Bataille du pont d'Arcole

comme les Marocains Ahmed Balili (né en 1955) ou Abdelkrim Belamine (né en 1964). L'orientalisme du xxie siècle « appartient » désormais à ses inspirateurs, artistes en majorité originaires du Maghreb et plus précisément du Maroc. La bataille du Pont d'Arcole s'est déroulée du 15 au 17 novembre 1796 (25 au 27 brumaire an 5) lors de la première campagne d’Italie. Elle opposa les 19 000 hommes de l’armée française, sous les ordres de Napoléon Bonaparte, aux 24 000 hommes de l'armée autrichienne

Bonaparte fait très tôt servir à sa gloire la peinture. Les tableaux de grands peintres ralliés au régime rythment son ascension. L'épopée est pour ainsi dire retracée en images, depuis la première campagne d'Italie {Bonaparte au Pont d'Arcole par Gros), jusqu'à La bataille de la Moscowa, décrite par Lejeune, en passant par la représentation du Sacre par David. La sculpture participe également à la représentation du régime et de ses œuvres : scènes de la vie militaire sur l'arc du Carrousel, évocation

peintre officiel du premier Empire. Vivant Denon impose aux artistes de célébrer Napoléon Ier à travers des peintures qui glorifient les batailles et ses faits et geste. Ces œuvres sont présentés dans le Salon de peinture et de sculpture évènement annuel qui expose les tableaux des principaux artistes en vue du régime tel Antoine-Jean Gros peintre attitré des batailles ou du portraitiste de cour François Gérard. Peu d'artistes se font une place en dehors du néoclassicisme, se démarque cependant Pierre-Paul

prêt à tout pour remporter la victoire. Roland est pris dans une embuscade organisée par son traître beau-père. Mais, armé de sa force et de son courage, il parvient à leur tenir tête malgré leur supériorité en nombre. Roland meurt bravement dans la bataille : « […] il est mort en conquérant ». Aude, la fiancée de Roland meurt sur le coup de l’annonce de la mort de ce dernier. Dans le poème d’Aragon aux vers 8 et 9, chacun de ces trois personnages peut se voir attribuer une représentation durant la

les « fils de l’Empire et petits-fils de la Révolution » ; c’est une génération qui a environ vingt ans en 1830 et qui est le produit, le résultat de ces bouleversements : « une génération ardente, pâle, nerveuse » d’enfants « conçus entre deux batailles, élevés dans les collèges aux roulements de tambours ». « Siècle », qui désigne ce tout nouveau XIXème siècle, passage entre un passé glorieux et un avenir incertain : « Derrière eux un passé à jamais détruit, s’agitant encore

sur lui-même, préférant les livres aux jeux de son âge.. Considéré comme bon élève, particulièrement doué pour les mathématiques. Il montre déjà une propension à l’art du commandement, en organisant des jeux militaires dont il prend la tête. Une bataille de boules de neige, qu'il aurait dirigée un hiver, fait partie de sa légende. Le 17 octobre 1885, il entre à l’académie de. En septembre, il passe l'examen de sortie de l'école afin d'intégrer un régiment d'artillerie, interrogé par le mathématicien

Baron Gérard dans la ville de Bayeux, dans une galerie montrant de nombreuses autres oeuvres de la période "néo-classicisme". Parmis les tableaux important de Antoine Jean Gros, on peut noter: "La bataille d'Aboukir", datée de 1806 et située à Versailles, "Napoléon Bonaparte sur le champ de bataille d'Eylau 1807", achevée en 1808 et présentée au Louvre. · Le peintre L'artiste Antoine-Jean Gros (ou baron Gros), né à Paris le 16 mars 1771 et mort le 25 juin 1835 à Meudon, est un peintre

célèbres que ce tableau. Au salon de 1831, d’autres tableaux ont pour thème les journées de 1830. Mais ils pointent surtout le fait que les affrontements ont eu lieu en plein Paris. Les artistes utilisent les procédés habituels de la peinture de bataille : une vue panoramique avec des personnages très petits, une logique de combat claire. . Delacroix fait l’inverse : Le spectateur est placé très bas, assailli par des figures plus grandes que lui. Et La logique du combat est surprenante : c’est

éléphant surmonté de la statue de Louis XV ; qui aurait abrité une salle de bal et un théâtre. Toutefois, ce projet trop ambitieux est abandonné lorsque Napoléon Ier commande un arc de triomphe à la gloire des héros de la Grande armée. A la suite de la bataille d'Austerlitz (1805), il déclare aux soldats: « Vous ne rentrerez dans vos foyers que sous des arcs de Triomphe ». La construction est abandonnée sous la Restauration puis reprise et achevée sous Louis-Philippe en 1836. Problématique : Si ce monument

célèbres que ce tableau. . Au salon de 1831, d’autres tableaux ont pour thème les journées de 1830. Mais ils pointent surtout le fait que les affrontements ont eu lieu en plein Paris. Les artistes utilisent les procédés habituels de la peinture de bataille : une vue panoramique avec des personnages très petits, une logique de combat claire. Delacroix fait l’inverse : Le spectateur est placé très bas, assailli par des figures plus grandes que lui. Et La logique du combat est surprenante : c’est vers