Bassin du Tarim

pétrole du Xinjiang sont variées et parfois contradictoires. Cependant même si les chiffres sont débattus, on sait que ces réserves sont très importantes. Selon des sources chinoises, il pourrait y avoir plus de 10 milliards de tonnes dans le seul bassin du Tarim3. Les chercheurs qui travaillent dans l'espace post-soviétique, en particulier au Kazakhstan et au Kirghizistan, estiment à 20 ou 30 milliards de tonnes les ressources pétrolières que l'on pourrait, avec un financement adéquat, exploiter

plus grande que la France. C’est donc une immense région, la plus grande unité administrative de la Chine, mais aussi une des moins densément peuplée. Elle est constituée de deux bassins : au nord le bassin de la Dzoungarie, au sud le bassin du Tarim, lequel est véritablement entouré de montagnes. Le centre de ce bassin est occupé par un désert, le Taklamakan. Autour de ce désert, au nord comme au sud, sont disposées des villes-oasis (Kucha, Aksu, Kashgar, Turfan, Hami). Acteurs du conflit : Le

la glace. Il s'agissait d'enfants souvent nobles sacrifiés pour apaiser les dieux, lors d'éruptions volcaniques, de tremblements de terre ou lorsque l'Inca était gravement malade. Les corps de Tokhariens, dans le bassin du Tarim (désert de l'Ouest de la Chine) : voir les momies du Tarim ; Des animaux comme les mammouths préservés dans la glace de Sibérie ;

Népal et le Bhoutan. Derrière l'Himalaya, plus au nord, se dresse le plateau du Tibet dominé par les monts Kunlun à plus de 7 000 mètres d'altitude. Le désert du Taklamakan se niche dans un bassin du nord-ouest de la Chine (le Tarim), bordé par le Tian Shan. Le centre de la Chine est occupé par des bassins (bassin de Sichuan), des plateaux et des collines. Enfin, l'est de la Chine a des altitudes moins élevées avec des plaines (plaine de Mandchourie, plaine de la Chine du Nord) ou des collines (Collines

un climat continental. Au sud-est de l’Asie centrale, se trouvent les plus hautes montagnes du monde, le Pamir, l’Hindū-Kūsh et l’Himalaya. Toutes comprennent des sommets à plus de 7 000 mètres d’altitude, de même que le Tian Shan, qui sépare le bassin du Tarim de la Dzoungarie. À moins de passer par la zone des steppes, la traversée de l’Asie centrale nécessite le franchissement de cols situés à plus de 4 000 mètres d’altitude. De ces montagnes, descendent des rivières qui permettent la pratique d’une

plateau tibétain, encadré par un massif montagneux appelé le Karakoram et les montagnes Kunlun. Les plus grands fleuves chinois sont le Huang He et le Yangtsé. Ils sont absolument essentiels pour l’agriculture chinoise. De plus, Le bassin désertique du Tarim et le bassin Dzoungarie, séparés par la chaîne du Tian Shan, sont situées au nord-ouest de la Chine. Finalement, la frontière avec la Mongolie est marquée par le sujet d’étude qui sera décrit pour le reste de l’analyse, c’est-à-dire, le désert

différente translitération phonétique dans l'histoire , comme « yuan-qi », « wei-qi », « huihe », « huihu », « wei-wu-er » (Ouighour). Cette ethnie possède une longue histoire. Elle a pour origine un peuple, appelé « ding-ling », qui nomadait dans les bassins du lac Baïkal au 3e siècle av.J.-C. Elle fut appelée « Tieli » au 5e siècle et « Huihe » au début de la dynastie des Tang. En 788, elle fut rebaptisée « Huihu ». En 840, les Xiajiasi, peuple de la Chine antique, lancèrent des attaques pour supprimer

vaste région désertique située en Asie centrale. On le retrouve plus précisément au nord ouest de l’Océan Pacifique. Situé à la latitude 42° 35' 24'' N et la longitude 103° 25' 24'' N, celui-ci fait partie de l'hémisphère nord du globe terrestre. Ce bassin désertique se trouve dans le tropique du Cancer, à 4732 kilomètres de l'équateur, 5268 kilomètres du pôle nord et à 14732 kilomètres du pôle sud. Le désert de Gobi se situe entre le nord de la Chine et le sud de la Mongolie. Celui-ci représente

officielle est le tchaghataï et apparaît, par sa régularité, comme standardisée et faisant abstractions des particularités dialectales, pour être comprise par le plus grand nombre. Preuve des son efficacité, elle est utilisée très rapidement dans le bassin supérieur du Ienisseï, en Sibérie méridionale, qui sont pourtant séparés des Türk par de hautes montagnes. Ainsi, aux origines lointaines de la turcophonie l’on trouve un peuple, les Türk Célestes, qui sont à l’origine d’une langue standardisée

[modifier] Lors de la fracturation de Rodinia (environ – 750 millions d'années), on distingue le Gondwana oriental (Afrique australe, Antarctique oriental, Australie, Inde, Madagascar, Arabie, Nouvelle-Guinée, Chine du Nord, Chine du Sud, Indochine et bassin du Tarim) et le Gondwana occidental (Amazonie, craton de Rio de Plata, Afrique occidentale, Floride, Avalonia et Europe du Sud). Ils entrent en collision il y a 600 millions d’années en prenant en tenaille le craton du Congo, formant l'orogénèse panafricaine