Bel Ami Therese Raquin

Le Voyageur . Représentants secondaires avec une œuvre majeure pour chacun. Stendhal Le rouge et le Noir Flaubert Madame Bovary G. Courbet Un enterrement à Ornans Maupassant ,Une vie ,Boule de suif , Bel Ami Huysmans , Hautot père et Fils Zola , Thérèse Raquin, L’Assommoir Debussy , La suite Bergamasque (musique) Baudelaire , Les fleurs du mal (1857) Manet , L’automne (peinture) Salvador Dali (1904-1989) , Persistance de la mémoire , Autoportrait. (peintures)

le plus convoité des prix littéraire. II- Les gdes personnes du mvt et leurs oeuvres ----- Zola : après un echec au baccalauréat, il s'intègre dans le journalisme. => intérêt aux faits divers et à l'actualité. Influencé par biologie => thérèse raquin . Il reprend alors le projet de balzac et comme lui, de décrire l' »histoire naturelle et sociale » de son temps.le vaste cycle « rougon macq » => témoignage ET playdoyer. : passionné pour les déchus et exploités, Z. se lie au socialisme. (Affaire

toute l'Europe. En France, l'oeuvre la plus lue est Germinal d'Emile Zola, quant au reste de l'Europe, il lit avec passion Les Rougon-Macquart du même auteur. Oeuvres : Thérèse Raquin Emile Zola. La Curée Zola L'Assommoir Zola Nana Zola L'Argent Zola Germinal Zola A Vau-L'Eau Huysmans Une Vie Maupassant Bel-Ami Maupassant

dont le Père Goriot, Eugénie Grandet) • Gustave Flaubert (Madame Bovary), dont l'appartenance au mouvement réaliste est encore contestée • Guy de Maupassant (Bel-Ami et La Rempailleuse qui, paradoxalement, pourrait appartenir au courant romantique) • Stendhal (Le Rouge et le Noir) • Émile Zola (Les Rougon-Macquart, Thérèse Raquin) • Victor Hugo (Les Misérables) • Champfleury (Le Réalisme , les Bourgeois de Molinchart) Le courant réaliste est apparu en France entre 1850 et 1890. Il s’oppose

Les ouvrages qui ont défini le réalisme sont: César Birotteau de Balzac et Le Rouge et le Noir de Stendhal qui sont tous deux des figures emblèmatiques de ce mouvement littéraire. Les ouvrages qui ont défini le naturalisme sont: Thèrèse Raquin d'Emile Zola, Bel-ami de Maupassant et René Mauperin de Jules et Goncourt. Les auteurs réalistes écrivent leurs oeuvres de manière à ce qu'elles soient le plus vrai possible. Ils parlent avec un vocabulaire simple et précis et ont pour sujet un aspect

au pays des merveilles L’Africain Les Aventures d’Oliver Twist B Le Bachelier Le Blé en herbe Bajazet Britannicus . Bérénice Le Barbier de Séville Boule de suif La Bête humaine Le Bourgeois gentilhomme Bel - Ami . La Bonne chanson Black coffee C Contes du lundi Carmen Cyrano de Bergerac Colline la Cicatrice Le Cid . Cinna Le Château des Carpathes Candide . Les Caractères . Les Contemplations . Les Châtiments

Mauriac Mérimée Montesquieu l’abbé Prévost Proust Rabelais Radiguet Stendhal Vian Boule de suif Bel Ami Une Vie Thérèse Desqueyroux Colomba Les Lettres persanes Manon Lescaut Du Côté de chez Swann Gargantua Pantagruel Le Diable au corps Le Rouge et le Noir La Chartreuse de Parme L’Ecume des jours J’irai cracher sur vos tombes Candide Zadig Micromégas Nouvelles orientales L’Œuvre au noir Thérèse Raquin L’Assommoir Germinal XIXe s. XXe s. XIXe s. XVIIIe s. XVIIIe s. XIXe s. XVIe s XXe s. XIXe s

(feuilleton 1842-43) - R. naturaliste : - Maupassant : Une Vie (1883) Pierre et Jean (1888) Bel-Ami (1885) - Zola :Germinal (1885) L’Assommoir (1877) L’œuvre, Au Bonheur des dames Thérèse Raquin (1867)… (voir cycle des Rougon-Macquart) - R. et symbolisme : - Huysmans : A Rebours. - E. Brontë : Les Hauts de Hurlevent (1847) - Mary Shelley :

plus connu est Zola avec Thérèse Raquin (1867), La Curée (1871), L’Assommoir (1877) Germinal (1885), le naturalisme de Zola s’élève contre le Romantisme selon lui le Romantisme est un écran qui rend aveugle l'intelligence et qui cache la vérité. Pour Zola, le naturalisme doit être à la fois esthétique, une philosophie et un enseignement positif. Guy de Maupassant, qui lui est un écrivain du naturalisme et du réalisme, un de ses ouvrages naturalistes est sans doutes Bel-Ami (1885), tout comme Zola

traître à ses augustes mânes. » Le Cerf reprit alors : « Sire, le temps de pleurs Est passé; la douleur est ici superflue. Votre digne moitié couchée entre des fleurs, Tout près d'ici m'est apparue ; Et je l'ai d'abord reconnue. Ami, m'a-t-elle dit, garde que ce convoi, Quand je vais chez les Dieux, ne t'oblige à des larmes. Aux Champs Élyséens j'ai goûté mille charmes, Conversant avec ceux qui sont saints comme moi. Laisse agir quelque temps le désespoir du Roi. J’y prends