Bâton

aussi par l’ingénieuse simplicité des jeux de mots qu’elle verbalise les uns à la suite des autres. La mise en scène est réalisée dans un décor des plus minimalistes : un instant, des bâtons de hockey sont utilisés pour déjouer ses adversaires lors d’un ultime match de hockey, puis l’instant d’après, ces mêmes bâtons deviennent des aiguilles à tricoter ou un guidon de bicyclette et il en va de même pour les projections à l’arrière de la scène : celles-ci peuvent être bobines de fil, cerveaux ou encore

plus bas, on peut voir l’inscription INRI, qui signifie « ici est le roi des juifs ». Cette inscription est juste au-dessus du seigneur, ce qui a pour but de nous rappeler l’identité du juge. De plus, le père de tous les hommes tient un bâton, peut être le bâton de la justice, qui était utilisé au moyen Age par exemple par les rois pour juger ceux qui avaient commis des torts. Cela met en valeur le thème de la justice, qui est le thème principal du jugement dernier. Ce seigneur est entouré de nombreuses

planche à roulette et s'aide de deux batons pour avancer. Sous cette planche à roulette on peut voir un journal sur lequel il est écrit « Juden Raus » se qui signifie « dehors les juifs ». Sur la gauche on peut voir une main posée sur une canne et la tête d'un chien juste en dessous. Sur la droite on voit une chaussure à talon haut avec le bas d'une robe et une queue de chat à côté du talon. Au deuxième plan on peut voir un homme mutilé assis par tard qui a des batons à la place des pieds et un bras

L’homophobie Rôles :Victimes : Raoni, TimothéeAgresseurs : Luca, Simon, AnesTémoins : Timéo, EdouardLecture des didascalies : Edouard Sur la scène se trouve Raoni, Timothée, Anes et Luca Raoni (s’avance vers Timothée ) : Euh… enfaite je voulais te dire que … Timothée : Oui, Qu’est-ce-que, Qu’est-ce-que tu veux me dire.Raoni : Je je t’aime, voilà !Timothée : J’avais honte de te le dire, mais moi aussi.Anès et Luca en passant par là et en entendant

Héphaïstos est donc boiteux ; sa claudication rappelle sans doute le mouvement tremblotant de la flamme. La Symbolique Le boiteux est bancal. Boiter est le contraire de marcher droit. Le boiteux marche de travers, à moins qu’il ne se serve d’un bâton pour rétablir l’équilibre. Le Sphinx posa cette énigme à Œdipe : « Qui marche à quatre pattes le matin, à deux pattes à midi, et à trois pattes le soir ? ». Œdipe répondit : « l’homme » et c’était effectivement la bonne réponse. Enfant, il se traîne

vu dans le jardin avec une cassette. Il profite de la situation pour accuser Valère dont il a reçu des coups de bâton et dont il veut se venger. Maitre Jacques, à part : Voici justement ce qu’il me faut pour me venger de notre intendant (eine Art Verwalter) : depuis qu’il est entrée céans, il est le favori, on n’écoute que ses conseils ; et j’ai aussi sur le cœur les coups de bâton de tantôt. Acte V, scène 3 3. Pourquoi les phrases suivantes sont-elles à l’origine d’une confusion ? Harpagon :

entières de la Marmite , par exemple) et de la commedia dell arte, venue d'Italie. Molière exploite les mêmes intrigues, en les complexifiant, les mêmes gestes et situations, coups de bâton, mari cocu, scènes de quiproquo. Les fourberies de Scapin ou George Dandin comportent des scènes farcesques : la scène des coups de bâton de Scapin, la plainte publique du cocu. Une deuxième thèse traiterait de la fonction critique du comique. Un argument peut expliquer qu'on se divertit aux dépends de certains

en Amérique. Elle se résume ainsi à la formule « l’Amérique aux Américains » : C’est du Panaméricanisme. • La doctrine de Roosevelt de 1899 est dite du « Big Stick (gros bâton) ». C’est une politique, non pas d’annexion directe mais d’intervention, inspirée d’un proverbe africain : « parlez doucement et prenez un gros bâton avec vous, vous irez loin ». • « La diplomatie du dollar » du Président Taft en 1909, continue la politique d’intervention de Roosevelt. Mais à l’intervention militaire, il

comique relèvent les répliques de Damis, aux vers 1767, 1768, 1801 et 1802 ? Expliquez. Les répliques de Damis relèvent du comique de caractère, car elles illustrent le tempérament colérique du fils qui se retient pour ne pas frapper l’huissier avec un bâton, comme on le ferait dans une farce. 10. De quel procédé comique relèvent les répliques de Dorine, aux vers 1772, 1803 et 1804 ? Expliquez. Les répliques de Dorine relèvent du comique de mots. Le vers 1772 oppose par antiphrase le nom « Loyal » à l’adjectif

objetsArgument 3  : Un effet comique. Les accessoires peuvent avoir un effet comique lorsqu’on les utilise. Dans Les fourberies de Scapin lorsque Scapin donne des coups de bâton à Géronte qui est dans un sac et qu’il fait semblant de s’être lui-même pris les coups « en se plaignant et remuant du dos ». Le bâton a donc un effet comique lors de cette scène. Elaboration (sens) :ObjetArgument 1  : L’épingle, symbole de la défaite. L’épingle présente dans l’acte 4 du Mariage