Bérézina

mouvement, font partie d’un ensemble de codes qui servent à désigner et à habiller les réalités de l’événement. L’événement lui-même est un langage, nos expressions et notre langage sont remplis d’événement devenus parlé, « un Trafalgar », la « Bérézina »… Il faut la meilleure association possible entre l’événement et l’idée qu’il est censé promouvoir. Le langage exerce une fonction explicative, donnant un certain nombre de clés pour comprendre le présent, ce qui constitue une grille où s’ordonne

propagande. On utilise de fausses interviews et informations. Ceci instaure un fossé entre la réalité vécue par les soldats et ,par exemple, celle exprimé dans : Paris midi « En Belgique : vers un Waterloo allemand » alors que les combats tournent à la bérézina pour la triple entente, le Matin «  les éclats d’obus vous font seulement des bleus ». La littérature est aussi au service de la guerre et montre une caricature de l’ ennemi et même aux enfants on propose des livres comme : Petit bé et le vilain

Effritement : Persos qui tombent en morceaux ou se fragmentent, dentitions qui s'éparpillent en unité fuyantes, visages qui se démantèlent en rejoignant le sol puis se recomposent en ordre. Le loup lubrique duit par minuscules armées en désordre dans une Berezina de fourmilière. Folie lubrique : Yeux évacuent leurs orbites au bout du nerf optique et flottent dans l'espace; corps en érection totale pointe comme vecteur; mâchoire décrochée tombe au sol; vêtements se retroussent; tête martelée sur cloisons;

Julien, héros et fils de paysan dans Le Rouge et Le Noir dévoue un culte à Napoléon et rêve de gloire. Cependant, cette aventure est couronnée de victoire (Austerlitz, Wagram...) mais également de défaites tragiques comme la retraite de Russie (Bérézina) en 1812 qui signe l’exil de Napoléon. Il réussit en revanche à s’échapper et revient en France : c’est le vol de l’Aigle. Napoléon se fait malheureusement battre à Waterloo en 1815 face à une coalition quasi-Européenne. De nouveau exilé à Saint

ancien statu en espérant un retour aux privilèges et aux ordres. La France est donc partagée sur ce retour à la restauration. Notons toutefois qu’aucun français ne regrette le départ de Napoléon Bonaparte puisque celui-ci après sa lourde défaite de Bérézina était accusé d’avoir tué la Grande Armée (il était devenu l « ogre corse »), il était également impopulaire avec l’installation de la police politique et de la censure. Ainsi en 1814, les français se trouvent dans une situation d’indifférence quant

projette son retour à Moscou en emmenant Natacha dont l'état de santé inquiète tout le monde. À la bataille de Krasnoïé les russes épuisés harcèlent une armée napoléonienne en débandade ; les morts jalonnent le repli des Français. Le passage de la Bérézina est dramatique pour les deux camps, mais c'est la victoire russe. Napoléon abandonne son armée. Koutouzov prend sa retraite dans l'ingratitude générale. Pierre, en convalescence à Oriol, semble en apparence toujours le même, mais sa tolérance nouvelle

vrai plébiscite. Les modèles compacts de catégorie " moyenne inférieure " (type Renault Mégane, Peugeot 308), dont certains bénéficient aussi de bonus, ont quant à eux progressé de 1,5 % seulement. Pour les autres catégories, en revanche, c'est la Berezina. Les " familiales " ( Peugeot 407, Renault Laguna...) fléchissent de 10 %, les modèles de haut de gamme à malus de 34 %. Les 4x4 et les grands monospaces sont d'ailleurs les grands perdants du nouveau système fiscal " vert ", instauré entre décembre

Tenon. Il a écrit un grand livre avec Lavoisier dans lequel il explique que les infections se transmettent par l’air, raison pour laquelle il faut isoler les maladies par pavillon. Ça se révèle tout à fait exacte, notamment après la bataille de la Berezina, où les troupes de Napoléon sont envoyées dans les pavillons de Rungis. A posteriori on constatera qu’il y a beaucoup moins de morts dans ces pavillons que chez les blessés qui ont été placés dans les grandes salles militaires. Ces théories vont

projette son retour à Moscou en emmenant Natacha dont l'état de santé inquiète tout le monde. À la bataille de Krasnoï, les Russes épuisés harcèlent une armée napoléonienne en débandade ; les morts jalonnent le repli des Français. Le passage de la Bérézina est dramatique pour les deux camps, mais se solde en une victoire russe. Napoléon abandonne son armée. Koutouzov prend sa retraite dans l'ingratitude générale. Pierre, en convalescence à Oriol, semble en apparence toujours le même, mais sa tolérance

terrible. Décimée par le froid et le manque de nourriture, une armée de spectres , harcelée par des unités de cosaques, avance dans les bourrasques et la neige. Grâce à l’héroïsme du Général Eblé et de ses pontonniers, elle peut traverser en novembre la Bérézina. Lorsqu’elle arrive enfin au Niémen, en décembre près de 400 000 hommes ont disparu. Il n’y a plus de Grande Armée : le « général Hiver » a provoqué un des plus graves désastres militaires de l’histoire. L’Europe coalisée contre Napoléon :