Beamish

bought his brewery in Dublin in 1759. 10 years after, the first shipment of six-and-a-half barrels of GUINNESS beer leaves Dublin on a sailing vessel bound for England. (carte) In the 1830’s, output at the St. James’s Gate brewery exceeds that of Beamish in Cork. (Mettre une carte pour illustrer) The GUINNESS beer label is introduced in 1862: it represent a buff oval with the harp and Arthur Guinness’s signature. In 1876, the Harp is registred as a trademark. (image) In the 1870’s, 10% of GUINNESS

changé la donne, regroupe britannique étant propriétaired’un autre stout irlandais, Beamish, ce qui entraînait inévitablement un conflitd’intérêts entre les deux marques. Le problème ne semble plus se poser aujourd’hui, bien qu’aucune explication ne soit fournie à ce nouveau changement de distributeur, d’autant que la bière rousse Kilkenny fait également partie du lot. Le communiqué officiel ne fait pas mention de Beamish. • Il faut croire que, selon toute vraisemblance, les résultats d’InBev pour Guinnessen

* Heineken (via le holding Sogebra) avec 28% de part de marché. Cette holding détient entre autre la brasserie Fisher. * InBev (Artois, Leffe, Hoegaarden, Boomerang) avec 9% de part de marché. * Kronenbourg (Grimbergen, Bud, Foster’s, Beamish…) avec 43% de part de marché. Les petites brasseries représentent environ 20% de part de marché. La brasserie Duyck (Jenlain), par exemple, fait figure d'irréductible sur le marché de la bière, bien qu'elle ne pèse que 0,4 % du marché Comment

permettant de faire face aux situations de crise : souplesse, dynamisme et flexibilité (Julien, 2005 ; Pett et Wolff, 2006 ; Raymond, 2000). Différents critères sont utilisées dans la littérature pour identifier les entreprises internationales. Beamish (1990, cité dans Coviello et McAuley, 1999) définit ainsi l’internationalisation comme étant le processus par lequel des entreprises simultanément se sentent de plus en plus concernées par l’international et établissent et conduisent des transactions

Ventes / actif Profit net / investissement total Confiance interpersonnelle Confiance interorganisationnelle ns − − ns − ns + / ns * − ns − ns ns − − + / ns * + / ns * ns + ns + Mjoen et Tallman (1997) Park et Ungson (1997) Makino et Beamish (1998) Fey et Beamish (2001) Hennart et Zeng (2002) Luo (2002) Distance culturelle estimée par les répondants (plusieurs éléments) Distance culturellea entre les partenaires Différence de nationalité entre les partenaires Distance culturellea entre les partenaires

nature intra-entreprise, alors que le contrôle d’une coentreprise internationale peut être vu comme une problématique inter-organisationnelle, déterminée par le pouvoir de négociation relatif entre les partenaires. Aussi, comme le soulignent Inkpen et Beamish (1997) contrairement à une filiale 100%, une coentreprise internationale est potentiellement instable car les relations et le pouvoir de négociation entre partenaires évoluent dans le temps. Nous avons répondu à ces interrogations en avançant deux

international, la littérature nous fournit une variété de définitions de l’internationalisation1. Certains auteurs ont proposé des définitions plus simples mettant l’accent sur la nature et l’origine étrangère des opérations et/ou des acteurs (Beamish, 1990 ; Hébert, 2002); D’autres ont établit des typologies plus ou moins complexes croisant plusieurs critères. Torrès (1999), par exemple, en distinguant entre l’espace de localisation et l’espace de fonctionnement (marché, technologie, approvisionnement)

certain nombre d'études ont indiqué que les entreprises multinationales ont une performance supérieure aux entreprises nationales dans les indicateurs de performance tels que la rentabilité, les ventes, les recettes, etc. Kumar (1984), Geringer, Beamish et DaCosta (1989), Mascarenhas (1992), Mitchell, Shaver & Yeung, (1994) et Lee & Caves (1998). L’internationalisation est une stratégie permettant de réduire le risque de l’entreprise. Pras démontre que la diversification des exportations et la diversification

plus particulièrement par Arthur Guinness, considéré comme « le 5ème ingrédient». On peut noter que la Guinness n’est pas la seule bière de type stout en Irlande. Il y a donc une forte concurrence sur cette famille de bière sur le marché Irlandais (Beamish et Murphy’s). 2. La société Arthur Guinness, qui est créateur cette célèbre bière, construisit sa première brasserie à Leixlip en 1750, puis il en acquit une autre à Dublin en 1759, surnommée plus tard la Brasserie de la porte St. James

l’existence de processus alternatifs ; et enfin ceux du troisième groupe se sont intéressés aux construits empiriques (notion de distance psychique, d’expérience, d’engagement) et à leur mesure. Parmi les travaux du premier groupe, l’étude de Calof et Beamish (1995) avait signalé le déterminisme du modèle et sa linéarité. Ces deux caractéristiques ne sont présentes que dans des cas limités de processus d’internationalisation : toutes les firmes ne passent pas forcément par toutes les étapes et au même rythme