Bataille de Mossoul

nouvelles cargaisons de vivres - l'équivalent de 52 000 repas - et des conteneurs d'eau après avoir déjà mené des opérations similaires jeudi et vendredi à destination des «milliers de citoyens» menacés par les jihadistes sur les monts Sinjar, entre Mossoul et la frontière syrienne, a annoncé le Pentagone. La prise par l'EI il y a une semaine de Sinjar, bastion des Yazidis, une minorité non-musulmane, a poussé à la fuite jusqu'à 200 000 civils selon l'ONU. Nombre d'entre eux sont piégés dans les

L’Empire est fort, l’effondrement est moins rapide que prévu par les puissances européennes. Au début effectif réduit et matériel insuffisant. Avec l’aide de la triple-alliance, entre fin 14 et début 16 aug importante des effectifs et de sa qualité. Batailles, front : les Russes franchissent la frontière au niveau du Caucase. Les Britanniques arrivent par le Golfe persique : ville de Bassora puis tentent de remonter vers Bagdad. Tenus en échec dans un 1er temps. Canal de Suez : les Ottomans attaquent

dans des pièges, de grands trous qu’ils creusaient, ou des dénivelés naturels (la roche de Solutré). Faibles et nus, ils furent obligés de s’organiser, d’envoyer des éclaireurs pour rabattre le gibier (techniques qu’utiliseront ensuite dans leurs batailles, tous les grands capitaines). Pour transmettre les ordres au loin, il leur fallut employer des sons qui ne faisaient pas partie de leur héritage phonétique. Le langage était né. Ils avaient auparavant la capacité de parler, mais ils n’en usaient

démocraties occidentales de le reconnaître officiellement ». Le pape et les Parlements italien, européen et suédois reconnurent le génocide arménien, et la France alla jusqu’à l’inscrire dans sa loi. Mais aux États-Unis le débat demeurait à l’évidence une bataille de pouvoir, or le pouvoir de la Turquie dépassait de loin celui de l’Arménie, qui jusqu’en 1991 n’était même pas un État-nation (Balakian 2003, 426). La communauté internationale pose des actions afin que le génocide arménien ne sombre pas dans

sultan n’a plus de pouvoirs, il n’est même plus le dirigeant religieux). Etat arménien : pour eux de la Mer noire à la Méditerranée, mais l’Italie est là. Pour les Kurdes, l’état créé ne regroupe pas toutes les parties historiques : la région de Mossoul ne va pas être lâchée par les français. Poudrière en place dès en 1920. On met en place un rapport de force momentané qui voit s’affronter les logiques nationales et impériales. On ne voit pas en 1920 d’autres solutions qu’une forme de radicalisation

rives de l’Euphrate. ‘Omar, dès son arrivée au pouvoir, décida de poursuivre la conquête; bien que vaincus à l’automne 634, les Arabes reprirent leur avance et franchirent 1’Euphrate; les Perses résistèrent longtemps et vigoureusement, mais la grande bataille de Qâdisiyya (été 637) leur fut fatale. Maîtres de la Babylonie, les Arabes y fondèrent deux bases fortifiées : Baçra, sur le Chatt al-.’Arab, et Koûfa, au sud de l’ancienne Babylone, et s’emparèrent ensuite de Ctésiphon (en arabe Madâ’in). Les troupes

Le Caire s'orne de monuments remarquables : le palais du calife (Qasr al-Kabir, aujourd'hui disparu), la mosquée al-Azhar.     [pic] Saladin Ier En 1164, devançant les troupes du royaume de Jérusalem, les lieutenants de l'atabek turc de Mossoul, Chirkuh, et son neveu Saladin (Salah al-Din) occupent l'Égypte. Saladin devient vizir en 1169 et, à la mort du Fatimide al-Adid (1160-1171), fait prononcer la prière au nom du calife de Bagdad. Les Ayyubides (1171-1250) [pic] L'Égypte,

prend au jeu et se flatte de sa capacité de « décodage ». Lutte contre l’Obscurantisme, dénonciation de la corruption des régimes politiques, critique des dogmes religieux, appel à la liberté des peuples et à la tolérance, voilà quelques chevaux de bataille des voyageurs philosophiques. Tantôt idéalistes, tantôt naïfs et crédules, leurs périples sont des pages blanches où viennent s’écrire les maux du monde mais également une partie de leurs remèdes. Chargés des haines –au sens où l’entendait Zola-

bouclier et parfois une cuirasse. La discipline, rigoureuse, admettait les châtiments corporels et la peine du mort pour les fuyards. 113 © Groupe Eyrolles Partie II La Méditerranée au cœur des civilisations L’ordre de bataille des légions romaines L’ordre de bataille comprenait un dispositif sur trois lignes : – au premier rang, les hastati porteurs de lances étaient souvent les plus jeunes ; – au deuxième rang, les principes attaquaient avec un javelot de 2 m de long et gardaient l’épée

plus pour que les races maîtresses disparaissent rapidement. Encore un autre motif, c'est que leur activité plus grande, le rôle plus direct qu'elles jouent dans les affaires de leur État, les exposent particulièrement aux funestes résultats des batailles, des proscriptions et des révoltes. Ainsi, tandis que, d'une part, elles amassent autour d'elles, par le fait même de leur génie civilisateur, des éléments divers où elles doivent s'absorber, elles sont encore victimes d'une cause première, leur