Bataille de Mohács

les mauristes st expulses de ts les royaumes espagnoles,tte fois il reste qq1 sur le sol espâgnol mais doivent se cacher.Mais au contraire les muslim avancent en europe de l est et pression continue.Effondrement de l etat hongrois en 1526 a la bataille de MoHacs et en 1529 c le premier siege de viennes par soulimane le magnifique cad les musulmans arrivent aux portes de viennes.Une partie de de l europedanubienne tombe ss le control automan et en 1568 une partie de la hongrie annexée a l empire otto

rois wisigoths, conquise en 711, et à l’est jusqu’à l’Afghanistan et l’Ouzbekistan actuels. Symboliquement la bataille de Poitiers en 732 entre les Francs et les Musulmans venus d’Espagne marque l’extrême avancée des conquérants arabes vers le nord-ouest tandis celle du Talas en 751 aux confins de l’Ouzbekistan et du Kirghizstan marque à peu près la limite de l’expansion à l’est. Cette bataille du Talas oppose les armées chinoise et arabe, à un millier de kilomètres de Kachgar (ouest de la Chine actuelle)

le préambule de la constitution, rédigée par VGE. Est-ce le rôle de la culture de légitimer une question constitutionnelle ? On constate que quand apparait le terme Europe, au 7ième siècle, dans une chronique de l’anonyme de Cordoue rapporte la bataille de Poitiers de 732 entre les troupes de Charlemagne père et les groupes de l’ennemi Abd-El-Raman. Cet historien du 7ième siècle déclare « qu’au petit matin les européens ont vu les arabes sortir de leur tente. »Première fois que le terme fut utilisé

imposent à leur tour, mais dans la seconde moitié du XIIIe siècle, les canesats se dégagent progressivement de leur tutelle en devenant vassaux de la principauté Galicie ou de la Hongrie. La Valachie s'émancipe en 1330 à la bataille de Posada, la Moldavie en 1359 à la bataille de Baia, tandis qu'aux bouches du Danube, la Dobrogée (Scythie mineure) sera indépendante de 1341 à 1402 avant de faire partie de la Valachie. Sous l'influence ottomane À peine la Valachie et la Moldavie se sont-elles émancipées

présent lors de ces journées de combat, m’imposant de consigner, chaque soir, mes impressions par écrit. En les relisant, à Rome, quelques années plus tard, je fus étonné de voir que je n’avais pas consacré la moindre ligne au déroulement des batailles. Seul avait retenu mon attention le comportement des princes et de leurs proches devant la défaite, comportement qui ne manqua pas de me surprendre, bien que la fréquentation de la cour m’eût délesté de certaines naïvetés. Je ne citerai

eu un long entretien avec le comte. Je lui ai posé quelques questions sur l’histoire de la Transylvanie, et il s’animait en me répondant. Le sujet semblait lui plaire ! Tandis qu’il parlait des choses et des gens, et surtout quand il parlait de batailles, on eût dit qu’il avait assisté à toutes les scènes qu’il me décrivait. Cette attitude, il me l’expliqua, en disant que, pour un boyard, la gloire de sa famille et de son nom, c’est son orgueil personnel, que leur honneur est son honneur et leur