Bernal Díaz del Castillo

ejemplifica la importancia de los intérpretes en el curso de la historia. De familia noble, La Malinche fue esclavizada, se convirtió en intérprete y en la persona de confianza del explorador español Hernán Cortés, a quien dio un hijo. Algunos la ven como la traidora de los aztecas, mientras que otros la consideran el chivo expiatorio del fracaso de Moctezuma, quien no fue capaz de defender su reino. Marina nació en una familia noble en la provincia de Paynalla en Coatzacoalcos, en la región de Veracruz

brigantins de cesser de pilonner les maisons et les huttes et de se lancer à la poursuite des pirogues dans le but de capturer Cuauhtémoc vivant sans lui causer ni offense, ni humiliation mais en essayant tout simplement de le prendre ». Source : Bernal Díaz del Castillo, Historia verdadera de la Conquista de la Nueva España, 2e moitié du XVIe siècle, édition Porrúa, Mexico, 2005, p. 367. Después de la derrota española de la Noche Triste el 30 de junio de 1520, los conquistadores inician el asedio de la

leur culture à l'époque coloniale. Les études de cette civilisation précolombienne se fondent sur les codex mésoaméricains, livres écrits par les autochtones sur papier d'amate, les témoignages des conquistadors, comme Hernán Cortés et Bernal Díaz del Castillo, les travaux des chroniqueurs du XVIe et XVIIe siècle, comme le célèbre codex de Florence compilé par le moine franciscain Bernardino de Sahagún avec l'aide de collaborateurs aztèques, ainsi que, depuis la fin du XVIIIe siècle, les recherches

leur culture à l'époque coloniale. Les études de cette civilisation précolombienne se fondent sur les codex mésoaméricains, livres écrits par les autochtones sur papier d'amate, les témoignages des conquistadors, comme Hernán Cortés et Bernal Díaz del Castillo, les travaux des chroniqueurs du XVIe et XVIIe siècle, comme le célèbre codex de Florence compilé par le moine franciscain Bernardino de Sahagún avec l'aide de collaborateurs aztèques, ainsi que, depuis la fin du XVIIIe siècle, les recherches

cristianismo y utilizaban los nombres de Marta (La madre) y lázaro ( el medio hermano ) . La Malinche tenía un hermano. LA OTRA PARTE DE SU VIDA : La Malinche traduce la lengua de los mexicas a Cortés. Cuando Herman Cortés venia para la conquista del México todas esclavas fue regalada a Cortés el 15 de marzo de 1519 por los caciques de tabasco. Un capitana de Cortés tenía como esclava La Malinche, cuando Cortés descubría que la Malinche habla nahuatl. Se empieza a utilizarla como intérprete nahualt-maya

était nommé par le pouvoir central) et religieux (chaque campan avait son propre temple) se superposait à celui, à la base de la société aztèque, de multiples calpullis (« groupes de maisons »). Quatre grandes chaussées traversaient la ville. Bernal Díaz del Castillo rapporte que 10 chevaux pouvaient y passer de front. Chaque calpulli possédait son marché (tianquiztli), mais il y avait un grand marché concernant toute la ville à Tlatelolco. Cortés estima ce marché comme deux fois plus grand que la

non croyants. Ces croyances en plusieurs dieux et les rites auxquels se livraient les Aztèques déplurent fortement aux Européens. Mais ce qui a le plus marqué les conquistadors reste le cannibalisme dont ils ont été témoins comme le raconte Bernal Díaz del Castillo dans ses ouvrages. Les conquistadors s’étaient d’abord présentés en « amis » chez les Aztèques afin de pouvoir mieux les connaître et établir une stratégie, les conquistadors purent ainsi profiter de la générosité des Aztèques, qui n’hésitaient

Introduction: Carolina Historique: Mathieu et Jean-Claude Panneau   -Carte: Ils étaient définitivement sédentarisés dans la vallée de Mexico, sur une île du lac Texcoco, vers le début du XIVe siècle.-ligne du temps-Conquistadors: Hernan Cortés -Bernal Diaz del Castillo -Iconographies: (dans le livre)Les Aztèques étaient passés maîtres dans l'art de sculpter divers matériaux: calendriers, pierres pour les sacrifices. Les idoles étaient en pierre ou en bois recouvert de métaux précieux, de perles et de pierres

originales, et le dédia à Leconte de Lisle, qui fut couronné par l’Académie française. Il avait déjà été lauréat de l’Académie pour une traduction de l’espagnol, l’Histoire véridique de la conquête de la Nouvelle Espagne, par le capitaine Bernal Diaz del Castillo. Il traduisit aussi « Historia » de la Monja Alferez. Il publia à « La Revue des Deux Mondes », au « Temps » et au « Journal des débats ». Élu à l’Académie française le 22 février 1894 en remplacement de Charles de Mazade, il fut reçu en

Cortez le personnage divin de Quetzalcoatl, un de leurs Dieux qui, selon les croyances, avait été expulsé des montagnes centrales et qui avait promis de revenir. Moctezuma tint un discours crucial en l’honneur de leur arrivée, disant selon Bernal Diaz Del Castillo que : « ... certainement nous étions ceux-là mêmes que ses aïeux avaient prédits en disant qu'ils viendraient des hommes d'où le soleil se lève pour régner sur ces contrées; que sans aucun doute il s'agissait bien de nous... ». Cortés