Beauvaisis

petit véhicule blanc, aux larges surfaces vitrées portant le sigle des Transports Urbains du Beauvaisis. Jed s'approcha, s'informa : c'était la navette pour Beauvais, lui apprit le chauffeur ; le trajet coûtait deux euros. Il prit un ticket ; il était le seul passager. « Je vous dépose à la gare ? demanda-t-il un peu plus tard. — Non, dans le centre. » L'employé lui jeta un regard surpris ; le tourisme beauvaisis, apparemment, ne semblait pas vraiment bénéficier des retombées de l'aéroport Un effort avait

c’est une collection de coutume, à laquelle ont a donné le nom d’établissement de saint louis pour lui donner une plus grande autorité, pour que les justiciables pensent qu’il s’agit de l’œuvre de saint louis. « Les coutumes de Clermont en Beauvaisis », coutumier rédigé par Philippe de Beaumanoir qui était un juriste qui avait suivi une carrière de bailli (juge de 1ère instance). Il avait voyagé à l’étranger et avait vu les coutumes britanniques. Il connaissait le droit romain et le droit ecclésiastique

véhi¬cule blanc, aux larges surfaces vitrées, portant le sigle des Transports Urbains du Beauvaisis. Jed s'approcha, s'informa : c'était la navette pour Beauvais, lui apprit le chauffeur ; le trajet coûtait deux euros. Il prit un ticket ; il était le seul passager. « Je vous dépose à la gare ? demanda-t-il un peu plus tard. — Non, dans le centre. » L'employé lui jeta un regard surpris ; le tourisme beauvaisis, apparemment, ne semblait pas vraiment bénéficier des retombées de l'aéroport. Un effort

se reduire. La plupart de ces terres vont rentrer dans la dependance feodale. Les plus importantes vont devenir des fiefs et les plus reduites des censives. Cette feodalisation des terres sera plus prononcer dans certaine region. Nord bretagne, beauvaisie. Au XIIIe siecle on finira par constater qu’il n’existe aucune terre sans seigneur (« nul terre sans seigneur ») Dans d’autre region (normandie, ile de France), quelques ilot de terre libre reussissent a se maintenir. Ceux qui possede ces terres

l’irresponsabilité pénale des personnes présentant des troubles mentaux. a) Un principe ancien Sous l’Ancien régime, les malades mentaux ayant commis des infractions étaient déclarés irresponsables de leurs actes, comme l’illustre la coutume du Beauvaisis aux termes de laquelle ils « ne sont pas jugés comme les autres, car ils ne savent pas ce qu’ils font ». Au Moyen-âge, lorsqu’un meurtrier était jugé et condamné à mort, sa famille pouvait introduire une demande de procès en « rémission », en

entrain de forger un nouveau système politique : celui de l’obéissance au roi et donc à un Etat central. A la fin du 13ème siècle, le roi n’est plus vraiment un suzerain. Il est devenu souverain. Philippe de Beaumanoir écrit dans les coutumes de Beauvaisis en 1260 : « le roi est souverain par dessus tous ». Le par dessus, signifie par dessus les seigneurs. § 2 : la souveraineté affirmée Etre souverain au MA signifie être titulaire d’un pouvoir qui ne passe plus par les liens personnels. cela signifie

l'inondation du vaisseau par la lumière, n'entraînèrent aucune innovation dans le plan des églises qui resta ce qu'il était à l'époque romane" . La transition de l'art roman à l'art gothique s'est faite dans la région formée par le Valois, le Beauvaisis, le Vexin, le Parisis et une partie du Soissonais, durant la première moitié du XIIe siècle. On eut l'idée, vers 1100, dans l'Île-de-France, de renforcer les arêtes des voûtes par des arcs en croix, jetés diagonalement au-dessus de chaque compartiment

représentent-ils fidèlement la coutume ? On a constaté qu’un certain nombre des auteurs coutumiers mettent bcp de droit romain. Parmi ces ouvrages, « Livre de jostice et de Plet », « Conseil à un ami », de Pierre de Fontaines, « coutumes de Clermont-en-Beauvaisis » de Philippe de Beaumanoir. Ces rédactions officieuses ont servies la coutume. Celles-ci ne s’imposent pas en justice. Les coutumes ont conservé un droit original par rapport au droit romain. B) le rôle du droit romain : la raison écrite Rôle

coutumes ne sont pas étudiées et n’existent pas sous forme écrite. A partir du XIIIe siècle, on prend l’habitude de rédiger les coutumes. Il y aura d’abord les praticiens qui rédigent des coutumiers. Cf. coutumier de Philippe de Beaumanoir, Coutume du Beauvaisis. Il ne se contente pas de rédiger cette coutume locale, mais ils les commentent par rapport à des coutumes voisines et à certaines décisions du parlement de Paris. Il exprime l’idée que malgré la diversité des coutumes, des PG sous-tendent toutes

orléanaises. Le plus célèbre de tous les coutumiers du nord a été rédigé à la fin du 13ème siècle, sous le règne de Philippe le hardi, par Philippe de Beaumanoir, qui a été bailli pour le comte de Philippe le hardi : il rédige Coutume de Clermont en Beauvaisis. Ce coutumier a du succès et est recopié et lu dans le nord de la France jusqu’à la fin du 14ème siècle. Ces coutumiers ont plusieurs caractéristiques communes : ils sont tous des œuvres privées, ils sont des manuels à l’usage de gens de justice