Bataille de Kerbala

théologique la plus répandue chez les non-arabes. Afghans, Pakistanais...Cette école explique que le Coran est pu être admis par des pops très loin de la civi. Cas chiite: Celui qui suit le mouvement impulsé par Ali. Assassinée en 661 suite à la bataille. Ce clan refute les califats qui se sont succèdés. Ce mvt correspond à un schisme puisqu'il reconnaisse une autorité du clergé. S'y ajoute l'existence d'un Imam caché: Le Mahdi. (12e imam). Ce chiisme est le chiisme dominant. Géographiquement

mars 1980 : l’Iran retire son ambassadeur d’Irak et demande à l’Irak de faire de même. * 2 avril 1980 : Saddam Hussein, lors d’un discours dans une université irakienne, fait un parallèle entre la bataille d’Al-Qadisiyyah pour justifier sa position vis-à-vis de l’Iran. Al-Qadisiyyah est une bataille gagnée par les arabes sur les perses lors de la conquête islamique de l’Iran au VIIème siècle. * avril 1980 : des islamistes irakiens, liés à Téhéran, tente d’assassiner Tarek Aziz, ministre des affaires

kurdes à Erbil. * 27 février (Philippines) : une bombe explose dans un ferry de Manille, tuant 116 personnes[10]. * 2 mars (Irak) : quatre explosions détruisent le parvis de la mosquée chiite de Kadhimiya, lors de la fête de l'achoura. À Kerbala, des tirs de roquettes sont lancés contre le mausolée d'Abbas. Le bilan de ces opérations est lourd : 171 morts, 556 blessés[11]. * 11 mars (Espagne) : 191 morts et 1 500 blessées lors d'attentats à la bombe à bord de trains de banlieue de Madrid

livrer le pays au voisin iranien. Saddam Hussein a ainsi la possibilité de réprimer les rebelles chiites à Kerbala et à Nadjaf (carte 4), partiellement détruites en février-mars 1991. Ces deux villes sont hautement symboliques pour les chiites : Nadjaf est la 3e ville sainte chiite (la Mecque est la première, Médine la deuxième) et abrite le tombeau d’Ali (annexe, document 4) alors que Kerbala est la 4e ville sainte chiite[18]. Quant aux rebelles kurdes, ils sont protégés par la coalition qui met en

tragédie de Kerbala montre jusqu’où peut mener l'avidité, la cupidité ou la voracité politique des hommes. Aveuglés par l'amour du pouvoir, les Omeyyades assassinent les petits enfants du prophète et la Bataille de Kerbala marque l'apogée de la cruauté de Yazid. Hussein et ses compagnons y sont massacrés après un siège qui les prive de nourriture et d'eau. Yazid va jusqu’à faire trancher la tête d'Hussein représentant de l'Ahl al-Bayt. Pour les alévi bektachi, les événements de Kerbala marquent une

gouverneur de Riyad, alors que les Ottomans occupent de nouveau le Hasa, à l'est de la péninsule. Période Al Rachid Saoud ben Abdelaziz Al Rachid. L'Émir décide alors de mettre fin au royaume saoudien. En 1891, la Maison des Al Saoud est défaite à la bataille de Mulayda dans la région de Qassim par les Al Rachid, soutenus par les Ottomans qui restaient ennemis des Saoud. La famille Al Saoud est obligée de s'exiler au Koweït, alors protégé par la Grande-Bretagne, ennemie de l'Empire ottoman. Troisième

Wahhabisme 2 Guerre contre le califat musulman Le califat ottoman de l'époque s’inquiète rapidement de l'ampleur du mouvement et de la menace qu'il fait peser sur son pouvoir. À la suite du pillage et de la profanation des villes saintes de Kerbala (1801), de La Mecque et de Médine (1803-1806)[2], le sultan Mahmud II ordonna au Khédive (vice-roi) d'Égypte Mohammed 'Ali Pacha d'envoyer une armée en Arabie pour détruire cette dissidence. Celui-ci nomme son fils Ahmed Toussoune Pacha (1793-1816)

rois wisigoths, conquise en 711, et à l’est jusqu’à l’Afghanistan et l’Ouzbekistan actuels. Symboliquement la bataille de Poitiers en 732 entre les Francs et les Musulmans venus d’Espagne marque l’extrême avancée des conquérants arabes vers le nord-ouest tandis celle du Talas en 751 aux confins de l’Ouzbekistan et du Kirghizstan marque à peu près la limite de l’expansion à l’est. Cette bataille du Talas oppose les armées chinoise et arabe, à un millier de kilomètres de Kachgar (ouest de la Chine actuelle)

linguistique et religieuse du pays s'amenuise, tandis que se creuse la fracture entre les sunnites, anciens détenteurs du pouvoir, et les shiites, numériquement majoritaires dans un pays où se trouvent le berceau du shiisme et les lieux saints de Najaf et Kerbala. •  Un développement compromis On peut estimer que l'Irak a une superficie cultivable totale de 12 millions d'hectares, dont 4 millions dans les hautes terres septentrionales, où l'agriculture pluviale est possible, et 8 millions dans la Djézireh

faveur d’al-Qaïda ne se limitait pas au financement : « Ces derniers mois, des prédicateurs saoudiens ont provoqué la consternation en Irak et Iran après avoir publié des fatwas appelant à la destruction des grands mausolées chiites à Nadjaf et à Kerbala, en Irak – certains ayant déjà été ciblés par des attentats à la bombe –. Et tandis que des membres importants de la dynastie régnante des Saoud expriment régulièrement leur aversion pour le terrorisme, certains responsables qui défendent l’extrémisme