Beta Sectoriel

engagements à transfert d’une garantie cash. Réalisations: Recensement des besoins du Front-office Elaboration du mapping de liquidité des positions à partir des tickets des agents TD Identification des variables de marchés (swap, commissions, margin, beta, delta, sigma) Définition des attentes métier relatives à la sauvegarde des informations OHCL, KYC, AML, EMTN FO to finances Mise en place des alertes de coûts sur les commissions de courtage Rédaction des différentes alternatives des CLS disponible

L’approche patrimoniale Cette approche qui intéresse surtout les propriétaires de l’entreprise utilise un certain nombre de ratios qui, comparés à des normes conventionnelles ou sectorielles, permettent d’évaluer le risque de faillite à partir des considérations patrimoniales. Les principaux ratios utilisés sont : 2 Le bêta noté β est le coefficient mathématique qui mesure le degré du risque que présente la structure financière de la firme (Dettes + capitaux propres) 4 • Le ratio de solvabilité

1 Le cours de l’action Sigma est de 79,50 €. Le dernier dividende distribué est de 2,5 €. Le taux de croissance du dividende anticipé pour l’avenir est supposé fixe et égal à 5%. Le taux sans risque est de 5%, la prime du marché de 4,5% et le bêta de l’action de 0,75. Travail à faire 1. Calculer le taux de rendement requis par les actionnaires. 2. Evaluer l’action dans le cadre du modèle du dividende actualisé. 3. Calculer le taux de croissance implicite du dividende à partir du cours

...............................................9   Mécanismes  clés  : .............................................................................................................................................10   Dynamiques  sectorielles .............................................................................................................................. 10   Quel  type  de  stratégie  d’innovation  pour  survivre  ? ............................

entreprises de même secteur peuvent être de taille différente, ou avoir une situation concurrentielle différente, ce qui les rendrait moins comparables. Nous avons tout d’abord décidé de choisi l’échantillon cible sur un critère d’appartenance sectoriel. Cependant ce choix comporte une autre difficulté car l’entreprise est à la fois présente sur plusieurs secteurs d’activité. Nous avons décidé de choisir plusieurs secteurs de référence qui caractérise le mieux l’entreprise. Ainsi les secteurs choisis

FINANCE – Le BOURSIER 2008 - ESG ! *) ! Le processus d’introduction en Bourse ! Préparation d’un prospectus composé " Document de base relatif à la société (présentation, dirigeants, capital, secteur d’activité, données économiques et sectoriels, comptes sociaux et consolidés) Note d’opération qui fixe une fourchette de prix et un calendrier indicatif de l’opération " ! Ces documents de base sont visés par l’AMF qui valide la sincérité des opérations fournies au public Prospectus

nécessaires à l’exploitationAnnexe 4 : Aide au calcul du taux d’actualisation - Le taux de prime de risque du marché / Bêta sectoriel / Risque intrinsèque et de non liquidité – Source CCEF ConvergenceAnnexe 5 : Multiple de l’EBITDA et EBIT – Source CCEF Convergence Page 8 sur 16Détermination du coefficient K Prime de risque du marché des actions 8,06%| Bata sectoriel 0,98. que intrinséque et de non-lig 0,04%| [Taux d'actu: 7,94%| Taux d'emprunt et de financement 338%

comptable, dans la mesure où elle tente de corriger les effets de la convention comptable du coût historique en appliquant aux valeurs comptables de l·actif, des indices de correction qui tiennent compte de l·évolution des prix, au niveau général ou sectoriel. AN indexé = A indexé - E (A indexé représentant le montant de l·actif indexé et E l·endettement total de l·entreprise) L·utilisation d·indices de prix améliore les données comptables, mais ne peut permettre une mesure convenable de la valeur du

dérogation. Il est donc évident qu’il y aura toujours une certaine « tracking error » pour les ETF qui répliquent l’évolution d’un indice présentant une surpondération de l’une de ses valeurs, comme c’est parfois le cas, par exemple, pour les indices sectoriels que nous verrons ultérieurement. Enfin, des études, telles que celle menée par la Deutsche Bank, démontrent que les dividendes peuvent également être une source de « tracking error ». En effet, il existe un délai entre le moment où l’on attribue

soutenu de collecte des dépôts ne s’est pas accompagné d’une aggravation du coût des ressources, lequel est demeuré contenu dans des limites compétitives. Dans ce sillage, le coût des ressources de l’UIB s’établit à 2,4% en 2010 contre une moyenne sectorielle de 2,9%. Une situation qui est en faveur de l’UIB en tenant compte de l’environnement concurrentiel des banques de la place et le contexte économique difficile qui a imposé une baisse des taux et un fléchissement des marges d’intérêt. Taux de couverture