Béja

Notes: Ce taxon était considéré comme peu fréquent par P.-A. [Fl. Tun. 2: 850 (1981)]. Par ailleurs D.A. Sutton [Revis. Antirrhinae: 93 (1988)] ne cite pas la Tunisie dans la liste des pays où ce taxon est présent. Cependant ce taxon a été retrouvé à Béjà (oued Zerga), le 7 mai 2009 par Z. Ghrabi-Gammar. Un échantillon est déposé à l’herbier de la Banque Nationale de Gènes à Tunis. subsp. tortuosum (Bosc) Ball, J. Linn. Soc. London (Bot.) 16: 596 (1878). Antirrhinum tortuosum Bosc ex Lam., Encycl. 4:

et Sousse-Kairouan (56,6%). NUITEES GLOBALES ET TAUX D’OCCUPATION RELATIF PAR ZONE TOURISTIQUE Zones Djerba-Zarzis Sousse-Kairouan Nabeul-Hammamet Monastir-Skanès Yasmine-Hammamet Tunis-Zaghouan Mahdia-Sfax Gafsa-Tozeur Tabarka-Aïn Draham Bizerte-Béja Sbeïtla-Kasserine Total 2007 En 1000 En % unités du total 9.182 24,6 8.118 21,7 6.489 17,4 4.096 11,0 3.123 8,3 2.309 6,2 2.137 5,7 1.072 2,9 567 1,5 220 0,6 48 0,1 37.361 100,0 Nuitées globales Taux d’occupation en % 2008 Variations en % En 1000 En

plusieurs personnes y ont contribu´, notamment Gerbert d’Aurillac e (vers l’an mil), les traducteurs d’Al Khwarizmi, et l’Italien L´onard de Pise, dit Fibonacci e ` a (∼ 1170/ ∼ 1240). A l’ˆge de douze ans, ce dernier fut emmen´ par son p`re ` Bougie (Beja¨ e e a ıa, en Alg´rie) et y apprit l’arabe et l’arithm´tique dans une boutique d’´picier. Il rentre plus tard e e e en Italie, apr`s quelques voyages dans les pays arabes en quˆte de manuscrits, et publie son Liber e e abaci en 1202, dans lequel il

Said-SettatOuloed Frej Lundi: Ouled said-Settat-Berrechid Mardi:Ouled Said-Settat-Sidi bennour Mercredi: Ouled Said-SettatAounate Jeudi:Ouled Said-Sidi Rahal-Sidi Anar Vendredi: Ouled Said-Settat-Ouled Abbou-Gare de Maati ben Bouazza Samedi: Ouled Said-Settat-Beja Settat Page 237 de 399 Cadastre des autorisations TPV N° DOSSIER BENEFICIAIRE N° AUTORISATIO N DATE DE SEANCE CT ORIGINE D'AGREMENT CATEGORIE SERIE ITINERAIRE POINT DEPART POINT DESTINATION 2203 V M,Boukitab Abdeslam 978 26/05/2009

sources nombreuses. Il y a de beaux pâturages dans les vallées et les clairières. Mais le sol siliceux se prête mal à la culture des céréales. Au Sud d’une bonne partie de cette zone montagneuse, depuis la frontière algérienne jusqu’au confluent de l’oued Béja, la Medjerda traverse deux plaines, celle de Ghardimaou et celle de la Dakhla, qui furent autrefois des lacs. La première a une vingtaine de kilomètres de longueur, l’autre est beaucoup plus étendue; une barrière, coupée par le fleuve, les sépare. A