Bataille de Castiglione

Bataille de Castiglione : Introduction : La Bataille de Castiglione a eu lieu en 1796. Cette peinture a été peinte par Victor Adam en 1836. Cette peinture représente Bonaparte donnant ses ordres sur le mont Medolano. A propos de Victor Adam, c’était un peintre et lithographe français né à Paris en 1801, mort à Viroflay en 1886. Adam, artiste célèbre aussi pour ses lithographies, est parfaitement reconnaissable avec cet espace très aéré dans lequel se détachent de petites figures d’un style

matin, sur Pozzolengo ; le maréchal Baraguey d’Hilliers devait marcher sur Solférino, le maréchal duc de Magenta sur Cavriana, le général Niel devait se rendre à Guidizzolo, et le maréchal Canrobert à Médole ; la garde impériale devait aller à Castiglione. Ces forces réunies formaient un effectif de cent cinquante mille hommes et de quatre cents pièces d’artillerie. L’empereur d’Autriche avait à sa disposition en Lombardie neuf corps d’armée s’élevant ensemble à deux cent cinquante mille hommes,

dire puisque ce petit livre n'était tiré qu'à peu d'exemplaires et portait la mention «Ne se vend pas». Il n'était destiné qu'à quelques amis dont les instances répétées avaient enfin décidé Henry Dunant à l'écrire. Un petit livre, un souvenir d'une bataille dont Dunant avait vu par hasard les lendemains de sang et de détresse; un souvenir de ce que cet homme avait tenté de faire, avec quelques habitants du pays, pour soulager un peu d'innombrables souffrances. Rien qu'un petit livre. Mais, un an après

Solferino, Un désastre européen INTRO : La bataille de Solferino a eu lieu le 24 juin 1859 durant la campagne d'Italie. Elle s'est déroulée en Lombardie, dans la province de Mantoue. Il s'agit d'une victoire de l'armée française de Napoléon III alliée à l'armée sarde sur l'armée autrichienne de l'empereur François-Joseph. Plus de 330 000 soldats ont combattu dans cette bataille, ce qui constitue le plus grand nombre depuis la bataille de Leipzig de 1813. Il y avait environ 150 000 soldats de

engagement et sa créativité.  Suite à ses périples effectués en Algérie et en Tunisie, il retourne en Europe pour obtenir l’appui nécessaire auprès de l’empereur Napoléon III dans le règlement d’un problème lié à ses affaires.  Se rendant donc à Castiglione en Italie pour le rencontrer, Henri Dunant est témoin d’une effroyable tuerie.  Son projet prendra forme grâce au soutien de Gustave Moynier.  C’est d’ailleurs avec lui ainsi qu’avec le général Dufour et deux autres médecins, Louis Appia et Théodore

l’union des femmes de Frances (UFF). Henri Dunant a eu l’idée de créer la croix rouge en voyant le désastre humain après la bataille de Solferino (Franco-Sarde contre l’Empire Autrichien) qui avait fait 6000 morts et 30 000 blessés. Il trouvait sa dramatique de laisser ces gens comme ça, alors avec l’aide des habitants il décide d’installer un hôpital dans l’église de Castiglione. Henri Dunant écrit un livre « un souvenir de Solferino » qu’il diffuse à ses frais aux hommes politiques et aux militaires

Une fois libéré, François Aubry, membre du comité militaire, lui propose un commandement en Vendée mais il refuse et lui dit même « On vieillit vite sur le champ de bataille et j'en arrive »9. Aubry le met alors en congé, mais sans solde. Par la suite, il erre à Paris sans commandement effectif ; sans argent, il va souvent dîner chez Bourrienne ou chez Mme Panoria Comnène épouse Permon, une connaissance de Corse, avec Junot, les deux étant devenus inséparables depuis le siège de Toulon9. Le 13 vendémiaire

Cicéron, et des poètes latins. Esprit curieux de tout, elle s’intéressera aux sciences, à l’architecture, à la géographie, surtout aux œuvres d’art qu’elle collectionnera avec passion. Cette éducation répond aux règles du “Corteggiano“ de Balthazar Castiglione. Elle chante, joue du luth et danse à merveille. Le palais Schifanoia (en français : « Sans souci ») est le merveilleux écrin qui s’anime pour les représentations théâtrales. Elle y passa de longs moments enchantés. Elle n’a que six ans quand

tailla, dans les plaines d’Italie. Il dispose initialement de 30 000 français démoralisé plus paye et oublié du gouvernement contre 70 000 autrichiens et la fine fleur des généraux. On ne demande pas à Bonaparte de gagner, juste de faire quelques batailles pour distraire les autrichiens mais il va faire de cette campagne un triomphe : pas une défaite ! Lodi, Arcole, Rivoli et bien d’autres qui ont donné leurs noms à des rues.Ci-contre : plan des deux campagnes d’Italie de BonaparteIII Coups d’état

florentines : Le bon prince, « De tous les hommes célèbres qui ne furent pas des capitaines, il fut plus illustre et le plus renommé qui ait jamais existé, (...) » Castiglione (1478-1529) Italien-Latin Il nait à Castico, près de Mantoue, de famille noble – sa mère était apparentée au Seigneur de Mantoue. Baldassare Castiglione fait son éducqtion entre 1490 et 1499, à Milan, à la cour de Ludovic More. A la mort de son père, il entre au service du marquis François de Gonzague, qu'il accompagne