme moitié du XXe siècle est marquée par l’augmentation de l’interdépendance entre les pays du fait du développement

Le rôle de l’État, c’est-à-dire l’ensemble des collectivités publiques nationales, dans l’économie d’un pays fait depuis longtemps l’objet de controverses entre économistes, selon qu’ils sont plutôt favorables à un État neutre ou, au contraire, à un État interventionniste, fortement impliqué dans les sphères économique et sociale. Au début du XIXe siècle, les économistes libéraux dits "classiques", comme Adam Smith, ne prêtaient à l’État, pour l’essentiel, que des fonctions régaliennes (diplomatie

15 LE BENCHMARKING INTERNE COMME OUTIL DE CONTROLE DU RESEAU COMMERCIAL : LE CAS DE LA BANQUE DE DETAIL Olivier de La Villarmois GREMCO / CLAREE IAE - Université des Sciences et Technologies de Lille Olivier.de-La-Villarmois@univ-lille1.fr Olivier de La Villarmois est Maître de Conférences à l’Université des Sciences et Technologies de Lille (IAE). Ses recherches portent sur les interactions entre les systèmes de contrôle et l’innovation. Résumé : Les réseaux commerciaux occupent une place

monétaire .face à ces différentes perturbations les banques sont devenu de plus en plus menacé par une diversité de risque nuisant à son activité et sa position sur le marcher financière. En ce qui concerne le risque de crédit, il se trouve au cœur même de l’activité bancaire et constitue l’un de ses enjeux majeur.il s’agit du risque de perte liée à la défaillance d’une contrepartie et donc à son incapacité de faire face à ses engagement vis-à-vis de la banque .il est inhérent au métier de banquier. Ce