Béringie

dans quatre disciplines complémentaires : l'archéologie, l'anthropologie physique, les analyses génétiques et la linguistique. Il est généralement admis aujourd'hui que l'Amérique a été peuplée depuis l'Asie par des groupes ayant migré à travers la Béringie. Toutefois les modalités de la migration (voie terrestre ou maritime, grande navigation ou cabotage primitif), sa chronologie et le lieu d'origine en Asie des migrants demeurent discutés1. Les données archéologiques indiquent que le premier peuplement

gigantesques. A côté de ces monstres, existait un petit créodonte en Amérique, pas plus gros qu'un chaton. Miacis.jpg Il y a 40 millions d'années (oligocène), le Miacis profitera de l'émergence d'un terrain sec dans le détroit de Béring, (La Béringie) pour coloniser l'Eurasie. On considère que le Miacis est l'ancêtre des chiens, des ours, des hyènes, des chats, des civettes, entre autre. Hesperocyon.jpg Il y a 35 millions d'années, le Miacis a donné naissance au Hesperocyon. Hesperocyon

océans s’est retrouvée prisonnière des glaces aux deux pôles. En conséquence le niveau globale de la mer a largement baissé, des terres ont soudain émergées et une bande de terre est ainsi apparue entre l’Alaska et la Sibérie Oriental actuelle : la Béringie. Elle reliait l’Asie à l’Amérique du Nord et servait de passage pour les plantes, certains mammifères et même les hommes. Les ancêtres de l’ours étaient originaires d’Asie mais ont donc évolués en Amérique du Nord. Mais quelques milliers d’années

caravelles (La Pinta et La Niña) et une caraque, La Santa María. Ce moment marque la rencontre de deux sociétés qui avaient quasiment1 évolué indépendamment l’une de l’autre pendant environ 12 000 ans, après la disparition du pont terrestre de la Béringie. Deux thèses s'affrontent concernant les premiers peuplements du continent américain: * La 1è thèse est celle d'un peuplement de chasseurs-cueilleurs venants d'Asie profitant de l'assèchement du détroit de Béring pour pouvoir passé sur le

dans quatre disciplines complémentaires : l'archéologie, l'anthropologie physique, les analyses génétiques et la linguistique. Il est généralement admis aujourd'hui que l'Amérique a été peuplée depuis l'Asie par des groupes ayant migré à travers la Béringie. Toutefois les modalités de la migration, sa chronologie et le lieu d'origine en Asie des migrants demeurent discutés1. Les données archéologiques indiquent que le premier peuplement important de l'Amérique a eu lieu à la fin de la Dernière Glaciation

maniables que la caraque qui, quant à elle, est beaucoup plus lourde. Ce moment marque la rencontre de deux sociétés qui avaient quasiment1 évolué indépendamment l’une de l’autre pendant environ 12 000 ans, après la disparition du pont terrestre de la Béringie. Le nom "Amérique" vient du navigateur italien Amerigo Vespucci, qui est son découvreur. Rapidement, les Européens ont commencé à explorer le continent au détriment de ses habitants autochtones : à la fin du xixe siècle, on ne compte plus que 260 000 Amérindiens sur

caravelles (La Pinta et La Niña) et une caraque, La Santa María. Ce moment marque la rencontre de deux sociétés qui avaient quasiment1 évolué indépendamment l’une de l’autre pendant environ 12 000 ans, après la disparition du pont terrestre de la Béringie. Rapidement, les européens ont commencé à explorer le continent au détriment de ses habitants autochtones : à la fin du XIXè siècle, on ne compte plus que 250 000 Amérindiens sur les 2 à 20 millions estimés au XVè siècle sur le territoire des États-Unis

caravelles (La Pinta et La Niña) et une caraque, La Santa María. Ce moment marque la rencontre de deux sociétés qui avaient quasiment[1] évolué indépendamment l’une de l’autre pendant environ 12 000 ans, après la disparition du pont terrestre de la Béringie. Rapidement, les européens ont commencé à explorer le continent au détriment de ses habitants autochtones : à la fin du XIXè siècle, on ne compte plus que 250 000 Amérindiens sur les 2 à 20 millions estimés au XVè siècle sur le territoire des États-Unis

rapides et maniables que la nef, quant à elle, beaucoup plus lourde. Ce moment marque la rencontre de deux sociétés qui avaient quasiment1 évolué indépendamment l’une de l’autre pendant environ 12 000 ans, après la disparition du pont terrestre de la Béringie. Rapidement, les européens ont commencé à explorer le continent au détriment de ses habitants autochtones : à la fin du xixe siècle, on ne compte plus que 260 000 Amérindiens sur les 2 à 20 millions estimés au xve siècle sur le territoire des États-Unis

les portugais) alors que la nef elle est beaucoup plus lourd. Ce moment marque la rencontre de deux sociétés qui avaient quasiment[1] évolué indépendamment l’une de l’autre pendant environ 12 000 ans, après la disparition du pont terrestre de la Béringie. Rapidement, les européens ont commencé à explorer le continent au détriment de ses habitants autochtones : à la fin du XIXe siècle, on ne compte plus que 250 000 Amérindiens sur les 2 à 20 millions estimés au XVe siècle sur le territoire des