Bateau-tombe

le plus souvent possible. Puis je suis partie à l’aéroport acheté le billet le moins chère qui était la Turquie. Un des plus beau pays que j’ai visité par la suite j’ai fait de l’auto stop jusqu’au bord de la mers puis j’ai traversé la mer en bateau et je me suis rendu en Grèce. Mais je ne suis pas resté longtemps car il y avait une guerre civile. Enocre une fois j’ai embarqué dans un navire pour travailler car il me restait plu un sous. C’est à ce moment là que j’ai fais le tour du monde

Retour », mais pour lui il n’y eut jamais de retour. Il nous conte son voyage qu’il n’eut pas la chance de terminer, une histoire véridique et effrayante. Journée 181, nous sommes le 15 juin 1682, il est 9h et quelques minutes sur le cadran solaire du bateau. Cela fait déjà longtemps que nous n’avons plus touché terre ; cela devient pesant et fatiguant ! L’équipage et moi-même, sommes affligées par la longueur de ce voyage,  les journées s’enroulent et se déroulent de manière infinie…. Et pourtant

un rayon de soleil qui part du ciel en haut à gauche, éclaire le bateau est fini sa course en éclairant une vague déferlante. La direction de se rayon est identique à celle du vent. On à ainsi l'impression que le rayon de lumière est responsable de la tempête qui risque de faire sombrer les deux navires. On note ensuite une deuxième ligne, moins importante. Elle part du bateau à gauche dans l'arrière plan et revient sur le bateau principal. Le navire au fond commence déjà à sombrer sur le tableau

le navigateur – l’hôtesse de l’air – le mécanicien L’aéroport – l’aérodrome – le terrain d’aviation – la passerelle – la piste d’atterrissage – le hangar Décoller – atterrir – piquer – survoler – voler Les transports maritimes et fluviaux Le bateau – la péniche – le cargo – le pétrolier – le remorqueur – le ferry-boat – le paquebot Le port – l’embarcation – le débarcadère – le quai – l’escale – le chenal – la jetée – la digue le phare – l’écluse – le dock – le bassin Quitter le port – amarrer

transatlantiques. Lieu de tous les possibles où se côtoient différentes couches sociales, le Titanic a marqué les esprits en sombrant en 1912. C'est sur un bateau du même type qu'Alessandro Baricco situ son ouvrage : Novecento pianiste. Le passage que nous allons étudier raconte la découverte d'un nouveau né, abandonné sur le piano du bateau. Il sera donc intéressant de voir comment cette découverte peut apparaître comme une nouvelle naissance, symbole de toute une époque tant du point de vue de

de l’affiche est consacré au bateau, le haut au couple. Le bateau prend beaucoup plus de place et semble vouloir sortir du cadre (proue en avant). Celle-ci transperce le couple, comme pour suggérer la séparation imminente. On retrouve les couleurs de l’habillement des officiers : noir et blanc. Les hublots suggèrent les galons dorés. Cependant, on note que ces signes sont davantage visibles du côté droit (tribord), étant entendu que le côté gauche (bâbord) du bateau se trouve dans l’ombre. L’affiche

importations). Le Royaume-Uni arrive au deuxième rang, avec 9 % des flux entrants, à égalité avec les États-Unis. La Chine, nouvelle venue sur le marché, pourrait prendre une place importante dans les prochaines années. Pour la première fois, un bateau fabriqué en Chine a été exposé au salon nautique de Paris de 2005. Un marché intérieur pénalisé par le manque de places dans les ports Si la vitalité de la demande extérieure ne se dément pas, le marché intérieur reste stable. Cette atonie est probablement

homme solitaire parce qu’il vit tout seul dans sa cabane, l’auteur nous fait savoir qu’il avait une femme dans sa vie mais qui la quittée parce qu’elle n’est plus de ce monde. Santiago est un vieil homme pauvre tout d’abord parce qu’il vit dans son bateau, ensuite parce que dans un passage on peut lire qu’il a remis le même vêtement qu’il avait porté la journée précédente, sans même avoir fait une petite toilette donc il n’a pas une très bonne hygiène Il est persévérant car il est resté trois jours

plus faible Marchands viennent de partout, sur Terre, fortifications car risques d'attaques car « entrepôt » ETOFFES 3) D'après le document 4, la colleganza ou « sociétés de mer » unit un marchand vénitien à un homme. Il prend des parts sur un bateau et le marchand fait du mieux qu'il peut pour gagner des bénéfices. Ceux-ci seront équitablement partagés entre les deux personnes. Le principe est de partager les risques. La lettre de change, quand-à-elle, permet de favoriser les échanges et limite

découvre l’immensité du continent qui deviendra le continent Américain. Il commence à penser qu'il explore un coin encore inconnu. Au quatrième voyage les Espagnols permirent à Colomb de rechercher une route vers l'Asie en allant vers l'ouest. Le bateau a traversé une tempête. Celleci a fait couler plusieurs des bateaux de l'expédition : celui de Colomb cependant arriva à bon port. Il cherchait un passage vers l'ouest sur les côtes de l'Amérique Centrale. Il ne trouva aucun passage. Il installa