Bessarabie

choisissent la neutralité. Mais après la mort du roi Charles 1er, son successeur, Ferdinand Ier se joint aux Alliés, qui, en cas de victoire, lui promettent la Transylvanie. Suite à la victoire des Alliés, en 1918, la Bucovine, la Transylvanie et la Bessarabie sont rattachées à la « Grande Roumanie » qui passe d’un peu plus de sept millions d’habitants à dix-huit millions. Le contentieux sur les frontières avec la Hongrie s’aggrave avec la brève occupation de Budapest par les Roumains le 6 août 1919.

Tiraspol ( avec le siège à Chișinău ), Tatiana Butnaru à etudié par l’intermediaire d’une grille mythologique la poesié de Bessarabie d’après-guerre, élaborant elle-meme un requeil de vers écris dans les habitudes folcloristiques et imprégnés avec des suggestions musicales balladesques. L’auteur n’a pas l’intention de s’intégrer dans la pléiade de poètes de Bessarabie, son intention acquiert plutôt une valeur confessionelle, et d’externalisation de la voix intérieure, d’où les formes balladesques

Chişinău est une ville de Bessarabie, capitale de la République de Moldavie. La ville se situe sur sept collines et s'étend sur 120 km2. Elle est traversée par les rivières Bîcu et Isnovăţ. Elle est actuellement administrée par Dorin Chirtoacă (maire). Histoire Le fortin de soldats sicules de Kis-Jenő (la Petite-Fontaine, en magyar, prononcé Kichyéneu) a été élevé en 1436 sur la route que prenaient les Tatars pour piller la Moldavie, par le prince Iliaş, sur la rive droite de la rivière Bîcu

Histoire de la Roumanie (1920-1960) La Première Guerre mondiale À la suite de la victoire des Alliés, en 1918, la Bucovine, la Transylvanie et la Bessarabie sont rattachées à la « Grande Roumanie » qui passe d’un peu plus de sept millions d’habitants à dix-huit millions. Le contentieux sur les frontières avec la Hongrie s’aggrave avec la brève occupation de Budapest par les Roumains le 6 août 1919. Le traité de Trianon (juin 1920) donnera définitivement la Transylvanie, la moitié du Banat

est-européenne, au carrefour des intérêts français. Les inquiétudes françaises face à l’expansion du bolchevisme menèrent le Quai d’Orsay à assurer à la Roumanie la possession d’un territoire qu’aucun traité d’avant-guerre ne lui avait promis: la Bessarabie, terre russe depuis 18785. Stratégiquement, cette annexion roumaine confortait la position française dans sa lutte contre l’expansion bolchevique. En effet, elle assurait d’abord à Paris une certaine loyauté de la part de Bucarest. De plus, elle

sur le versant oriental du mont Hoverla, à proximité du col Yablonitsky dans les Carpates, en Ukraine. Il coule vers le sud-est et se jette dans le Danube près de Giurgiulești, entre Galați et Reni. De 1918 à 1940 et jusqu'à l'annexion de la Bessarabie et du nord de la Bucovine par les Soviétiques, son cours était presque entièrement compris dans le territoire de la Roumanie ; sa source se trouvait alors en Pologne. Aujourd'hui, il forme pendant 711 kilomètres la frontière entre la Roumanie et

le sultan qui est exécuté peu après (juin 1808); à Mustafa IV, sultan pour quelques semaines, succède Mahmud II (1808-1839) qui va être l’initiateur des réformes. Ayant signé avec les Russes la paix de Bucarest (mai 1812) qui octroie à ceux-ci la Bessarabie et reconnaît aux Serbes une certaine autonomie, Mahmud II entreprend une série de réformes dont la principale se situe en juin 1826 avec la suppression des janissaires qui sont massacrés. Mais ces réformes sont encore limitées: par la suite, elles

Bernardazzi a achevé1 ses études à l’Ecole de constructions de Saint-Petersbourg (devenue ultérieurement le fameux Institut d’ingénieurs civils) et a été envoyé à Chișinău en qualité d’assistant d’architecte dans le cadre de la commission régionale de la Bessarabie pour les constructions et les chemins. Des extraits du journal du jeune Alexandre Bernardazzi laissent entendre que l’étudiant d’hier brûlait2 du désir d’agir, de changer les choses : « J’ai quitté à l’aube3 la ville que j’ai pu longtemps voir

son cours inférieur, le Dniestr développe des marécages. Il n'y a pas de reliefs abrupts en Moldavie ; la plupart des formes sont douces. Au nord du pays il y a la plaine vallonnée de Balti. Au sud c’est la plaine de Bugeac ou autrement dit Bessarabie qui prend place. Dans la partie centrale se trouvent le Codru, une région boisée culminant à la pointe de la colline de Bălănești à 430 m. Les processus d’érosion et les glissements de terrain y ont conduit à la formation de ravins en forme d’amphithéâtre

vers les bouches du Danube, au détriment des empires perse et ottoman. La Géorgie rejoint volontairement l’empire en 1801. La partie orientale de la Principauté de Moldavie (vassale de l'Empire ottoman) est annexée en 1812 et forme la goubernia de Bessarabie. L’Arménie, le Daghestan et une partie de l’Azerbaïdjan sont annexés en 1813 au terme d’un conflit de quatre ans avec l’empire perse. Au décès d’Alexandre (1825), des officiers réformistes, les décembristes, se soulèvent en vain pour demander une