Bataille de Friedland

défaite de Waterloo date de juin 1815 et Victor Hugo est né en 1802), utilise donc toutes les ressources de la poésie épique et de son enthousiasme sincère pour en faire une véritable tragédie héroïque. Le cadre et les circonstances de la bataille apparaissent explicitement dans le passage. La "plaine " de Waterloo (v. l), située dans la plate Belgique, est entourée de plateaux, comme le rappelle le "mamelon" qui dissimule la Garde (v. 10), et qui était la colline de la Belle-Alliance. L'image

duc du Reichstadt et à la mort de Napoléon elle remarie avec le comte Niepper puis au décès de celui-ci avec Charles René. Napoléon eut aussi 2 enfants illégitimes: Léon Denuelle et Alexandre fils de la comtesse de Walewska. III- Les grandes Batailles Napoléoniennes: En 1797 à Rivoli, après avoir remanié la carte de l'Italie du nord et conclu un accorde paix avec l'Autriche à Campoformio. Le Directoire et Napoléon souhaitaient humilier l'Angleterre car le premier ministre William Pitt faisait

contre la France et son régime né de la Révolution. Il conduit pour cela les armées françaises d'Italie au Nil et d'Autriche à la Prusse et à la Pologne : ses nombreuses et brillantes victoires (Arcole, Rivoli, Pyramides, Marengo, Austerlitz, Iéna, Friedland), dans des campagnes militaires rapides, disloquent les quatre premières coalitions. Les paix successives, qui mettent un terme à chacune de ces coalitions, renforcent la France et donnent à son chef, Napoléon, un degré de puissance jusqu'alors rarement

foudroyante où les victoires s’enchaînent : Lodi (10 mai 1896), Castiglione (5 août), Arcole (17 novembre) où il passe le premier le pont sous la mitraille ennemie, Rivoli (14 janvier 1797), ville sur l’Adige, près du lac de Garde. Toutes ces batailles ont lieu dans le nord-est de l’Italie, en Vénétie (province de Vérone), dans la plaine du Pô. En moins d’un an (avril 1796-avril 1797), il conduit ses troupes aux portes de Vienne, sans consulter le Directoire. Il impose à l’Autriche la paix de Campoformio

moment fatal! L’homme inquiet Sentit que la bataille entre ses mains pliait. Derrière un mamelon la garde était massée, La garde, espoir suprême et suprême pensée! —Allons! faites donner la garde, cria-t-il,— Et lanciers, grenadiers aux guêtres de coutil, Dragons que Rome eût pris pour des légionnaires, Cuirassiers, canonniers qui traînaient des tonnerres, Portant le noir colback ou le casque poli, Tous, ceux de Friedland et ceux de Rivoli, Comprenant qu’ils allaient

contre la France et son régime né de la Révolution. Il conduit pour cela les armées françaises d'Italie au Nil et d'Autriche à la Prusse et à la Pologne : ses nombreuses et brillantes victoires (Arcole, Rivoli, Pyramides, Marengo, Austerlitz, Iéna, Friedland), dans des campagnes militaires rapides, disloquent les quatre premières coalitions. Les paix successives, qui mettent un terme à chacune de ces coalitions, renforcent la France et donnent à son chef, Napoléon, un degré de puissance jusqu'alors rarement

artistique ne reste hors de son influence. Portraits impériaux, scènes de bataille, récits d’exploits véhiculent son image d’homme intrépide mais clément, charismatique et proche de ses soldats, majestueux et simple. De la littérature à l’architecture, de la musique à la peinture, tout vise à glorifier Napoléon destiné à entrer vivant dans la légende. Songeons au Sacre de David, aux Pestiférés de Jaffa et au Champ de bataille d’Eylau de Gros, au Triomphe de Trajan, opéra de Lesueur aujourd’hui bien

remporte sa plus brillante victoire lors de la bataille d'Austerlitz (2 décembre), où il écrase les armées russes et autrichiennes en présence de leurs empereurs. La Grande Armée soumet ensuite la Prusse, suite aux victoires d'Iéna et d'Auerstedt le 14 octobre 1806. Le 21 novembre 1806, Napoléon Ier décrète l'établissement d'un blocus continental à l'Angleterre. En 1807, la Grande Armée entre en Pologne et défait la Russie à la bataille de Friedland. Fort de ces succès, Napoléon peut alors imposer

les monarchies européennes contre la France et son régime né de la Révolution. Il conduit pour cela les armées françaises d'Italie au Nil et d'Autriche à la Prusse et à la Pologne : ses nombreuses et brillantes victoires (Arcole, Rivoli, Pyramides, Marengo, Austerlitz, Iéna, Friedland), dans des campagnes militaires rapides, disloquent les quatre premières coalitions. Les paix successives, qui mettent un terme à chacune de ces coalitions, renforcent la France et donnent à son chef, Napoléon, un degré de puissance jusqu'alors rarement

1806 Politico-social 14 oct. 1806 Militaire 14 oct. 1806 27 oct. 1806 21 nov. 1806 Militaire Politico-social Politico-social 3 Napolé on ordonne le blocus continental. Il isole ainsi économiquement l'Angleterre. Bataille d'Eylau. Victoire de Friedland. Entrevue de Tilsit. L'alliance francorusse est signée sur le Nié men. Cré tion de la Cour des comptes. Cré ation de la noblesse d'Empire. 21 nov. 1806 Politico-social 08 févr. 1807 14 juin 1807 25 juin 1807 Militaire Militaire