Belle Representation Chose

, nommera le Bien . ( Platon est le 1er penseur de l'art mais ne cesse de critiquer le sensible ... ) ¤ Le beau : Vision objective du beau , avec le goût et le jugement esthétique , le Beau n'a pas besoin d'être démontré , juger par apport qq chose que l'on sent , pour avoir un jugement il faut un sujet , " ceci est beau ' , c'est à dire par apport à mon experience . Le jugement esthétique naît avec l'idée du sujet ( 17e / 18e ) , le sujet d'affirmant dans le domaine esthétique . Chez les grecs

exceptionnellement différents des autres, ils se démarquent. Ces poètes possèdent une vision différente sur ce qui les entoure, un autre point de vue qui peut-être plus véridique. Il existe donc une mise à distance. Verlaine, poète du XIXème, est une bonne représentation de cette distance : dans son poème Autre, qui a été écrit en prison pour avoir tiré sur Rimbaud, il décrit la promenade des  prisonniers dans la cour : « La cour se fleurit de soucis Comme le front De tous ceux-ci Qui vont en rond En flageolant

même les plus sombres images. Le premier passage est extrait de l'Assommoir d'Emile Zola, le deuxième provient du roman de Samuel Beckett : Malone Meurt. Et enfin le dernier extrait est issu de la Belle du seigneur d'Abert Cohen. Nous allons donc voir comment ces trois récit rendent compte d'un représentation très différente de la mort des personnages. Dans le premier extrait, la mort de Germaine est une mort que l'on pourrait qualifier de misérable et sombre car cette femme est « alcoolique », pauvre

l’Occident (il parle même de « surculpabilisation »), qu’attestent les sermons de la fin du Moyen Âge et qui se déploient au XVIe siècle tant du côté des théologiens de Rome que de ceux de la Réforme protestante – lesquels font preuve à ce sujet d’une belle unanimité, car ils ne cessent de partager la même vision du monde. (M. Grandjean, « Quand l’enfer habitait le Moyen Âge. Ce qu'on doit à Delumeau », https://www.choisir.ch/societe/histoire/item/3761-quand-l-enfer-habitait-le-moyen-age) a. pastorale

célébration du monde. Thèse : Certes la poésie a un rôle important : celui de célébrer le monde.$1 = En célébrant le monde le poète nous livre une lecture insolite du monde qui nous entoure. Il fait rêver. $2 = Il faut donner de l’importance à chaque chose même insignifiante (Ponge, Hugo)$3 = Le poète créé une proximité avec le monde qui nous entoure Antithèse : Cependant affirmer que célébrer le monde est le rôle principal de la poésie est une vision réductrice de celle-ci$1 = Car la poésie est aussi

fait intervenir la liberté, c’est-à-dire un libre arbitre dont les actions ont pour principe la raison » - De cette définition, on tire deux critères essentiels de l’art : D’une part, l’art est spécifique de l’Homme : « Lorsqu’on qualifie quelque chose d’œuvre d’art … on entend toujours par là une œuvre humaine », Kant. D’autre part, malgré cette liberté qui intervient avec l’art, celui-ci contient toujours une part de contrainte. - L’art comme spécificité de l’Homme : Les œuvres d’art ont pour

mot ou la représentation des mains sur un total de 54 ensembles en incluant le frontispice, la préface et la section « Portraits ». A l’inverse, elles sont parfois exclues de là où nous pourrions les attendre par ex. dans « La couture ». Les mains sont surtout présentes dans les dessins. Aussi, elles sont souvent au nombre de deux et au pluriel dans les poèmes. La représentation des mains dans l’œuvre est extrêmement variée. Elle peut se situer dans le titre : « Main et fruits » ou « Belle main » ou

Ainsi, nos désirs se portent sur la valeur matérielle de l'objet. L'Homme désire avoir une belle maison, de beaux vêtements, une belle voiture. Nous désirons toujours ce qu'il y a de plus beau, de plus cher, rendant cet objet encore plus désirable. Le désir est alors la source d'une satisfaction matérielle, voire futile. Les désirs de l'Homme ne visent pas l'utilité, mais plutôt le confort, quelque chose de superflu. D'ailleurs, Bachelard, évoque ce désir du superficiel dans La Psychanalyse du feu :

: Cela fait des mois qu’il pleut.    L'IMPARFAIT DE L'INDICATIF Imparfait exprimant une action secondaire par rapport au premier plan qui est au passé simple, vue dans son déroulement : Il marchait tranquillement dans la rue quand soudain quelque chose attira son regard. Imparfait descriptif : La coque du bateau était rouge et bleue. Les verbes de la description à l’imparfait sont vus en cours de déroulement: Le bateau voguait. Il pleuvait Imparfait exprimant la répétition, l'habitude passée

bassin. – Image C : dans une pièce richement décorée, Molière et Jourdain parlent. Molière est assis à une table. Il a une plume dans la main et s’apprête à écrire. Jourdain est débout, à gauche de la table, on a l’impression qu’il dicte quelque chose à Molière. – Image D : Dans le salon de Célimène. A l’arrière-plan, on voit des tapisseries au mur et plusieurs personnes. Au centre de l’image, on reconnaît Célimène et Jourdain. Célimène porte une robe bleue. Jourdain est travestie en femme