Bel Ami Reflet De La Société

d'Ulysse, suite du IVe livre de l'Odyssée ". Dans ses récits, le fils d'Ulysse et Pénélope part à la recherche de son père, accompagné de Minerve, la déesse du courage conduit par l'intelligence, qui a elle même pris les traits de Mentor, vieil ami d'Ulysse. Homère a fait de ce voyage la première partie de l'Odyssée, ce que repris Fenelon pour ses écrits, inventant donc le parcours du fils pendant la narration des récits d'Ulysse. Un jeune homme et son maître traversant des épreuves délicates;

François Bertin directeur du journal des débats. Il réalisa avec ce tableau l’archétype du portai bourgeois. Sur un fond brun éclairé sur la droite du tableau, la silhouette de Bertin se détache, le visage de face d’une expression dure. On aperçoit le reflet de la fenêtre sur l’accoudoir du fauteuil. LE ROMANTISME (courant XIX siècle) Le romantisme est un courant artistique qui se développe courant XIX siècle par réaction contre la régularité classique jugée trop rigide (la beauté va être traduite

comprend 91 romans ou nouvelles achevés. Les intentions de Balzac en bâtissant cette œuvre sont d'ailleurs assez ambitieuses : «peindre et comprendre l'homme et la société dans leur globalité\>. Balzac a divisé La Comédie humaine en trois sections: d'abord, les études de mœurs, au sein desquelles l'écrivain décrit «la société française depuis la veille de la Révolution, et ce sous tous ses aspects (Paris, la province, la vie privée, l'administration, le monde des affaires, la vie politique

grief personnel, une rancune particulière. Au fond, c'était de lui que Molière se moquait, lui qui, après avoir surveillé l'éducation de la toute jeune Armande Béjart, eut la faiblesse d'en faire sa femme, la voyait s'égarer dans la galanterie, les belles manières, le pédantisme, tout l'artificiel de la vie mondaine, devait constater l'échec de son mariage. Seule une blessure profonde, une amertume non cicatrisée peut expliquer ce raidissement. Ce fut la réaction d'un homme usé, d'un homme qui sentait

poète du peuple et de fabuliste, établit-il une critique de la société ? Dans un premier mouvement, on s’intéressera à La Fontaine comme poète proche du peuple, puis dans un deuxième mouvement, on traitera la volonté de La Fontaine d’appartenir à la Cour du roi, ce qui renvoie une image d’un poète proche du roi et pour finir, on étudiera le fait que La Fontaine est un poète moraliste et qu’il établit dans ses fables, une critique de la société. Dans ce premier mouvement, La Fontaine apparaît comme

plus séduisants de la cour de France. C'est une surdité précoce qui le fait renoncer à la carrière militaire. Il se découvre alors une vocation pour la poésie. En 1547, Ronsard fait la connaissance de Joachim du Bellay . Il décide de créer avec son ami et quelques autres jeunes poètes un groupe qui prendra quelques années plus tard le nom de la Pléiade. Leur objectif est de soutenir le français contre ses détracteurs, enrichir son vocabulaire et son style et composer des œuvres inspirées des auteurs

poser la question -le caractère : qualités, défauts 3-Etudier son rôle dans le récit ou dans la pièce : Est-ce un personnage principal ou secondaire : -est-il narrateur -est-il le héros ? -est-t’il le symbole de quelque chose ? -est-il le reflet de l’auteur ? SEANCE N°2 L’ETUDE DU PERSONNAGE DE VERA I-ETAT CIVIL Elle est comtesse, mariée au comte ; Elle n’a pas d’enfants ; elle est assez jeune .Elle est d’origine russe .Le prénom Véra est russe surnommée Douschka. II-LE PORTRAIT PHYSIQUE

vaste chantier où chacun apporte sa contribution pour bâtir un édifice qui dure de génération en génération. Bâtir un ménage heureux est l’une des tâches les plus difficiles de la vie. La famille est la cellule de base de toute société. Plus la famille est forte, plus la société est forte. Plus les justes se multiplient, plus la nation est dans la paix, mais le péché fait la honte des nations. ‘Heureuse la jeunesse dont l’Eternel est le Dieu’. Les gens ne reçoivent pratiquement aucune formation adéquate

Confessions (les) CONFESSIONS (les). Ouvrage de Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), publié à Genève à la Société typographique en 1782 (livres I-VI) et chez Barde et Manguet en 1789 (livres VII-XII). Au livre X de l’ouvrage, Rousseau date de 1759-1760 sa résolution d’écrire ses Mémoires; peut-être à la suite de la suggestion de Rey, son éditeur, qui, vers les mêmes années, lui avait demandé une brève autobiographie à mettre en tête de l’édition générale de ses œuvres. En 1761, Rousseau jette

et le nationalisme. Dans cette veine, il écrit en 1932 son roman le plus connu dont nous avons déjà parlé la semaine dernière : Le meilleur des mondes. Cependant, c’est aussi dans la préface de cet ouvrage qu’il parle pour la première fois d’une société possiblement idéale, sorte d’alternative au meilleur des mondes. Je cite : « Dans cette communauté, la science et la technologie seraient utilisées comme si, tel le Repos Dominical, elles avaient été faites pour l’homme, et non (comme il en est à