Bataille De Crécy

UNIVERSITE DE ROUEN (16/20) Département Histoire Licence 1 LA BATAILLE DE POITIERS DE 1356 SOMMAIRE Introduction I : un affrontement inévitable A : Les chevauchées anglaises B : Les données de la bataille C : l'intervention de l'Église II : Le déroulement de la bataille A : une armée en déroute B : la capture du roi C : les causes de la défaite III : une défaite lourde de conséquences A : la paix : un traité en 3 épisodes B : une crise économique

Jean le Bon et son fils Philippe à la bataille de Poitiers, Franc à cheval 1361 Introduction : Le Moyen Âge est, dans l’imaginaire populaire, souvent dépeint comme une période d’obscurantisme réduite à la royauté et à la chevalerie par le prisme du divertissement et des médias (littérature, cinéma, jeux vidéo etc). Les sources médiévales riches par leur diversité nous offrent un regard plus concret ; nous renseignant sur les multiples conceptions, valeurs et modèles sociétaux de cette

Laurent Commentaire de texte Pour le 16/12/202132017954 « Bataille de Poitiers » « Père, gardez-vous à droite, père, gardez-vous à gauche. ». Cette phrase, extraite d’Histoire de France rédigée par Victor Duruy, fut prononcée par Philipe II de Bourgogne à son père le roi Jean II. Elle fut prononcée le 19 septembre 1356 sur le champ de la bataille de Poitiers, en pleine guerre de Cent Ans entre le royaume d’Angleterre et de France. Cette bataille, qui s’est déroulé à Nouaillé-Maupertuis,

Édouard III écrase les Français à Crécy, puis s'empare de Calais (août 1347). - Après une longue trêve pendant laquelle sévit la terrible épidémie de peste noire + famine, le Prince Noir, héritier d'Angleterre, écrase les Français à Poitiers (19 septembre 1356), où le roi de France Jean II le Bon est fait prisonnier.  Jusqu’à environ 1420 : Accalmie puis reprise des conflits. Charles V tente de reconquérir le territoire, mais  Désastre français de la bataille d’Azincourt en 1415. Puis reconquête

point de basculer sous la tutelle anglaise, avant d'observer une reconquête quasi-totale. A chacune de ces périodes, une figure emblématique, un héros, incarne le sursaut français : • La première période du conflit voit l'Angleterre victorieuse à Crécy et à Poitiers où le roi de France est capturé. Le sursaut français s'effectue grâce au connétable Bertrand du Guesclin et à son roi Charles V. • La seconde période du conflit voit naître une guerre civile : les Armagnacs contre les Bourguignons. Cette

| |L’expression depuis longtemps consacrée de « guerre de Cent Ans » ne doit pas laisser croire à un siècle ininterrompu de batailles, loin| |s’en faut ! | |

France et l’Angleterre pou r la succession du trône et débouche sur la guerre. Contexte : texte écrit en son œuvre en 1352 meurt en 1370. ligne 35 (indice sur la date écrit l'auteur) : sire prisonnier (roi de France c'est fait capturer lors d'une bataille. C'est le fils de Philippe 6 qui règne a partir de 1350). on se situe dans la première phase de la guerre de 100 ans. La guerre de 100 ans commence en 1337 et mort de Charles 4 (dernier capétiens en 1328) il na pas de descendant mâle donc Édouard

AUTOPORTRAIT D'UN PERSONNAGE (En 1914) Je m'appelle Adèle, j'ai bientôt 14 ans. J'habite à la campagne, en Bourgogne dans le village de Crécy. J'ai deux grands frères un de 19 ans qui s'appelle Eugène et un de 21 ans qui s'appelle Paul, j'ai aussi un petit frère de 10 ans qui s'appelle Julien. J'aime beaucoup l'école et plus tard je rêve de devenir institutrice. En été 1914, je travaillais aux moissons avec ma famille quand un matin le tocsin retentit, la guerre est déclarée. Mes deux grands

vision des événements, ses émotions, ses espoirs et les épreuves personnelles qu’elle doit surmonter. Son témoignage nous éclaire aussi sur les préoccupations du monde rural de l’époque car Adèle habite à la campagne, en Bourgogne, dans le village de Crécy. Elle a deux grand frères : un de 19 ans qui s’appelle Eugène et un autre de 21 ans qui s’appelle Paul. Elle a aussi un petit frère de 10 ans qui s’appelle Julien. Elle aime l’école et plus tard, rêve de devenir institutrice. En cet été 1914, Adèle

religieux font fonctionner les œuvres caritatives[5] et les écoles[6] ; par le biais des fêtes religieuses, le nombre des jours chômés atteint 140 par an[7]. De la même manière, la noblesse doit conjuguer richesse, pouvoir et bravoure sur le champ de bataille : vivant du labeur des paysans, le maître se doit de manifester sa bravoure et sa loyauté envers eux[4]. L'Église a œuvré pour canaliser les chevaliers-brigands dès la fin du Xe siècle. À partir du concile de Charroux en 989, les hommes en armes