Bâtons de Napier

traits interrompus ou non : 000 001 010 011 etc... | -500 : Apparition au Moyen Orient du premier "outil" de calcul : l'abaque et le boulier. -300 : Le philosophe Grec Aristote définit dans son oeuvre ce qu'est la logique. 1580 : John NAPIER invente les logarithmes. 1623 : Wilhelm Schickard invente ce qu'il appelle une horloge calculante. Elle calculait mécaniquement grâce à des roues dentées et pouvait réaliser additions, soustractions, multiplications et mémorisation des résultats

de l’informatique, l’évolution jusqu’à aujourd’hui • • -300 : Aristote définit la logique 1580-1617 : John Napier invente les logarithmes + nombres décimaux + techniques de multiplication et division (bâtons de Napier) 1623 : Cylindres de Schickard ( + idée d’utiliser des roues dentelées) • L’histoire de l’informatique, l’évolution jusqu’à aujourd’hui Bâtons de Napier, multiplication de 46785399 par 7 Schéma de la machine de Schickard L’histoire de l’informatique, l’évolution

rapide et couramment utilisé par des gens, principalement en Extrême-Orient. John napier Son objectif était de simplifier les calculs trigonométriques nécessaires en astronomie. Les batonnets de Neper Sa création, appelée bâtonnets ou osselets de Neper n'est en somme qu'une disposition physique sur des bâtons de la table de multiplication des chiffres de 1 à 9 (table de Pythagore). En effet, chaque bâton est associé à la table de multiplication d'un des chiffres par tous les autres. Chacune

la multiplication et la division mais aussi des racines carrées… Avantage : facilité d’utilisation Inconvénient : est que les additions et les soustractions ne sont pas praticables. John Napier a inventé les bâtons pour faciliter les calculs des produits, Les bâtons par quotients, puissances et racines. John Napier en Avantage : il suffit d’utiliser les additions 1615 pour pouvoir faire des multiplications. Inconvénients : les résultats seront toujours des nombre entiers, ce qui est moins précis. Le

dans son principe au codage binaire (francis bacon)Claude Shannon propose, l'union de l'algèbre booléenne, les nombres binaires et les circuits | http://www.apprendre-en-ligne.net/crypto/stegano/bilitere.html | | | | 1615Bâtons de John Napier | Les bâtons mobiles réalisent des multiplications rapidement grâce au codage de Pythagore | http://www.histoire-informatique.org/grandes_dates/1_2.html | 1640Pascaline | La Pascaline, inventée par Blaise Pascal en 1642, est la première calculatrice

sur laquelle on travaille. Le problème de la multiplication a également été partiellement résolu par des dispositifs se rapprochant des précédents. En 1617, peu de temps avant sa mort, John Napier de Merchiston (Neper), inventeur des logarithmes fabriqua des réglettes facilitant la multiplication. Ces batons sont des extraits de la table de Phytagore, chaque case étant divisée diagonalement pour séparer les chiffres des unités de ceux des dizaines. H. Grenaille perfectionna ce dispositif en 1885

AKAMATOP{O} n. empoisonnement. AKATOP{O} n. métier à tisser (litt. pour tisser, pour filer) : Akatoppëk wai Je fais un métier à tisser. •Encore aujourd’hui, le métier à tisser wayana consiste en un cadre de bois, où une série de fils est tendue entre deux bâtons de bois fichés dans le sol. Le fil de la trame est positionné dans le sens de la largeur. Son opposé, le fil de la chaîne, est disposé dans la longueur. n. marail (Penelope marail, Galliformes, Cracidé) : Akawak kane tëhe ëja? Astu déjà mangé du

02×0,02) = 144 + 8,16 + 0,1024 + 0,0128 + 0,0004 = 152,2756 Jusqu’au XIXe siècle on utilisait couramment cet algorithme en accélérant les calculs à l’aide d’un abaque formé d’un jeu de réglettes : les bâtons de Napier. Bien que décrite ici pour des nombres écrits en base 10, la procédure fonctionne dans n’importe quelle base, base 2 comprise. Dans ce qui précède, 20 représente le double de la base, et en binaire ce nombre serait remplacé par 100. -------------------------------------------------

législature, les députés s’agitent comme des fourmis. On dirait un corps sans tête. Un signal se fait entendre, et les grandes portes de la salle se ferment sur la fourmilière. Elles s’ouvriront à nouveau après les trois coups, et l’huissier du Bâton noir fera son entrée, en provenance du Sénat. Envoyé par le suppléant du gouverneur général qui ne peut entrer dans la salle de la Chambre des communes, il annonce que l’honorable suppléant de Son Excellence le gouverneur général désire que l’honorable

contraignit les Khojas à émigrer vers Karachi. Ceux-ci s'installèrent vers Lee Market, dans le quartier de Lassi64. Peu après l'installation de Hasan `Alî Shâh à Jherruck, une terrible famine s'abattit sur le Kutch. Avec l'autorisation du général Napier, environ 10 000 Khojas émigrèrent dans le Sindh et ils s'installèrent à Matli et surtout à Karachi65. En 1851, Burton affirme qu'il y a 300 familles khojas à Karachi66, qui revendiquent une origine "persane". En 1866, le Sindh était peuplé de 2800